Pourvu qu’ça dure…
Rentrer tard du boulot, après une réunion moins chiante que prévue, arrosée d’un excellent champagne.
Faire des détours en voiture la nuit pour se perdre dans Paris.
Rentrer chez soi en sachant parfaitement dissocier vie professionnelle et vie privée.
Penser à la perspective de soirées amicales en tête-à-tête, à disserter de la vie et de ses aléas.
Rencontrer des gens et penser que tout reste à dévoiler.
Savoir que certains sont là, sur qui l'ont peut compter.
Avoir le sentiment de retrouver une vraie vie sociale.
Etre persuadé que les complications relationnelles qui m’attendent ne se résumerons au final qu'à des petits moments de bonheurs.
Se sentir bien.
En profiter.
Encore.
Posté le 30 septembre 2002 à 22:28
Posté le 28 septembre 2002 à 12:09
Posté le 26 septembre 2002 à 23:07
Posté le 25 septembre 2002 à 21:44
Posté le 24 septembre 2002 à 23:43
Posté à 02:50
Posté à 01:00
Posté le 22 septembre 2002 à 23:28
Posté le 21 septembre 2002 à 14:03
Posté à 13:27
Posté le 19 septembre 2002 à 20:12
Posté le 18 septembre 2002 à 02:09
Posté à 01:41
Posté à 01:17
Posté le 16 septembre 2002 à 17:11
Posté à 15:55
Posté le 13 septembre 2002 à 18:57
Posté le 11 septembre 2002 à 23:36
Posté à 23:35
Posté à 00:11
Posté à 00:06
Posté le 10 septembre 2002 à 23:40
Posté à 23:28
Posté le 08 septembre 2002 à 14:58
Posté le 06 septembre 2002 à 20:06
Posté à 00:13
Posté à 00:03
Posté le 04 septembre 2002 à 20:02
Posté à 15:08
Posté à 01:01
Posté à 00:58
Posté le 03 septembre 2002 à 23:45
Posté à 22:27
Posté à 06:00
Posté à 05:58
Posté le 02 septembre 2002 à 16:27
Posté à 15:29
Posté à 15:10
Posté à 12:13
Lettre au Père Nouël ...
Il y a plus d'une semaine, je me suis commandé un chouette appareil photo numérique sur père-noel.fr (nan, je ne link pas, ça vaut mieux pour vous !).
C't'enfoiré de père-noël ne donne plus signe de vie depuis !
Je ne résiste pas à la petite vengeance qui consiste à vous copier ici le mail que je viens de leur envoyer (quand je suis malade, faut pas me pêter les noix !) :
Chère Père Noël,
Soit, je ne crois plus en toi, mais ce n’est pas une raison pour ne jamais me répondre au téléphone !
Je m’excuse si je n’ai pas été sage durant ma turbulente enfance. Crois-moi, tout cela, c’est du passé. Je suis devenu quelqu’un de respectable, maintenant. Alors soit sympa Père Noël, donne-moi un petit signe de vie, ne serait-ce que pour rassurer tous les petits zenfants qui, subissant le climat rigoureux et la grisaille automnale, voient le 25 décembre approcher…
Mardi dernier, j’ai eu une de tes petites fées au téléphone, elle était très sympathique, et s’est renseignée longuement (0.34 € la minute !) sur l’avancée de ma commande.
Elle m’a rassuré en m’indiquant que ma livraison était prévue mercredi. ("vendredi, dernier délai" a rajouté la gentille fée !).
Nous sommes samedi et je n'ai aucune nouvelle depuis. Je sens la crise d’angoisse me gagner… Existes-tu toujours Père Noël ?
J’ai consulté ton site pour avoir des nouvelles, ma commande semble être "en préparation" par tes petits lutins (donc toujours pas expédiée ? Tes reines ont des problèmes de batterie ?).
J'ai réglé ma commande (Ce qui prouve bien que je suis devenu très gentil !) par CB il y a une semaine.
Comprends-moi Père Noël, je ne suis plus un petit nenfant, soit, mais je ne suis pas non plus ta banque !
Alors, Père Noël, je me permets de t’adresser 3 propositions (je suis certain que ta grande sagesse t’indiquera la meilleure chose à faire) :
1) Livre-moi mercredi dernier, comme prévu ! (On sait tous que tu es un peu magicien Père Noël !)
2) Si tu me livre la semaine prochaine, fais-moi un avoir et communique-moi la facture à livraison, que je réglerai à 60 jours fin de mois (Et oui, moi aussi je peux parler comme les ignobles trolls qui s’occupent de ta comptabilité !)
3) Tu peux passer à la maison aujourd’hui, tu sais que tu es le bienvenu, on pourra papoter et régler ce petit différent… (Et si tu peux venir avec ta gentille fée que j’ai eue au téléphone, je crois que ça pourrait devenir sympa !)
Pour finir, Père Noël, sache que je ne garde aucune rancune contre toi…
…mais si tu ne me donne pas de tes nouvelles tout de suite, je débarque au pôle Nord avec mes potes motards et je te marrave ta tronche jusqu’à ce que tu me file mon appareil photo numérique ! Escroc !
Je t'aime toujours très beaucoup, mais faut pas pousser ! Alors à (très) bientôt piti-papa-nouel !
Avec ça, je suis certain d'avoir une réponse ...
... ou pas ...
Il y a plus d'une semaine, je me suis commandé un chouette appareil photo numérique sur père-noel.fr (nan, je ne link pas, ça vaut mieux pour vous !).
C't'enfoiré de père-noël ne donne plus signe de vie depuis !
Je ne résiste pas à la petite vengeance qui consiste à vous copier ici le mail que je viens de leur envoyer (quand je suis malade, faut pas me pêter les noix !) :
Chère Père Noël,
Soit, je ne crois plus en toi, mais ce n’est pas une raison pour ne jamais me répondre au téléphone !
Je m’excuse si je n’ai pas été sage durant ma turbulente enfance. Crois-moi, tout cela, c’est du passé. Je suis devenu quelqu’un de respectable, maintenant. Alors soit sympa Père Noël, donne-moi un petit signe de vie, ne serait-ce que pour rassurer tous les petits zenfants qui, subissant le climat rigoureux et la grisaille automnale, voient le 25 décembre approcher…
Mardi dernier, j’ai eu une de tes petites fées au téléphone, elle était très sympathique, et s’est renseignée longuement (0.34 € la minute !) sur l’avancée de ma commande.
Elle m’a rassuré en m’indiquant que ma livraison était prévue mercredi. ("vendredi, dernier délai" a rajouté la gentille fée !).
Nous sommes samedi et je n'ai aucune nouvelle depuis. Je sens la crise d’angoisse me gagner… Existes-tu toujours Père Noël ?
J’ai consulté ton site pour avoir des nouvelles, ma commande semble être "en préparation" par tes petits lutins (donc toujours pas expédiée ? Tes reines ont des problèmes de batterie ?).
J'ai réglé ma commande (Ce qui prouve bien que je suis devenu très gentil !) par CB il y a une semaine.
Comprends-moi Père Noël, je ne suis plus un petit nenfant, soit, mais je ne suis pas non plus ta banque !
Alors, Père Noël, je me permets de t’adresser 3 propositions (je suis certain que ta grande sagesse t’indiquera la meilleure chose à faire) :
1) Livre-moi mercredi dernier, comme prévu ! (On sait tous que tu es un peu magicien Père Noël !)
2) Si tu me livre la semaine prochaine, fais-moi un avoir et communique-moi la facture à livraison, que je réglerai à 60 jours fin de mois (Et oui, moi aussi je peux parler comme les ignobles trolls qui s’occupent de ta comptabilité !)
3) Tu peux passer à la maison aujourd’hui, tu sais que tu es le bienvenu, on pourra papoter et régler ce petit différent… (Et si tu peux venir avec ta gentille fée que j’ai eue au téléphone, je crois que ça pourrait devenir sympa !)
Pour finir, Père Noël, sache que je ne garde aucune rancune contre toi…
…mais si tu ne me donne pas de tes nouvelles tout de suite, je débarque au pôle Nord avec mes potes motards et je te marrave ta tronche jusqu’à ce que tu me file mon appareil photo numérique ! Escroc !
Je t'aime toujours très beaucoup, mais faut pas pousser ! Alors à (très) bientôt piti-papa-nouel !
Avec ça, je suis certain d'avoir une réponse ...
... ou pas ...
Môaaaar de rire ! (j'avais promis !)
MOUAHAHAHAHAHAHAHAHAHAH !
La patate
MOUAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHha..haaa...arg..rrr.. keuf keuf. (J'ai failli en mourir)
MOUAHAHAHAHAHAHAHAHAHAH !
La patate
MOUAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHha..haaa...arg..rrr.. keuf keuf. (J'ai failli en mourir)
OK, OK !
Lecteur, tu n'as pas eu le cran de commenter mon dernier post ... je m'en doutais ! (ouai, c'est de la provoc' !)
Je n'en attendais pas moins (!) de toi ! (ouai, c'est de la provoc' !)
Tu commenteras quand je posterai des trucs rigolos, ce sera plus facile ! (ouai, c'est de la provoc' !)
En attendant, moi, j'ai froid et j'ai peur, ce qui me laisse particulièrment aigri !
Du coup, Lecteur, je t'assène un dernier coup de "fais voir comment tu te débrouille dans la vraie vie" avec une copie de ce magnifique post de Kobal2 :
"On en rencontre un ou une, on se te me plait, on se te m'embrasse, on baise, on se quitte, et puis on garde le sourire, et puis on apprend un peu, et puis on continue. Et puis un jour on tombe vraiment Amoureux, et puis on vit, et puis on rit a pleine gorge, et puis les yeux se transforment en petites lanternes dans le noir d'un bar. Et puis ca pète, parceque l'amour ca n'existe jamais qu'un peu, parceque l'autre a trouvé mieux, ou pire, ou qu'il en a marre, ou qu'il s'ennuie, il y'a mille raisons mais ce sont toutes les mêmes. Alors on pleure, alors on meurt, on en finit plus de mourir et puis la vie n'en finit pas de continuer, alors faut faire avec. Alors on hait, alors on déteste, alors on rancoeure, alors on aigri, alors on maigri, alors on jure que plus jamais ca, alors on se venge. Alors on n'y croit plus, alors on fait plus confiance, alors on ose plus donner, se donner, de peur de perdre, de se perdre encore, alors les yeux se fond secs comme le coeur, le coeur se fait dur comme le mur, et le mur n'en finit pas d'épaissir, mais jamais on oublie. Alors on en rencontre un ou une, on se te me plait, on est content d'avoir juste trouvé quelqu'un d'un peu plus proche que les autres parmi la masse des autres, on se te m'embrasse, on baise et on se quitte, mais il n'y a plus rien à dire, plus rien à faire, on sent bien que c'est des redites, que c'est plus vrai, que c'est plus comme avant. Et puis on meurt pour de vrai, on est oublié et tout ça n'a servi à rien, n'a mené a rien.
On a tous vécu ou on vivra tous comme ca, dans l'ordre, comme tout le monde. On a tellement tous les mêmes blessures que ca en devient ridicule. Parceque tout le monde est pareil, parceque personne n'est différent. Parcequ'il n'y a personne qui soit un flocon de neige, beautiful and unique. Parceque tout est formaté, prévu, entendu, compris et re-compris, vécu et re-vécu.
Au fond tout ca est bien ridicule et bien insignifiant...Il parait que c'est normal. Il parait que c'est nécessaire. Tu seras un homme, mon fils. Moi j'aurais préféré rester un gamin...
Finalement, c'est peut être pas une bonne chose d'y survivre."
Voilà, maintenant pleure lecteur ! Tu riras demain...
... ou pas !!!
Lecteur, tu n'as pas eu le cran de commenter mon dernier post ... je m'en doutais ! (ouai, c'est de la provoc' !)
Je n'en attendais pas moins (!) de toi ! (ouai, c'est de la provoc' !)
Tu commenteras quand je posterai des trucs rigolos, ce sera plus facile ! (ouai, c'est de la provoc' !)
En attendant, moi, j'ai froid et j'ai peur, ce qui me laisse particulièrment aigri !
Du coup, Lecteur, je t'assène un dernier coup de "fais voir comment tu te débrouille dans la vraie vie" avec une copie de ce magnifique post de Kobal2 :
"On en rencontre un ou une, on se te me plait, on se te m'embrasse, on baise, on se quitte, et puis on garde le sourire, et puis on apprend un peu, et puis on continue. Et puis un jour on tombe vraiment Amoureux, et puis on vit, et puis on rit a pleine gorge, et puis les yeux se transforment en petites lanternes dans le noir d'un bar. Et puis ca pète, parceque l'amour ca n'existe jamais qu'un peu, parceque l'autre a trouvé mieux, ou pire, ou qu'il en a marre, ou qu'il s'ennuie, il y'a mille raisons mais ce sont toutes les mêmes. Alors on pleure, alors on meurt, on en finit plus de mourir et puis la vie n'en finit pas de continuer, alors faut faire avec. Alors on hait, alors on déteste, alors on rancoeure, alors on aigri, alors on maigri, alors on jure que plus jamais ca, alors on se venge. Alors on n'y croit plus, alors on fait plus confiance, alors on ose plus donner, se donner, de peur de perdre, de se perdre encore, alors les yeux se fond secs comme le coeur, le coeur se fait dur comme le mur, et le mur n'en finit pas d'épaissir, mais jamais on oublie. Alors on en rencontre un ou une, on se te me plait, on est content d'avoir juste trouvé quelqu'un d'un peu plus proche que les autres parmi la masse des autres, on se te m'embrasse, on baise et on se quitte, mais il n'y a plus rien à dire, plus rien à faire, on sent bien que c'est des redites, que c'est plus vrai, que c'est plus comme avant. Et puis on meurt pour de vrai, on est oublié et tout ça n'a servi à rien, n'a mené a rien.
On a tous vécu ou on vivra tous comme ca, dans l'ordre, comme tout le monde. On a tellement tous les mêmes blessures que ca en devient ridicule. Parceque tout le monde est pareil, parceque personne n'est différent. Parcequ'il n'y a personne qui soit un flocon de neige, beautiful and unique. Parceque tout est formaté, prévu, entendu, compris et re-compris, vécu et re-vécu.
Au fond tout ca est bien ridicule et bien insignifiant...Il parait que c'est normal. Il parait que c'est nécessaire. Tu seras un homme, mon fils. Moi j'aurais préféré rester un gamin...
Finalement, c'est peut être pas une bonne chose d'y survivre."
Voilà, maintenant pleure lecteur ! Tu riras demain...
... ou pas !!!
Bon, soyons clairs !
Dans les commentaires des post précédents, Atmoz plane à 3000 pieds (et c’est cool !), Jolie-Mé lance le débat passion/raison (Et y’en aurait à dire !), Akelia me fait lâcher un grand soupir et … Leia est à moitié dans le vrai …
Car effectivement, je suis complètement naze aujourd’hui. Je n’ai pas beaucoup dormi…
Là où Leia se trompe, c’est sur son sémillant « lucky guy » !…
Il est vrai que ma soirée d’hier était … magique…
Mais croyez-moi, c’est compliqué !
Très ! … Trop !
Pourquoi ?
Je vous donne des indices :
1) Elle est superbe (à tous les points de vue),
2) On s’apprécie beaucoup,
3) On s’est beaucoup parlé, sans tabous,
4) On a passé notre soirée à se séduire l’un l’autre.
Vous voyez pas la complication ? Bon, je poursuis, vous l’avez cherché :
5) Nous n’avons pas du tout la même culture (mais le reste en commun, soit !),
6) Elle finalise son divorce (entamer depuis 2 ans, soit !),
7) Elle a deux enfants (adorables, soit !),
8) Elle a un mec (ça foire, soit !).
C’est impossible !
J’ai le cerveau qui ne compile plus ! Je loop à l’infini ! Bref, j’suis dans la mérdeuuuuu !
Allez-y, commentez qu’on rigole !
Dans les commentaires des post précédents, Atmoz plane à 3000 pieds (et c’est cool !), Jolie-Mé lance le débat passion/raison (Et y’en aurait à dire !), Akelia me fait lâcher un grand soupir et … Leia est à moitié dans le vrai …
Car effectivement, je suis complètement naze aujourd’hui. Je n’ai pas beaucoup dormi…
Là où Leia se trompe, c’est sur son sémillant « lucky guy » !…
Il est vrai que ma soirée d’hier était … magique…
Mais croyez-moi, c’est compliqué !
Très ! … Trop !
Pourquoi ?
Je vous donne des indices :
1) Elle est superbe (à tous les points de vue),
2) On s’apprécie beaucoup,
3) On s’est beaucoup parlé, sans tabous,
4) On a passé notre soirée à se séduire l’un l’autre.
Vous voyez pas la complication ? Bon, je poursuis, vous l’avez cherché :
5) Nous n’avons pas du tout la même culture (mais le reste en commun, soit !),
6) Elle finalise son divorce (entamer depuis 2 ans, soit !),
7) Elle a deux enfants (adorables, soit !),
8) Elle a un mec (ça foire, soit !).
C’est impossible !
J’ai le cerveau qui ne compile plus ! Je loop à l’infini ! Bref, j’suis dans la mérdeuuuuu !
Allez-y, commentez qu’on rigole !
HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !
Je vous jure, j'étais sur le point de me pieuter !
Sur le lit, il y a mon pull.
Sur mon pull, il y a son parfum...
- soupir -
C'est trop compliqué, je pête les plombs ...
Je vous jure, j'étais sur le point de me pieuter !
Sur le lit, il y a mon pull.
Sur mon pull, il y a son parfum...
- soupir -
C'est trop compliqué, je pête les plombs ...
Magique…
Ai passé une soirée d’exception.
Nous avons parlé, rit, et parlé encore…
Elle était belle, blottie contre moi, tous les deux sur les toits, Paris à nos pieds…
J’ai laissé échapper ce moment…
Elle et moi, c’est loin d’être « raisonnable » … Je ne crois pas que ce soit possible.
Qu’aurais-je du faire ?
J’ai le cœur qui tremble, et le cerveau en marmelade.
Ne pas y penser… ce serait bien trop compliqué…
Le téléphone sonne, c’est elle.
…
Elle est bien rentrée.
…
Ca va se compliquer…
Ai passé une soirée d’exception.
Nous avons parlé, rit, et parlé encore…
Elle était belle, blottie contre moi, tous les deux sur les toits, Paris à nos pieds…
J’ai laissé échapper ce moment…
Elle et moi, c’est loin d’être « raisonnable » … Je ne crois pas que ce soit possible.
Qu’aurais-je du faire ?
J’ai le cœur qui tremble, et le cerveau en marmelade.
Ne pas y penser… ce serait bien trop compliqué…
Le téléphone sonne, c’est elle.
…
Elle est bien rentrée.
…
Ca va se compliquer…
De l’insoutenable impudeur des blogs …
Il n’est nullement question ici de critiquer la blogosphère. Il en est d’ailleurs hors de question de façon générale ! Qu’on se le dise !
Non, une fois n’est pas costume (hem, hem..), je parle de moi.
Une remarque fort à propos m’a été faite récemment. Et cette remarque semble ouvrir la piste du pourquoi de ce blog.
Question :
« Khazâd, tu crois pas que tu devrais éviter de donner l’adresse de ton blog à des gens qui te connaissent ? »
Et bein non, j’crois pas !
En fait, je ne donne l’accès à la lecture de mon chez-moi qu’à mes proches.
Je comprends que ça puisse vous paraître parfois impudique à vous, qui me connaissez dans la vraie vie (pas la peine de vous planquer, j’ai les noms !), de savoir ce que je ressens vraiment à certaines périodes de ma p’tite vie. Et c’est probablement du au fait que vous lisiez ici des choses que vous ne voyez pas quand je suis en face de vous. Et pour cause : je les cache bien.
Mais, ces sentiments, je me les cache aussi à moi-même.
Et c’est justement la raison d’être de ce blog (ah oui, c’est vrai, faut dire « joueb » maintenant ! pfff ! ).
J’ai commencé à écrire mes premières lignes pour me parler à moi-même. Et ça m’a fait (et ça me fait toujours) un bien fou !
De pouvoir me dire : « Là, Khazâd, tu vas bien. Là, tu vas moins bien. Tu vas couci-couça à cause de ceci-cela. », c’est une façon de sortir de ma maniaco-depressivité maladive pour entrer dans une forme plus positive et surtout plus assumée de la trop grande amplitude émotionnelle qui me caractérise en partie.
(Pour ceux qui ont tout compris de cette phrase dès la première lecture : Bravo !)
Bref, du blog comme moyen de thérapie psychologique !
Donc, amis, n’ayez pas le sentiment d’être impudiques en me lisant. Je suis le seul auteur de ce que vous voyez ici, le seul responsable.
Et si vous me percevez parfois moins impertubable, moins solide, moins solitaire qu’à l’habitude, croyez-le bien, j’en suis ravi.
Celui que vous découvrez ici n’est pas un personnage virtuel. C’est un complément de ma réalité.
Et ce complément, je vous le dois autant qu’à moi-même.
Il n’est nullement question ici de critiquer la blogosphère. Il en est d’ailleurs hors de question de façon générale ! Qu’on se le dise !
Non, une fois n’est pas costume (hem, hem..), je parle de moi.
Une remarque fort à propos m’a été faite récemment. Et cette remarque semble ouvrir la piste du pourquoi de ce blog.
Question :
« Khazâd, tu crois pas que tu devrais éviter de donner l’adresse de ton blog à des gens qui te connaissent ? »
Et bein non, j’crois pas !
En fait, je ne donne l’accès à la lecture de mon chez-moi qu’à mes proches.
Je comprends que ça puisse vous paraître parfois impudique à vous, qui me connaissez dans la vraie vie (pas la peine de vous planquer, j’ai les noms !), de savoir ce que je ressens vraiment à certaines périodes de ma p’tite vie. Et c’est probablement du au fait que vous lisiez ici des choses que vous ne voyez pas quand je suis en face de vous. Et pour cause : je les cache bien.
Mais, ces sentiments, je me les cache aussi à moi-même.
Et c’est justement la raison d’être de ce blog (ah oui, c’est vrai, faut dire « joueb » maintenant ! pfff ! ).
J’ai commencé à écrire mes premières lignes pour me parler à moi-même. Et ça m’a fait (et ça me fait toujours) un bien fou !
De pouvoir me dire : « Là, Khazâd, tu vas bien. Là, tu vas moins bien. Tu vas couci-couça à cause de ceci-cela. », c’est une façon de sortir de ma maniaco-depressivité maladive pour entrer dans une forme plus positive et surtout plus assumée de la trop grande amplitude émotionnelle qui me caractérise en partie.
(Pour ceux qui ont tout compris de cette phrase dès la première lecture : Bravo !)
Bref, du blog comme moyen de thérapie psychologique !
Donc, amis, n’ayez pas le sentiment d’être impudiques en me lisant. Je suis le seul auteur de ce que vous voyez ici, le seul responsable.
Et si vous me percevez parfois moins impertubable, moins solide, moins solitaire qu’à l’habitude, croyez-le bien, j’en suis ravi.
Celui que vous découvrez ici n’est pas un personnage virtuel. C’est un complément de ma réalité.
Et ce complément, je vous le dois autant qu’à moi-même.
Wednesday Ten
Autant je ne me suis jamais prêté à l’inconsistance du Friday five, autant le Wednesday Ten du Doc me tente bien, alors allonzi !
1) Supportez-vous les magnétoscopes qui affichent la durée de film écoulé, plutôt qu’un incompréhensible code à quatre chiffres qui laisse l’espoir que la fin est encore loin ?
L’affichage du magnétoscope est sujet à une distorsion temporelle hallucinante. Le compteur tourne beaucoup plus vite quand on regarde « le péril jeune » entre potes que lors du cinquième visionnage de « Paris brûle-t’il » seul à 2 heures du mat’ (j’ai testé pour vous !). Dans tous les cas, ce compteur est effectivement un incroyable vecteur de … passez-moi l’expression, merci, … de pétage de couilles.
2) Transformez vous les objets ou lieux de votre quotidien en oracles ? Par exemple, vous dites vous que si vous traversez en posant le pied uniquement sur les bandes blanches, votre crédit sera accepté ?
Je suis définitivement un grand malade du « touchage de bois ». Je pense à un truc, si je touche du bois, c’est gagné d’avance, sinon, … il faut que je touche du bois !
3) Etes-vous capable de déplacer un dîner parce que vous voulez regarder en direct votre série préférée, laquelle a pourtant été filmée il y a des lustres ?
Ne parlait-on pas de magnétoscope juste avant ?...
4) Avez-vous déjà éprouvé une certaine pitié pour un objet inanimé, comme un ticket de métro qui semble geindre alors que vous vous approchez de la poubelle, le remerciant de ses services en le vouant à la destruction ?
Pas tout à fait, mais je suis pris d’une accablante culpabilité quand je casse quelque chose, ne manquant pas de m’excuser platement auprès du-dit objet pour l’ignominie commise.
5) Est-ce que l’une de ces trois personnes vous met mal à l’aise au point que vous ne pouvez pas supporter ne serait-ce que sa photo : Charlie Chaplin – Bourvil – Fernand Raynaud
Non, moi c’est Vandame qui me met mal à l’aise… au point de me rouler par terre !
6) Quelle figure géométrique définirait le mieux votre enfance ?
La vrille ! (je crois que c’est clair !)
7) Effaceur Reynolds à torsades, ou Super Pirate ?
La rature ! J’assume moi !
8) Quand vous mentez, de quel côté tournez-vous la tête ?
Je pense pouvoir proférer les mensonges les plus éhontés sans faire siller le plus perfectionné des détecteurs de mensonge…
9) Pouvez-vous vous aller vous coucher s’il est tard, que votre ordinateur est en panne, et que vous n’avez pas résolu le problème ?
Qui peut faire ça ?
10) De quel côté avez-vous tourné la tête en répondant à la question 8 ?
Du côté gauche pour lancer un regard de défi au détecteur de mensonges, puis à droite vers l’armoire à pharmacie ou je range le sérum de vérité !
Autant je ne me suis jamais prêté à l’inconsistance du Friday five, autant le Wednesday Ten du Doc me tente bien, alors allonzi !
1) Supportez-vous les magnétoscopes qui affichent la durée de film écoulé, plutôt qu’un incompréhensible code à quatre chiffres qui laisse l’espoir que la fin est encore loin ?
L’affichage du magnétoscope est sujet à une distorsion temporelle hallucinante. Le compteur tourne beaucoup plus vite quand on regarde « le péril jeune » entre potes que lors du cinquième visionnage de « Paris brûle-t’il » seul à 2 heures du mat’ (j’ai testé pour vous !). Dans tous les cas, ce compteur est effectivement un incroyable vecteur de … passez-moi l’expression, merci, … de pétage de couilles.
2) Transformez vous les objets ou lieux de votre quotidien en oracles ? Par exemple, vous dites vous que si vous traversez en posant le pied uniquement sur les bandes blanches, votre crédit sera accepté ?
Je suis définitivement un grand malade du « touchage de bois ». Je pense à un truc, si je touche du bois, c’est gagné d’avance, sinon, … il faut que je touche du bois !
3) Etes-vous capable de déplacer un dîner parce que vous voulez regarder en direct votre série préférée, laquelle a pourtant été filmée il y a des lustres ?
Ne parlait-on pas de magnétoscope juste avant ?...
4) Avez-vous déjà éprouvé une certaine pitié pour un objet inanimé, comme un ticket de métro qui semble geindre alors que vous vous approchez de la poubelle, le remerciant de ses services en le vouant à la destruction ?
Pas tout à fait, mais je suis pris d’une accablante culpabilité quand je casse quelque chose, ne manquant pas de m’excuser platement auprès du-dit objet pour l’ignominie commise.
5) Est-ce que l’une de ces trois personnes vous met mal à l’aise au point que vous ne pouvez pas supporter ne serait-ce que sa photo : Charlie Chaplin – Bourvil – Fernand Raynaud
Non, moi c’est Vandame qui me met mal à l’aise… au point de me rouler par terre !
6) Quelle figure géométrique définirait le mieux votre enfance ?
La vrille ! (je crois que c’est clair !)
7) Effaceur Reynolds à torsades, ou Super Pirate ?
La rature ! J’assume moi !
8) Quand vous mentez, de quel côté tournez-vous la tête ?
Je pense pouvoir proférer les mensonges les plus éhontés sans faire siller le plus perfectionné des détecteurs de mensonge…
9) Pouvez-vous vous aller vous coucher s’il est tard, que votre ordinateur est en panne, et que vous n’avez pas résolu le problème ?
Qui peut faire ça ?
10) De quel côté avez-vous tourné la tête en répondant à la question 8 ?
Du côté gauche pour lancer un regard de défi au détecteur de mensonges, puis à droite vers l’armoire à pharmacie ou je range le sérum de vérité !
Merci !
Un bise-post pour vous remercier des gentils mails et des jolis commentaires reçus ces derniers jours, symbole au combien rassurant de ma non-exclusion de la société, malgré mon age maintenant avancé...
Oui, je sais, j'en fait trop sur mon age... j'suis complexé, j'y peux rien !
Phénomène sûrement du au fait que j'aimerai parfois être déjà dans la trentaine épanouie tout en m’évertuant à conserver la passion des 20 ans.
Je louvoie sur cette inconfortable position médiane, me réjouissant finalement d’avoir un pied dans chaque âge …
Au passage, je remercie également tous ceux qui ne m’ont rien souhaité parce que trop occupés à boire à ma santé !
A la votre cher lecteur ! Hips !
Un bise-post pour vous remercier des gentils mails et des jolis commentaires reçus ces derniers jours, symbole au combien rassurant de ma non-exclusion de la société, malgré mon age maintenant avancé...
Oui, je sais, j'en fait trop sur mon age... j'suis complexé, j'y peux rien !
Phénomène sûrement du au fait que j'aimerai parfois être déjà dans la trentaine épanouie tout en m’évertuant à conserver la passion des 20 ans.
Je louvoie sur cette inconfortable position médiane, me réjouissant finalement d’avoir un pied dans chaque âge …
Au passage, je remercie également tous ceux qui ne m’ont rien souhaité parce que trop occupés à boire à ma santé !
A la votre cher lecteur ! Hips !
Un piti jeu rigolo ...
Bon, je ne peux décemment pas laisser le post précédent (un peu glloq, oui ça s'écrit comme ça ! en tous cas, ça s'épelle comme ça !) tenir le haut de mon blog. Pas aujourd'hui !
Aujourd'hui, on va jouer un piti jeu rigolo. J'explique :
1) vous cliqouillez sur la section "moi", là, à droite -->
2) vous lisez en diagonal, et vous observez que je suis né un 19 septembre.
3) là, un éclair de génie vous traverse l'esprit (mais si, vous en êtes capable, concentrez-vous, que diantre !)
4) vous me postez un gentil commentaire très à propos, plein de malice et d'intelligence dans le but de me souhaitez vous-savez-quoi.
Et voilà ! Rigolo non ?... non ? Comment ça c'est nul ?!...
Bein, moi ça me fait plaisir...
Décidément, on n'est pas fait pareil vous et moi !
Et c'est tant mieux !
ou pas ...
Bon, je ne peux décemment pas laisser le post précédent (un peu glloq, oui ça s'écrit comme ça ! en tous cas, ça s'épelle comme ça !) tenir le haut de mon blog. Pas aujourd'hui !
Aujourd'hui, on va jouer un piti jeu rigolo. J'explique :
1) vous cliqouillez sur la section "moi", là, à droite -->
2) vous lisez en diagonal, et vous observez que je suis né un 19 septembre.
3) là, un éclair de génie vous traverse l'esprit (mais si, vous en êtes capable, concentrez-vous, que diantre !)
4) vous me postez un gentil commentaire très à propos, plein de malice et d'intelligence dans le but de me souhaitez vous-savez-quoi.
Et voilà ! Rigolo non ?... non ? Comment ça c'est nul ?!...
Bein, moi ça me fait plaisir...
Décidément, on n'est pas fait pareil vous et moi !
Et c'est tant mieux !
ou pas ...
Dernière citation avant dodo :
"On ne tombe pas dans la solitude, parfois on y monte."
Et toc !
"On ne tombe pas dans la solitude, parfois on y monte."
Et toc !
Mythologie indienne
Une vieille légende hindoue assure qu’il y eut un temps où tous les hommes étaients des dieux. Mais ils abusèrent tant de leur divinité que Brahma le maître des dieux, décida de leur ôter le pouvoir divin et de le dissimuler en un lieu où il leur serait impossible de le retrouver. La difficulté fut de trouver la bonne cachette.
Convoqués à un conseil pour résoudre ce problème, les dieux mineurs suggérèrent : « Enterrons la divinité de l’homme dans la terre. » Brahma répondit : « Cela ne suffira pas car l’homme creusera et la trouvera. »
Les dieux mineurs proposèrent alors : « Dans ce cas, jetons la divinité au plus profond des océans. – Non, dit encore Brahma, car tôt ou tard l’homme explorera les profondeurs des océans et il est certain qu’un jour il l’y découvrira et la remontera à la surface. »
Les dieux mineurs conclurent : « Nous ne savons pas où cacher la divinité puisqu’il ne semble pas exister sur terre ou dans la mer d’endroit que l’homme ne puisse atteindre un jour. »
Brahma réfléchit et rendit son verdict : « Voici ce que nous ferons de la divinité de l’homme : nous la cacherons au plus profond de lui-même car c’est le seul lieu où il ne pensera jamais à la chercher. »
Et depuis, dit la légende, l’homme a fait le tour de la Terre. Il a exploré, escaladé, plongé et creusé sans jamais découvrir ce qui se trouve en lui.
C’est de Bernard Werber .
Une vieille légende hindoue assure qu’il y eut un temps où tous les hommes étaients des dieux. Mais ils abusèrent tant de leur divinité que Brahma le maître des dieux, décida de leur ôter le pouvoir divin et de le dissimuler en un lieu où il leur serait impossible de le retrouver. La difficulté fut de trouver la bonne cachette.
Convoqués à un conseil pour résoudre ce problème, les dieux mineurs suggérèrent : « Enterrons la divinité de l’homme dans la terre. » Brahma répondit : « Cela ne suffira pas car l’homme creusera et la trouvera. »
Les dieux mineurs proposèrent alors : « Dans ce cas, jetons la divinité au plus profond des océans. – Non, dit encore Brahma, car tôt ou tard l’homme explorera les profondeurs des océans et il est certain qu’un jour il l’y découvrira et la remontera à la surface. »
Les dieux mineurs conclurent : « Nous ne savons pas où cacher la divinité puisqu’il ne semble pas exister sur terre ou dans la mer d’endroit que l’homme ne puisse atteindre un jour. »
Brahma réfléchit et rendit son verdict : « Voici ce que nous ferons de la divinité de l’homme : nous la cacherons au plus profond de lui-même car c’est le seul lieu où il ne pensera jamais à la chercher. »
Et depuis, dit la légende, l’homme a fait le tour de la Terre. Il a exploré, escaladé, plongé et creusé sans jamais découvrir ce qui se trouve en lui.
C’est de Bernard Werber .
Paris by night
Journée boulot : séminaire = plan galère. Ai l'impression d'avoir prêter le serment d'hypocrite !!
J’ai été très amical avec des gros cons, j’ai obséquieusement papoté avec des mecs qui me détestent parce que j’ai gagné des affaires contre eux, j’ai détruit des gens plutôt sympas, et j’ai pas eu le temps de tailler la bavette avec les gens biens…
Ceci dit, la journée s’est terminée par un dîner sur la Seine… Parisse baill-naillte, c’est très classe, surtout vu de la Seine !
Chui content !
Note pour plus tard : me décider à faire (enfin) le touriste (grimpage sur la tour Eiffel, la tour Montparnasse, l’Arc de triomphe, visite guidée de Montmartre et de tout ce que je ne connais que de loin …).
…Quand j’aurai le temps …
Journée boulot : séminaire = plan galère. Ai l'impression d'avoir prêter le serment d'hypocrite !!
J’ai été très amical avec des gros cons, j’ai obséquieusement papoté avec des mecs qui me détestent parce que j’ai gagné des affaires contre eux, j’ai détruit des gens plutôt sympas, et j’ai pas eu le temps de tailler la bavette avec les gens biens…
Ceci dit, la journée s’est terminée par un dîner sur la Seine… Parisse baill-naillte, c’est très classe, surtout vu de la Seine !
Chui content !
Note pour plus tard : me décider à faire (enfin) le touriste (grimpage sur la tour Eiffel, la tour Montparnasse, l’Arc de triomphe, visite guidée de Montmartre et de tout ce que je ne connais que de loin …).
…Quand j’aurai le temps …
Cékoa tontipe ?
Après m’être bêtement épanché sur une épaule amie à la terrasse d’un café, commentant le charme de deux demoiselles qui passaient par-là, une question m’était posée : « Eh, Khazâd, c’est quoi ton type de fille ? »
La question fatidique était tombée, et vous me connaissez, pas possible de laisser une question sans réponse, là, comme ça, en suspend, bêtement accrochée à rien. Faut une réponse que diantre !
Alors voilà, deux remarques :
Et d’une, je digresse, simplement pour vous préciser que mes potes ne m’appellent pas Khazâd dans la vraie vie réelle du vrai monde. Rassurez-vous. J’ai un vrai prénom réel pour être réellement hélé par les vrais gens de la vraie vie du monde réel. (C’est vrai !)
Et de deux, mon type de fille, c’est super simple ! J’explique :
- Du charme, beaucoup ! (Style : le petit sourire malicieux qui lobotomise sur place !)
- De l’humour (Style : humour de douzième degré … minimum …)
- Spirituelle (Style : intelligente ET discrète)
- Sincère (Style : qui pense ce qu’elle dit, qui dit une partie de ce qu’elle pense, … le reste est à intuiter…)
- Sensuelle (Style : qui aime les petits câlins sages ET les moments très sex)
- Indépendante (Style : vivre à fond les moments à deux tout en conservant des moments à un …et pas plus …)
- Ambitieuse (Style : qui construit sa vie pro et perso MAIS sans oublier de profiter les petits moments qui font la vie)
- Sexy (Style : une jolie silhouette MAIS qui ne se la joue pas pour autant)
- Petite (Style : je précise pour les tolkienophobes, « Khazâd », ça veut pas dire « grand » !)
- Brune, … ou rousse, …ou blonde,… ou chauve… (Style : peut-être pas chauve quand même mais j’m’en fous en fait !)
- 25 ans, … ou 30,…ou 20,…ou 16… (Style : peut-être pas 16 quand même mais j’m’en fous 2, le retour !)
Alors si vous rencontrez la personne qui correspond à cette description, contactez-moi ! …
…Vite !
Vous pouvez laisser un message au 01. … Arrgg !!
Merdeuuu, j’ai pô le téléphone chez moi !
P’tain, comment rater bêtement le grand amour ! C’est ballot !
Saperlotte !
Après m’être bêtement épanché sur une épaule amie à la terrasse d’un café, commentant le charme de deux demoiselles qui passaient par-là, une question m’était posée : « Eh, Khazâd, c’est quoi ton type de fille ? »
La question fatidique était tombée, et vous me connaissez, pas possible de laisser une question sans réponse, là, comme ça, en suspend, bêtement accrochée à rien. Faut une réponse que diantre !
Alors voilà, deux remarques :
Et d’une, je digresse, simplement pour vous préciser que mes potes ne m’appellent pas Khazâd dans la vraie vie réelle du vrai monde. Rassurez-vous. J’ai un vrai prénom réel pour être réellement hélé par les vrais gens de la vraie vie du monde réel. (C’est vrai !)
Et de deux, mon type de fille, c’est super simple ! J’explique :
- Du charme, beaucoup ! (Style : le petit sourire malicieux qui lobotomise sur place !)
- De l’humour (Style : humour de douzième degré … minimum …)
- Spirituelle (Style : intelligente ET discrète)
- Sincère (Style : qui pense ce qu’elle dit, qui dit une partie de ce qu’elle pense, … le reste est à intuiter…)
- Sensuelle (Style : qui aime les petits câlins sages ET les moments très sex)
- Indépendante (Style : vivre à fond les moments à deux tout en conservant des moments à un …et pas plus …)
- Ambitieuse (Style : qui construit sa vie pro et perso MAIS sans oublier de profiter les petits moments qui font la vie)
- Sexy (Style : une jolie silhouette MAIS qui ne se la joue pas pour autant)
- Petite (Style : je précise pour les tolkienophobes, « Khazâd », ça veut pas dire « grand » !)
- Brune, … ou rousse, …ou blonde,… ou chauve… (Style : peut-être pas chauve quand même mais j’m’en fous en fait !)
- 25 ans, … ou 30,…ou 20,…ou 16… (Style : peut-être pas 16 quand même mais j’m’en fous 2, le retour !)
Alors si vous rencontrez la personne qui correspond à cette description, contactez-moi ! …
…Vite !
Vous pouvez laisser un message au 01. … Arrgg !!
Merdeuuu, j’ai pô le téléphone chez moi !
P’tain, comment rater bêtement le grand amour ! C’est ballot !
Saperlotte !
C’tait la fêteuuu, la fêteuuu !
Trop cool, ce vikande : surprise des amis qui ont débarqué chez moi avec force cotillons, sarbacanes et chapeaux pointus sur la tête !
Une chouette surprise !
Et bien évidemment, vous connaissez ma perspicacité, j’ai rien vu venir.
Bonne idée de fêter mon anniv quelques jours en avance !
Bref, cadeaux cools, gentille picole, bataille de serpentins, balade sur le toit, exploration de mp3 et entonnage de vieux Joe Dassin, Dalida, j’en-passe-et-des-meilleurs, tout ça avec les chorégraphies adaptées (mouai …).
Bref, c’était top de chez top !!
Merci les potes !
Trop cool, ce vikande : surprise des amis qui ont débarqué chez moi avec force cotillons, sarbacanes et chapeaux pointus sur la tête !
Une chouette surprise !
Et bien évidemment, vous connaissez ma perspicacité, j’ai rien vu venir.
Bonne idée de fêter mon anniv quelques jours en avance !
Bref, cadeaux cools, gentille picole, bataille de serpentins, balade sur le toit, exploration de mp3 et entonnage de vieux Joe Dassin, Dalida, j’en-passe-et-des-meilleurs, tout ça avec les chorégraphies adaptées (mouai …).
Bref, c’était top de chez top !!
Merci les potes !
Nous vivons une époque formidable !
Je travaille dans un quartier super bien organisé, notamment au niveau des parcmètres !
En effet, dans ce quartier, les parcmètres présentent deux systèmes monétiques très élaborés :
Sur la face avant de la diabolique machine de perception, se situe une fente qui permet à l’honnête contribuable de faire son devoir de citoyen.
Et SOUS la dite machine, il y a un autre trou, percée de façon plus artisanale, qui permet à une bande de gamins (14-15 ans) de récupérer les piécettes.
Observer tout au long de la journée le parcours de la monnaie européenne, c’est magnifique !
Le parcmètre ne produisant plus de tickets, les flics font leur ronde et verbalisent les automobilistes !
Les machines n’ont jamais été réparées. Les gamins jamais inquiétés.
Voyez ce qu’un PV rapporte à l’état par rapport au paiement du stationnement, et vous comprendrez mieux le pourquoi de l’immobilisme du système …
Déjà, je trouve ça génial. Mais il y a plus fort :
Ce midi, je me gare sur l’une de ces places de stationnement piratées. Je ferme la voiture et m’apprête à partir (bein oui, sans payer le parcmètre !).
Là, interviennent deux de ces jeunes « sauvageons » et l’un d’eux me lance :
« Eh, m’sieur, faut payer là ! »
J’étais mort de rire ! Nous vivons une époque formidable ! On a réussi à mettre en place un système dans lequel les fraudeurs font le travail des flics !
Ensuite, pour la petite histoire, on s’est un peu fritté, juste l’occasion d’entendre une magnifique prophétie emplie d’une parfaite lucidité quand au final, le garçon m’invectiva : « Tôa, ma parole, tu finiras mort ! »
…
Il a pas tort…
Je travaille dans un quartier super bien organisé, notamment au niveau des parcmètres !
En effet, dans ce quartier, les parcmètres présentent deux systèmes monétiques très élaborés :
Sur la face avant de la diabolique machine de perception, se situe une fente qui permet à l’honnête contribuable de faire son devoir de citoyen.
Et SOUS la dite machine, il y a un autre trou, percée de façon plus artisanale, qui permet à une bande de gamins (14-15 ans) de récupérer les piécettes.
Observer tout au long de la journée le parcours de la monnaie européenne, c’est magnifique !
Le parcmètre ne produisant plus de tickets, les flics font leur ronde et verbalisent les automobilistes !
Les machines n’ont jamais été réparées. Les gamins jamais inquiétés.
Voyez ce qu’un PV rapporte à l’état par rapport au paiement du stationnement, et vous comprendrez mieux le pourquoi de l’immobilisme du système …
Déjà, je trouve ça génial. Mais il y a plus fort :
Ce midi, je me gare sur l’une de ces places de stationnement piratées. Je ferme la voiture et m’apprête à partir (bein oui, sans payer le parcmètre !).
Là, interviennent deux de ces jeunes « sauvageons » et l’un d’eux me lance :
« Eh, m’sieur, faut payer là ! »
J’étais mort de rire ! Nous vivons une époque formidable ! On a réussi à mettre en place un système dans lequel les fraudeurs font le travail des flics !
Ensuite, pour la petite histoire, on s’est un peu fritté, juste l’occasion d’entendre une magnifique prophétie emplie d’une parfaite lucidité quand au final, le garçon m’invectiva : « Tôa, ma parole, tu finiras mort ! »
…
Il a pas tort…
Et c'est beau !
Suis tombé (boum) sur "Mistral Gagnant" de Renaud, au hasard de ma liste de lecture aléatoire (aller où ?) de mp3...
Et bein... comment vous dire...
C'est beau ...
Bon, OK, dodo !
Suis tombé (boum) sur "Mistral Gagnant" de Renaud, au hasard de ma liste de lecture aléatoire (aller où ?) de mp3...
Et bein... comment vous dire...
C'est beau ...
Bon, OK, dodo !
Le blog, les virus et leur propagation ...
Je m'explique pas ça : Kitof a lu ma prose épique sur l'attaque virale subie ce vikande ... et maintenant, il a choppé la crève...
Les virus grippaux seraient-ils transmissibles via les blogs ?
Ca mérite l'expérience :
N'ai pas peur cher lecteur, approche-toi de ton écran. Plus près ! C'est une juste une petite expérimentation sans risque (promis !). Approche encore, lecteur, tu participe à la science ! Encore un peu... voilà, c'est bien.
Maintenant prends une grande respiration, bouche ouverte... * keuf-keuf * (rien à voir avec la police, je viens juste de toussoter. Khazâd, le blog sous-titré !)
Voilà, maintenant, cher lecteur ami de la science, si demain tu sens ta gorge qui te gratouille, tes intestins qui te chatouillent et la morve qui glandouille (ah, bravo, c'est joli ça !), Ecris-moi ! ...
Et prends rendez-vous chez le médecin...
Vite ...
Je m'explique pas ça : Kitof a lu ma prose épique sur l'attaque virale subie ce vikande ... et maintenant, il a choppé la crève...
Les virus grippaux seraient-ils transmissibles via les blogs ?
Ca mérite l'expérience :
N'ai pas peur cher lecteur, approche-toi de ton écran. Plus près ! C'est une juste une petite expérimentation sans risque (promis !). Approche encore, lecteur, tu participe à la science ! Encore un peu... voilà, c'est bien.
Maintenant prends une grande respiration, bouche ouverte... * keuf-keuf * (rien à voir avec la police, je viens juste de toussoter. Khazâd, le blog sous-titré !)
Voilà, maintenant, cher lecteur ami de la science, si demain tu sens ta gorge qui te gratouille, tes intestins qui te chatouillent et la morve qui glandouille (ah, bravo, c'est joli ça !), Ecris-moi ! ...
Et prends rendez-vous chez le médecin...
Vite ...
Sucette !
Allez, un dernier ti post avant dodo.
Tout à l’heure, à la terrasse du café, 2 petites nanas discutent (et le khazâd à l’oreille qui traîne !) :
- Oh, tu sais pas comment il m’appèle, moi, mon mec ?
- Non … un nom de sucette, non ?
- Ouaaaiiiii ! Chuppa Chups ! il m’appèle Chuppa Chups, c’est mignon !
- Ca m’étonne pas.
- Ah bon, pourquoi ?
- Euh…non…pour rien…
Vous comprenez comme moi ou ai-je l’esprit mal placé ?
Allez, un dernier ti post avant dodo.
Tout à l’heure, à la terrasse du café, 2 petites nanas discutent (et le khazâd à l’oreille qui traîne !) :
- Oh, tu sais pas comment il m’appèle, moi, mon mec ?
- Non … un nom de sucette, non ?
- Ouaaaiiiii ! Chuppa Chups ! il m’appèle Chuppa Chups, c’est mignon !
- Ca m’étonne pas.
- Ah bon, pourquoi ?
- Euh…non…pour rien…
Vous comprenez comme moi ou ai-je l’esprit mal placé ?
Comprends rien …
Je suis assis à la terrasse d’un café. J’écris au crayon de bois sur un petit carnet et ça me change nettement du clavier… C’est moins confortable mais plus agréable…L’impression que les mots sont ainsi plus fortement liés à la pensée… De toutes façons, je recopierai certainement tout ça sur le blog…
Je viens de voir « Filles perdues, cheveux gras » au cinéma. Je ne vais pas vous en faire la critique : je n’ai pas d’avis sur ce film. (voilà, c’est réglé !)
En quittant la salle, me retrouvant dans la rue, face aux terrasses qui s’étalent en cette encore-douce saison ; je n’ai pu que remarquer la particularité de la faune parisienne …
En effet, les tables ici sont généralement occupées par des couples qui, soit se dévorent des yeux (vision à la limite du supportable !), soit regardent ailleurs, ne s’adressant que quelques vagues mots trop clairsemés pour former une véritable conversation (vision à la limite du supportable !).
Ce soir, c’est différent : les tables sont très féminines…
Je n’ai pas d’explication à cela. Peut-être que le mardi soir est le moment privilégié pour les papotages entre copines. Peut-être me suis-je installé dans le quartier lesbien de Paris…
Peu importe, c’est bien agréable !
J’ai été malade tout le week-end, et là, ça va mieux, il fait bon, j’ai le walkman sur les oreilles, le Martini blanc sur la table, les clopes tout à côté, et puis …les filles sont jolies…
Il y a toutefois un gros défaut au tableau.
Rien à voir avec le mec assis à côté qui, son portable greffé au crâne, questionne très indiscrètement sa correspondante, candidate à la location de l’appartement qu’il possède.
Ce mec abuse tant du petit pouvoir que lui confère sa propriété qu’il en est réellement détestable. Je ne le connais pourtant pas. Mais n’en ai aucune envie.
Non, ce qui cloche dans le tableau, c’est moi !
Je suis l’unique mec seul à une table. Je trouve ça étrange… Que font les autres célibataires ? Ils restent cloîtrés chez eux ? Où sont-ils ?
Toutefois, les autres ne sont probablement pas moins communicants que moi ce soir.
Je suis là, assis, sirotant mon Martini et griffonnant sur un calepin, les écouteurs dans les oreilles … Putain ! Qu’est-ce que je peux être associable moi !
Je quitterai bien tout cet attirail sur-le-champ si je pensais que ça pourrait m’aider à établir un quelconque contact… mais je sais qu’il n’en sera rien. Je suis là, étonnement seul parmi la foule…
Qu’est-ce que c’est que ce monde de merde ! Donnez-m’en les clefs, je ne comprends rien.
Dites-moi comment établir le contact avec mes congénères, moi, je sais pas faire !
Je suis assis à la terrasse d’un café. J’écris au crayon de bois sur un petit carnet et ça me change nettement du clavier… C’est moins confortable mais plus agréable…L’impression que les mots sont ainsi plus fortement liés à la pensée… De toutes façons, je recopierai certainement tout ça sur le blog…
Je viens de voir « Filles perdues, cheveux gras » au cinéma. Je ne vais pas vous en faire la critique : je n’ai pas d’avis sur ce film. (voilà, c’est réglé !)
En quittant la salle, me retrouvant dans la rue, face aux terrasses qui s’étalent en cette encore-douce saison ; je n’ai pu que remarquer la particularité de la faune parisienne …
En effet, les tables ici sont généralement occupées par des couples qui, soit se dévorent des yeux (vision à la limite du supportable !), soit regardent ailleurs, ne s’adressant que quelques vagues mots trop clairsemés pour former une véritable conversation (vision à la limite du supportable !).
Ce soir, c’est différent : les tables sont très féminines…
Je n’ai pas d’explication à cela. Peut-être que le mardi soir est le moment privilégié pour les papotages entre copines. Peut-être me suis-je installé dans le quartier lesbien de Paris…
Peu importe, c’est bien agréable !
J’ai été malade tout le week-end, et là, ça va mieux, il fait bon, j’ai le walkman sur les oreilles, le Martini blanc sur la table, les clopes tout à côté, et puis …les filles sont jolies…
Il y a toutefois un gros défaut au tableau.
Rien à voir avec le mec assis à côté qui, son portable greffé au crâne, questionne très indiscrètement sa correspondante, candidate à la location de l’appartement qu’il possède.
Ce mec abuse tant du petit pouvoir que lui confère sa propriété qu’il en est réellement détestable. Je ne le connais pourtant pas. Mais n’en ai aucune envie.
Non, ce qui cloche dans le tableau, c’est moi !
Je suis l’unique mec seul à une table. Je trouve ça étrange… Que font les autres célibataires ? Ils restent cloîtrés chez eux ? Où sont-ils ?
Toutefois, les autres ne sont probablement pas moins communicants que moi ce soir.
Je suis là, assis, sirotant mon Martini et griffonnant sur un calepin, les écouteurs dans les oreilles … Putain ! Qu’est-ce que je peux être associable moi !
Je quitterai bien tout cet attirail sur-le-champ si je pensais que ça pourrait m’aider à établir un quelconque contact… mais je sais qu’il n’en sera rien. Je suis là, étonnement seul parmi la foule…
Qu’est-ce que c’est que ce monde de merde ! Donnez-m’en les clefs, je ne comprends rien.
Dites-moi comment établir le contact avec mes congénères, moi, je sais pas faire !
Chantage !
Vince, me faisant remarquer que je commence à avoir quelques lecteurs (merci, merci !), a tenté le vil chantage : « je vais révéler à tout le monde ta véritable identité ! ».
Pfff, mais Vince, tout le monde se fout de savoir que je suis en fait Colargol dans la vraie vie !
Oups, j’l’ai dit…
Et oui, je chante en fa, en sol, en gilet et en faux-col… (les puristes apprécieront !)
Vince, me faisant remarquer que je commence à avoir quelques lecteurs (merci, merci !), a tenté le vil chantage : « je vais révéler à tout le monde ta véritable identité ! ».
Pfff, mais Vince, tout le monde se fout de savoir que je suis en fait Colargol dans la vraie vie !
Oups, j’l’ai dit…
Et oui, je chante en fa, en sol, en gilet et en faux-col… (les puristes apprécieront !)
Ouais, méheuh…j’ai une excuse m’sieur !
Oui, je sais, mes posts vous ont manqué. (ils ont dit oui ? ouais, ils ont dit oui !)
Eh, stop, j’ai une excuse : ce week-end, le premier depuis longtemps où je n’étais pas en vadrouille, je me disais, oh joie, que j’allais enfin pouvoir m’occuper de mon appart.
Mais c’était sans compter que mon deuxième prénom doit être « Pat’bol » !
J’ai choppé la grippe ! Enfin, rien de mortel, juste une gripette histoire de me clouer au lit 3 jours !
J’ai un conseil pour toi, sémillant lecteur, attaque la cure de vitamine C dès maintenant !
Brif-bref, gripette = pas de post.
Mais aujourd’hui, le virus est quasi-20-cul, la déprime de la semaine dernière est passée, et je me suis même décidé à répondre à nouveau au téléphone, voir à passer quelques coups de fils. Enfin, 2 ! Un à Aurélaille et Vince pour avoir des news de tout le monde, et l’autre à Charly.
Charly, il faut vraiment que je le voie ! Marre des entrevus tous les 3 mois !
Alors, gentil lecteur, donne-moi un coup de main :
Aide-moi à trouver Charly :
Oui, je sais, mes posts vous ont manqué. (ils ont dit oui ? ouais, ils ont dit oui !)
Eh, stop, j’ai une excuse : ce week-end, le premier depuis longtemps où je n’étais pas en vadrouille, je me disais, oh joie, que j’allais enfin pouvoir m’occuper de mon appart.
Mais c’était sans compter que mon deuxième prénom doit être « Pat’bol » !
J’ai choppé la grippe ! Enfin, rien de mortel, juste une gripette histoire de me clouer au lit 3 jours !
J’ai un conseil pour toi, sémillant lecteur, attaque la cure de vitamine C dès maintenant !
Brif-bref, gripette = pas de post.
Mais aujourd’hui, le virus est quasi-20-cul, la déprime de la semaine dernière est passée, et je me suis même décidé à répondre à nouveau au téléphone, voir à passer quelques coups de fils. Enfin, 2 ! Un à Aurélaille et Vince pour avoir des news de tout le monde, et l’autre à Charly.
Charly, il faut vraiment que je le voie ! Marre des entrevus tous les 3 mois !
Alors, gentil lecteur, donne-moi un coup de main :
Aide-moi à trouver Charly :
Balade
Quel week-end de berde !
Pour une fois depuis 2 bois (enfin, 8 sebaides !) que je suis pédard chez boi, que je peux b'occuper de bon appart... Et bein, je suis balade !
Berde !
Quel week-end de berde !
Pour une fois depuis 2 bois (enfin, 8 sebaides !) que je suis pédard chez boi, que je peux b'occuper de bon appart... Et bein, je suis balade !
Berde !
Le fabuleux destin de Khazâd … (mouaih …)
Vu un reportage sur Amélie, ze mouvi.
Ca m’a donné envie de le revoir. Et puis, tiens, soyons fous, d’aller acheter le dividi.
Hors donc, je me rends au Monoprix (note pour plus tard : arrêter de parler du Monoprix dans mes posts !).
Et là, pas de surprise, ils n’ont pas ce dividi, les nazes !
Mais bon, pas grave. Car, en me promenant dans les rayons, qui vois-je passer ? hein ? J’vous l’donne an 1000 ? Emmanuelle Béart. Si, si, sans déconner.
Mon compteur de rencontre avec Emmanuelle (ouais, on s’appelle par nos prénoms, nous, les reusta ! vous pouvez pas comprendre !), en est donc à 3 unités.
Une fois à l’aéroport, une fois à la manif anti-facho (c’est bien Emmanuelle !), et une fois ce soir.
Je côtoie les hautes sphères moi, maintenant ! Enfin, c’est façon de parler, parce qu’elle est vraiment pas grande Emma.
Mais ce qui m’a vraiment fait plaisir ce soir, c’est qu’en sortant du super-mâché, un mec m’a filé un petit carton en me disant « Tenez, c’est une invite, il y a un concert Latina ce soir dans notre quartier » !
Bon, ce n’est pas le concert Latina qui m’émeut, je ne suis pas fan de ce style de zic. Sauf pour danser, mais les top-latineuses sont souvent de magnifiques blacks d’ 1m90. Et moi, je me tape vraiment la honte dans ces situations, avec mon visage pâle qui culmine à 1m20 !
Non, ce qui m’a touché, c’est d’apprendre que j’avais un quartier !
Ouais, c’est mon quartier !
C’est cool !
Vous en avez rien à foutre, mais moi je suis ravi ! :-))
Vu un reportage sur Amélie, ze mouvi.
Ca m’a donné envie de le revoir. Et puis, tiens, soyons fous, d’aller acheter le dividi.
Hors donc, je me rends au Monoprix (note pour plus tard : arrêter de parler du Monoprix dans mes posts !).
Et là, pas de surprise, ils n’ont pas ce dividi, les nazes !
Mais bon, pas grave. Car, en me promenant dans les rayons, qui vois-je passer ? hein ? J’vous l’donne an 1000 ? Emmanuelle Béart. Si, si, sans déconner.
Mon compteur de rencontre avec Emmanuelle (ouais, on s’appelle par nos prénoms, nous, les reusta ! vous pouvez pas comprendre !), en est donc à 3 unités.
Une fois à l’aéroport, une fois à la manif anti-facho (c’est bien Emmanuelle !), et une fois ce soir.
Je côtoie les hautes sphères moi, maintenant ! Enfin, c’est façon de parler, parce qu’elle est vraiment pas grande Emma.
Mais ce qui m’a vraiment fait plaisir ce soir, c’est qu’en sortant du super-mâché, un mec m’a filé un petit carton en me disant « Tenez, c’est une invite, il y a un concert Latina ce soir dans notre quartier » !
Bon, ce n’est pas le concert Latina qui m’émeut, je ne suis pas fan de ce style de zic. Sauf pour danser, mais les top-latineuses sont souvent de magnifiques blacks d’ 1m90. Et moi, je me tape vraiment la honte dans ces situations, avec mon visage pâle qui culmine à 1m20 !
Non, ce qui m’a touché, c’est d’apprendre que j’avais un quartier !
Ouais, c’est mon quartier !
C’est cool !
Vous en avez rien à foutre, mais moi je suis ravi ! :-))
Bonne nouvelle, pas de nouvelle !
Vu le JDN (Journal des Bonnes Nouvelles) sur Canal.
L'idée est glop-glop.
Le résultat pas-glop... Comme "l'Hyper Show" de Beigbeder !
Vu le JDN (Journal des Bonnes Nouvelles) sur Canal.
L'idée est glop-glop.
Le résultat pas-glop... Comme "l'Hyper Show" de Beigbeder !
Nous n’avons pas les mêmes valeurs …
Rentré tôt du boulot ce soir (enfin, cet après-midi devrais-je dire !!).
Et comme j’ai pris la bonne résolution de m’occuper (enfin) de la déco de mon appart ce week-end (qui s’annonce pluvieux sur Paris, ça tombe bien !), je suis passé au Monoprix pour faire quelques emplettes.
Remarque numéro 1 : aller au Monoprix en période de rentrée des classes, c’est un pousse-au-crime ! (surtout quand le rayon bricolage est juste à côté de celui des fournitures scolaires !)
Remarque numéro 2 : Je sais pourquoi ça s’appelle « Monoprix », c’est parce que tous les articles, sans exception, ont le même tarif : 10% de plus qu’ailleurs !
Brif-bref, passablement agacé par les gamins hystérisés par les classeurs Harry Potter et les agendas Scoubidou, je me suis rabattu sur l’alimentaire, n’emportant que de malheureux portes serviettes de mon escapade « bricolage ».
Remarque numéro 3 : vous savez qu’il y a des accroches-serviettes qui sont en fait de petites pinces qui se collent aux murs? oui ? Alors pourquoi achetez-vous encore les bêtes crochets qui laissent tout tomber paterre ? (par terre – patère, ahahah !)
Re-bref, tout en remplissant mon pitit panier de précieuses denrées, je remarque une charmante demoiselle que je croise plusieurs fois au détour des rayonnages (étiquetés en francs ?!).
Elle était charmante. On a échangé des regards curieux à plusieurs reprises. Sympa.
Et puis, devant le rayon cacahuètes (c’est romantique, hein ?), nous nous sommes retrouvés face à face, bloqués par un kadi surchargé (comment peut-il y avoir des kadis surchargés au monoprix-promo-10%-plus-cher-qu’ailleurs ?).
Nous nous sommes regardé, je lui ai sourit, elle m’a sourit… sympa.
Puis nos regards ont glissé simultanément (c’est beau, hein ?) sur le contenu de nos paniers respectifs.
Moi, Délice-chocs, Fingers, biscuits apéritifs, Coca, plaques de chocolat (ça, c’est thérapeutique, j’ai un mot du médecin, le chocolat est un palliatif à je-ne-sais-plus-quoi-de-vachement-important-dans-la-vie).
Elle, salade, compotes allégées, pur jus d’orange, poisson frais.
Nos chemins se sont croisés, je ne l’ai pas revu !
Moralité : on ne devrait jamais se mettre l’œil au panier dès la première rencontre…
Rentré tôt du boulot ce soir (enfin, cet après-midi devrais-je dire !!).
Et comme j’ai pris la bonne résolution de m’occuper (enfin) de la déco de mon appart ce week-end (qui s’annonce pluvieux sur Paris, ça tombe bien !), je suis passé au Monoprix pour faire quelques emplettes.
Remarque numéro 1 : aller au Monoprix en période de rentrée des classes, c’est un pousse-au-crime ! (surtout quand le rayon bricolage est juste à côté de celui des fournitures scolaires !)
Remarque numéro 2 : Je sais pourquoi ça s’appelle « Monoprix », c’est parce que tous les articles, sans exception, ont le même tarif : 10% de plus qu’ailleurs !
Brif-bref, passablement agacé par les gamins hystérisés par les classeurs Harry Potter et les agendas Scoubidou, je me suis rabattu sur l’alimentaire, n’emportant que de malheureux portes serviettes de mon escapade « bricolage ».
Remarque numéro 3 : vous savez qu’il y a des accroches-serviettes qui sont en fait de petites pinces qui se collent aux murs? oui ? Alors pourquoi achetez-vous encore les bêtes crochets qui laissent tout tomber paterre ? (par terre – patère, ahahah !)
Re-bref, tout en remplissant mon pitit panier de précieuses denrées, je remarque une charmante demoiselle que je croise plusieurs fois au détour des rayonnages (étiquetés en francs ?!).
Elle était charmante. On a échangé des regards curieux à plusieurs reprises. Sympa.
Et puis, devant le rayon cacahuètes (c’est romantique, hein ?), nous nous sommes retrouvés face à face, bloqués par un kadi surchargé (comment peut-il y avoir des kadis surchargés au monoprix-promo-10%-plus-cher-qu’ailleurs ?).
Nous nous sommes regardé, je lui ai sourit, elle m’a sourit… sympa.
Puis nos regards ont glissé simultanément (c’est beau, hein ?) sur le contenu de nos paniers respectifs.
Moi, Délice-chocs, Fingers, biscuits apéritifs, Coca, plaques de chocolat (ça, c’est thérapeutique, j’ai un mot du médecin, le chocolat est un palliatif à je-ne-sais-plus-quoi-de-vachement-important-dans-la-vie).
Elle, salade, compotes allégées, pur jus d’orange, poisson frais.
Nos chemins se sont croisés, je ne l’ai pas revu !
Moralité : on ne devrait jamais se mettre l’œil au panier dès la première rencontre…
Efachème
Voilà, voilà, il est là l'article de Efachème qui parle d'Agapi.
Qu'est-ce qu'on dit ?
Merci ?
Non, on dit "ça ne m'empéchera pas d'aller jusqu'au kiosque avec mes p'tits pieds et mes p'tits sous pour acheter Efachème". Pfff, faut tout vous dire !
Voilà, voilà, il est là l'article de Efachème qui parle d'Agapi.
Qu'est-ce qu'on dit ?
Merci ?
Non, on dit "ça ne m'empéchera pas d'aller jusqu'au kiosque avec mes p'tits pieds et mes p'tits sous pour acheter Efachème". Pfff, faut tout vous dire !
Je me ménage ...
...et je fais le ménage. Dans mes liens notamment.
Hors donc, dans "mon top blogs", il y a des p'tits nouveaux... et d'autres ont disparu. C'est la vie, le monde tourne (paron) ...
En même temps, ça me fait un petit quelque chose de supprimer certains liens, ... mais c'est comme ça ...
...et je fais le ménage. Dans mes liens notamment.
Hors donc, dans "mon top blogs", il y a des p'tits nouveaux... et d'autres ont disparu. C'est la vie, le monde tourne (paron) ...
En même temps, ça me fait un petit quelque chose de supprimer certains liens, ... mais c'est comme ça ...
Note pour plus tard (à la demande générale)
Scanner et mettre ici la copie de l'article de Efachème concernant Agapi.
Scanner et mettre ici la copie de l'article de Efachème concernant Agapi.
Steuffe ...
Ayé, j'ai ajouté mon premier fichier dans ma rubrique "stuff".
Z'allez pas être déçus du voyage !!!
J'adore !
Ayé, j'ai ajouté mon premier fichier dans ma rubrique "stuff".
Z'allez pas être déçus du voyage !!!
J'adore !
Défoncé, gros regrets !
Voilà donc un autre épisode pathétique de ma vie sentimentale (spéciale dédicace à Joëlle Mazard :-) !). Je sais que ça vous plait, bande de petits pervers ! pfff ! bon, allons-y.
C’était il y a quelques années (7-8 ?), j’habitais encore à Lille et je suis venu passer le week-end à Paris chez ma meilleure amie : Adeline (depuis, on s’est perdu de vue, c’est triste, mais c’est un autre sujet …).
Je débarque donc le samedi et me rends chez Adeline (suivez bien, hein ! y’a des vrais personnages avec des vrais prénoms dans mon histoire vraie !).
Là, l’après-midi, j’y rencontre une de ses amies : Martine (je vous en ai déjà parlé dans le post « Le goût des autres »).
Le courant passe bien avec Martine, je la trouve ravissante. En fait, elle était absolument canon (elle l’est toujours !) mais j’étais là pour mon amie Adeline…
Hors donc, l’après-midi se passe dans les préparatifs de la fiesta du soir ! Les parents d’Adeline ne sont pas là, je dormirai sur place, je vais rencontrer plein de monde, ça s’annonce sympathique.
Je passe les détails mais notez que la soirée était très chaude !
Beaucoup de gens sympas, d’alcool, de rires, et surtout pas mal de regards charmeurs entre Martine et moi !
L’heure tourne, et quelques cigarettes-qui-font-rire tournent aussi. Je sais, la drogue, c’est de la merde ! C’est mal ! Il ne faut pas ! Mais je tiens à préciser que ce n’était pas de la drogue, juste quelques joints ! Donc y’a pas d’mal. On est tous d’accord.
Impossible de me rappeler si Martine et moi nous sommes embrassés à ce moment là… Ma cervelle trouée a encore zappé un grand moment. Ca devait être super, mais j’ai oublié ! Je ne vais pas m’attarder la-dessus, ça va encore m’énerver !
Bref, un peu plus tard, l’un des invités à la bonne idée de jouer au Mac-Gyver. Il s’empare d’une maxi-bouteille de coca, de quelques pailles, de scotch, d’un alcool indéterminé et d’une bonne dose d’herbe-à-rigoler. Les connaisseurs apprécieront, c’est ce que l’on appèle un « bang ». Et c’était la première fois que je fumais avec ce type de méga-shilum de bricolo.
Bref, point d’apologie à faire sur le sujet ! j’étais défoncé et j’avais un mal de crâne du tonnerre.
Vers 5 heures du mat, ma migraine avait empiré, et les invités rentraient chez eux.
Adeline demande à Martine si elle veut dormir là.
Elle répond oui et me demande si je veux bien dormir avec elle.
youpi-ail, me dis-je ! youpi pour Martine et ail pour mon crâne qui commence à se fendiller (enfin, c’est l’impression que j’avais !)
Je vais donc passer la nuit (enfin, ce qu’il en reste) avec Martine dans le même lit !
Pendant que Martine occupe la salle de bains, je cherche partout une aspirine, un Doliprane, un marteau, enfin tout ce qui peut faire passer une migraine ! J’ai retourné tout l’appart mais rien ! Bredouille !
Tant pis, je retourne dans la chambre, et je me la joue caleçon-tee-shirt. Tranquillou. Je fais le mâle viril, malgré le vilebrequin qui me troue la tête.
Martine sort de la salle de bains.
Elle me lance le plus chaud des regards. Me laissant pantois.
Elle enlève son jean. Me laissant admirer ses fesses parfaites.
Puis son tee-shirt. Me laissant bouche-bée devant ses magnifiques petits seins.
Puis sa petite culotte. Me laissant…mort sur place !
Elle se couche à côté de moi… nous nous embrassons, je sens contre moi son corps ferme, doux et chaud…et aussi… mon putain de mal de crâne qui m’explose de l’intérieur !!!
Vous savez ce que c’est, quand un garçon est excité, le principe de l’afflux sanguin… et bien ça marche super bien aussi sur la cervelle douloureuse !!!
Je n’en pouvais plus, je me suis excusé, c’était trop pour ma p’tite tête. Je me suis couché à côté d’elle, un oreiller sur la tronche pour éviter les premiers rayons du soleil qui se levait derrière les stores de la chambre.
J’ai fini par m’endormir.
Voilà le plus con : le matin, vers 15h00 (j’adore quand le matin se situe vers 15h00 !) je me réveille, Martine s’était déjà levée. Je me dirige au radar vers les toilettes. M’y enferme pour y faire ma petite affaire. Et là, debout devant les chiottes, mes yeux font doucement la mise au point sur la tablette qui se trouve face à moi et sur laquelle trône, bien en évidence, une belle boîte de Doliprane !
Quel con,
Mais quel con !
MAIS QUEL CON !
Et encore, je ne vous ai pas raconté la journée qui suit, je ne vous ai pas raconté ma tronche en apprenant qu’elle n’était pas majeure, je ne vous ai pas dit que j’étais en couple (enfin quasi) à ce moment là, et la suite … Quelle débauche, mais ne vous faites pas une opinion trop vite, j’ai encore plein de choses à narrer ici (avant de les oublier !) … à bientôt pour un nouvel épisode !
Voilà donc un autre épisode pathétique de ma vie sentimentale (spéciale dédicace à Joëlle Mazard :-) !). Je sais que ça vous plait, bande de petits pervers ! pfff ! bon, allons-y.
C’était il y a quelques années (7-8 ?), j’habitais encore à Lille et je suis venu passer le week-end à Paris chez ma meilleure amie : Adeline (depuis, on s’est perdu de vue, c’est triste, mais c’est un autre sujet …).
Je débarque donc le samedi et me rends chez Adeline (suivez bien, hein ! y’a des vrais personnages avec des vrais prénoms dans mon histoire vraie !).
Là, l’après-midi, j’y rencontre une de ses amies : Martine (je vous en ai déjà parlé dans le post « Le goût des autres »).
Le courant passe bien avec Martine, je la trouve ravissante. En fait, elle était absolument canon (elle l’est toujours !) mais j’étais là pour mon amie Adeline…
Hors donc, l’après-midi se passe dans les préparatifs de la fiesta du soir ! Les parents d’Adeline ne sont pas là, je dormirai sur place, je vais rencontrer plein de monde, ça s’annonce sympathique.
Je passe les détails mais notez que la soirée était très chaude !
Beaucoup de gens sympas, d’alcool, de rires, et surtout pas mal de regards charmeurs entre Martine et moi !
L’heure tourne, et quelques cigarettes-qui-font-rire tournent aussi. Je sais, la drogue, c’est de la merde ! C’est mal ! Il ne faut pas ! Mais je tiens à préciser que ce n’était pas de la drogue, juste quelques joints ! Donc y’a pas d’mal. On est tous d’accord.
Impossible de me rappeler si Martine et moi nous sommes embrassés à ce moment là… Ma cervelle trouée a encore zappé un grand moment. Ca devait être super, mais j’ai oublié ! Je ne vais pas m’attarder la-dessus, ça va encore m’énerver !
Bref, un peu plus tard, l’un des invités à la bonne idée de jouer au Mac-Gyver. Il s’empare d’une maxi-bouteille de coca, de quelques pailles, de scotch, d’un alcool indéterminé et d’une bonne dose d’herbe-à-rigoler. Les connaisseurs apprécieront, c’est ce que l’on appèle un « bang ». Et c’était la première fois que je fumais avec ce type de méga-shilum de bricolo.
Bref, point d’apologie à faire sur le sujet ! j’étais défoncé et j’avais un mal de crâne du tonnerre.
Vers 5 heures du mat, ma migraine avait empiré, et les invités rentraient chez eux.
Adeline demande à Martine si elle veut dormir là.
Elle répond oui et me demande si je veux bien dormir avec elle.
youpi-ail, me dis-je ! youpi pour Martine et ail pour mon crâne qui commence à se fendiller (enfin, c’est l’impression que j’avais !)
Je vais donc passer la nuit (enfin, ce qu’il en reste) avec Martine dans le même lit !
Pendant que Martine occupe la salle de bains, je cherche partout une aspirine, un Doliprane, un marteau, enfin tout ce qui peut faire passer une migraine ! J’ai retourné tout l’appart mais rien ! Bredouille !
Tant pis, je retourne dans la chambre, et je me la joue caleçon-tee-shirt. Tranquillou. Je fais le mâle viril, malgré le vilebrequin qui me troue la tête.
Martine sort de la salle de bains.
Elle me lance le plus chaud des regards. Me laissant pantois.
Elle enlève son jean. Me laissant admirer ses fesses parfaites.
Puis son tee-shirt. Me laissant bouche-bée devant ses magnifiques petits seins.
Puis sa petite culotte. Me laissant…mort sur place !
Elle se couche à côté de moi… nous nous embrassons, je sens contre moi son corps ferme, doux et chaud…et aussi… mon putain de mal de crâne qui m’explose de l’intérieur !!!
Vous savez ce que c’est, quand un garçon est excité, le principe de l’afflux sanguin… et bien ça marche super bien aussi sur la cervelle douloureuse !!!
Je n’en pouvais plus, je me suis excusé, c’était trop pour ma p’tite tête. Je me suis couché à côté d’elle, un oreiller sur la tronche pour éviter les premiers rayons du soleil qui se levait derrière les stores de la chambre.
J’ai fini par m’endormir.
Voilà le plus con : le matin, vers 15h00 (j’adore quand le matin se situe vers 15h00 !) je me réveille, Martine s’était déjà levée. Je me dirige au radar vers les toilettes. M’y enferme pour y faire ma petite affaire. Et là, debout devant les chiottes, mes yeux font doucement la mise au point sur la tablette qui se trouve face à moi et sur laquelle trône, bien en évidence, une belle boîte de Doliprane !
Quel con,
Mais quel con !
MAIS QUEL CON !
Et encore, je ne vous ai pas raconté la journée qui suit, je ne vous ai pas raconté ma tronche en apprenant qu’elle n’était pas majeure, je ne vous ai pas dit que j’étais en couple (enfin quasi) à ce moment là, et la suite … Quelle débauche, mais ne vous faites pas une opinion trop vite, j’ai encore plein de choses à narrer ici (avant de les oublier !) … à bientôt pour un nouvel épisode !
Marre à thons
Ouf, quelle journée les enfants, quelle journée ! (vous permettez que je vous appelle « les enfants » ? oui, hein ? De toutes façons, c’est fait !).
Hors donc, là, je viens finalement de regagner mes pénates après une journée d’enfer (une journée marathon, que je dis dans le titre ! zavez compris ? ça c’est du jeu de mots drôle hein ?).
Il est exactement … tard et je viens seulement de rentrer après avoir patienter une demi heure dans ma voiture. Bloqué dans une rue, subissant l’inénarrable intelligence des représentants de la maréchaussée qui n’avaient rien trouvé de mieux à faire que de laisser leur voiture moche (compliment gratuit !) en travers de la rue pendant leur tournée de P.V.. A 21h30 ! Ils passent vraiment des super-soirées les keufs ! Faut dire qu’il y avait des dealers à 200 mètres à peine, ça peut être dangereux ! Je comprends qu’ils préfèrent coller des prunes aux contribuables dont les véhicules empiètent de 20cm sur les passages piétons que personne n’emprunte ! …
Bref, une fois leur manœuvre accomplie et la rue dégagée, j’ai encore tourné une demi heure pour trouver une place à 3 bornes de chez moi.
Et là, voilà, j’y suis, je retrouve mon piti PC chéri et je post ! Rien que pour vos beaux oeils !
Pourtant je suis naze ! Crevé comme un arsouille ! (je sais que cette expression n’existe pas, mais je l’aime bien, moi, cette expression qui n’existe pas !)
Levé ce matin à 5h00 (comme en témoigne le dernier post, si agréablement commenté par ma Joëlle Mazard préférée …).
2 heures et demi de route pour rejoindre le siège de ma boîte, pour une big réunion de rentrée. Donc une journée de négociations dans la tronche puis retour (3 heures de retour : c’est aussi la rentrée des bouchons parisiens !).
Une bonne nouvelle tout de même : j’ai signé un gros contrat aujourd’hui (et ouais, j’suis un businnaissmanne môa !). Je vais être riche ! A moi les impôts exorbitants ! Youpi !
Alors pourquoi me foule-je à écrire des posts en rentrant après tout ça ?
Bein, … tout simplement parce que je dois le récit de l’une de mes expériences à la con à Joëlle Mazard.
Mouai, c’est pas clair… Si, si, je vois bien que cette dernière phrase a jeté la confusion dans vos esprits !
Alors sachez que, oui, je connais Joëlle Mazard (et elle est trop cool ! croyez-moi !) et pour mon récit affligeant, c’est dans le prochain post !
Ouf, quelle journée les enfants, quelle journée ! (vous permettez que je vous appelle « les enfants » ? oui, hein ? De toutes façons, c’est fait !).
Hors donc, là, je viens finalement de regagner mes pénates après une journée d’enfer (une journée marathon, que je dis dans le titre ! zavez compris ? ça c’est du jeu de mots drôle hein ?).
Il est exactement … tard et je viens seulement de rentrer après avoir patienter une demi heure dans ma voiture. Bloqué dans une rue, subissant l’inénarrable intelligence des représentants de la maréchaussée qui n’avaient rien trouvé de mieux à faire que de laisser leur voiture moche (compliment gratuit !) en travers de la rue pendant leur tournée de P.V.. A 21h30 ! Ils passent vraiment des super-soirées les keufs ! Faut dire qu’il y avait des dealers à 200 mètres à peine, ça peut être dangereux ! Je comprends qu’ils préfèrent coller des prunes aux contribuables dont les véhicules empiètent de 20cm sur les passages piétons que personne n’emprunte ! …
Bref, une fois leur manœuvre accomplie et la rue dégagée, j’ai encore tourné une demi heure pour trouver une place à 3 bornes de chez moi.
Et là, voilà, j’y suis, je retrouve mon piti PC chéri et je post ! Rien que pour vos beaux oeils !
Pourtant je suis naze ! Crevé comme un arsouille ! (je sais que cette expression n’existe pas, mais je l’aime bien, moi, cette expression qui n’existe pas !)
Levé ce matin à 5h00 (comme en témoigne le dernier post, si agréablement commenté par ma Joëlle Mazard préférée …).
2 heures et demi de route pour rejoindre le siège de ma boîte, pour une big réunion de rentrée. Donc une journée de négociations dans la tronche puis retour (3 heures de retour : c’est aussi la rentrée des bouchons parisiens !).
Une bonne nouvelle tout de même : j’ai signé un gros contrat aujourd’hui (et ouais, j’suis un businnaissmanne môa !). Je vais être riche ! A moi les impôts exorbitants ! Youpi !
Alors pourquoi me foule-je à écrire des posts en rentrant après tout ça ?
Bein, … tout simplement parce que je dois le récit de l’une de mes expériences à la con à Joëlle Mazard.
Mouai, c’est pas clair… Si, si, je vois bien que cette dernière phrase a jeté la confusion dans vos esprits !
Alors sachez que, oui, je connais Joëlle Mazard (et elle est trop cool ! croyez-moi !) et pour mon récit affligeant, c’est dans le prochain post !
tavuleure !
Non, mais, vous zavez vu à quelle heure je post moi ? !
Dingue !
Non, mais, vous zavez vu à quelle heure je post moi ? !
Dingue !
Grillé !
Etant un garçon un tantinet civilisé (j'adore "un tantinet"), je ne suis pas passé à côté de l'info de la semaine.
Quoi ? quelle info ?
Mais vous zêtes fous ? oh, oui ! (Benny B, quel talent !)
Eh bien, je parle de la génialissime médiatisation du blog de la charmante Agapi qui s'est finalement fait rattraper par le succès paparasiesque via FHM (page 141, faut-il encore le préciser ?).
Entre autres conséquences de cet article, je citerai le fait que FHM ait doublé son record de vente et le fait que le Khazâd se soit fait (définitivement ?) griller au boulot !
Bein ouai, je viens de me rendre compte que j'ai oublié ce magazine d'une pertinence sub-aquatique sur mon bureau.
Comment je vais me faire chambrer moi !
Etant un garçon un tantinet civilisé (j'adore "un tantinet"), je ne suis pas passé à côté de l'info de la semaine.
Quoi ? quelle info ?
Mais vous zêtes fous ? oh, oui ! (Benny B, quel talent !)
Eh bien, je parle de la génialissime médiatisation du blog de la charmante Agapi qui s'est finalement fait rattraper par le succès paparasiesque via FHM (page 141, faut-il encore le préciser ?).
Entre autres conséquences de cet article, je citerai le fait que FHM ait doublé son record de vente et le fait que le Khazâd se soit fait (définitivement ?) griller au boulot !
Bein ouai, je viens de me rendre compte que j'ai oublié ce magazine d'une pertinence sub-aquatique sur mon bureau.
Comment je vais me faire chambrer moi !
6 tassions
C'est très bizarre d'écrire sur un ordinateur, c'est comme sculpter de l'eau.
[ Jean Echenoz ]
L'anonymat que permet la communication sur internet ne serait-il pas un aphrodisiaque ?
[ Walter Goodman ]
Et ma préférée :
La réalité, c'est ce qui fait mal quand on éteint l'ordinateur.
[ John Warsen ]
C'est très bizarre d'écrire sur un ordinateur, c'est comme sculpter de l'eau.
[ Jean Echenoz ]
L'anonymat que permet la communication sur internet ne serait-il pas un aphrodisiaque ?
[ Walter Goodman ]
Et ma préférée :
La réalité, c'est ce qui fait mal quand on éteint l'ordinateur.
[ John Warsen ]
Léger
J'ai promis :
L’amour... il y a ceux qui en parlent et il y a ceux qui le font. À partir de quoi il m’apparaît urgent de me taire.
C'est du Desproges ça, non ? Si !
J'ai promis :
L’amour... il y a ceux qui en parlent et il y a ceux qui le font. À partir de quoi il m’apparaît urgent de me taire.
C'est du Desproges ça, non ? Si !
Pause-café
Ayé, c'est contagieux, ça me prend même au boulot maintenant !
J'ai pas remarqué, mais la porte de mon bureau doit porter l'inscription "assistant social" !
Une de mes collègues, 45 ans, viens me pleurer dans les bras : rupture. C'est grave.
Ca m'a fait plaisir de lui remonter (un peu) le moral mais bon, même si je ne sature pas encore tout à fait, le rôle de "Joëlle Mazard" que tout le monde me prête commence à me peser sérieusement sur les nerfs.
Aider, moi, je veux bien, avec plaisir même. Mais putain-de-bordel-de-zut, qui s'occupe de Joëlle Mazard quand elle ne va pas bien ?
Pourquoi est-ce que j'attire toutes les confidences et tous les états d'âme ?
Pourquoi est-ce que tout le monde est persuadé que je suis fort au point d'encaisser les merdes des autres en plus des miennes ?
Pourquoi est-ce que personne n'ose imaginer que, moi non plus, je ne vais pas bien ?
Moi aussi, j'ai le droit à ma Joëlle Mazard ! Même à mi-temps ! Fait chier merde !
Bon, en plus d'être chiant pour vous, je deviens grossier.
Promis, le prochain post sera plus léger !
J'ai juste besoin d'une pause-café avant ...
Ayé, c'est contagieux, ça me prend même au boulot maintenant !
J'ai pas remarqué, mais la porte de mon bureau doit porter l'inscription "assistant social" !
Une de mes collègues, 45 ans, viens me pleurer dans les bras : rupture. C'est grave.
Ca m'a fait plaisir de lui remonter (un peu) le moral mais bon, même si je ne sature pas encore tout à fait, le rôle de "Joëlle Mazard" que tout le monde me prête commence à me peser sérieusement sur les nerfs.
Aider, moi, je veux bien, avec plaisir même. Mais putain-de-bordel-de-zut, qui s'occupe de Joëlle Mazard quand elle ne va pas bien ?
Pourquoi est-ce que j'attire toutes les confidences et tous les états d'âme ?
Pourquoi est-ce que tout le monde est persuadé que je suis fort au point d'encaisser les merdes des autres en plus des miennes ?
Pourquoi est-ce que personne n'ose imaginer que, moi non plus, je ne vais pas bien ?
Moi aussi, j'ai le droit à ma Joëlle Mazard ! Même à mi-temps ! Fait chier merde !
Bon, en plus d'être chiant pour vous, je deviens grossier.
Promis, le prochain post sera plus léger !
J'ai juste besoin d'une pause-café avant ...
Bilan
J'ai dis que je vous parlerai de mon week-end ? Et bien finalement non !
J'ai changé d'avis.
C'est comme ça.
Bon, alors juste une chose : aller au week-end d'anniversaire de son ex (5 ans de vie commune), c'est une très mauvaise idée.
Mais alors, vous ne pouvez même pas savoir à quel point ça peut être une idée de merde !
Toute pourrie l'idée.
Là, pour l'instant, je suis persuadé que l'amitié est un rapport mercantile et que l'amour est une vue de l'esprit.
Tout ça est conforté par le fait que le seul à m'apporter de l'aide en ce moment soit ... mon PC.
Pas d'inquiétude, je ne vais pas vous prendre la teuté (ouais, c'est du langage de d'jeunes) avec ça, je vais attendre d'avoir repris un peu du poil de la bête (à défaut de belle) avant le prochain post ! Bientôt. J'espère.
J'ai dis que je vous parlerai de mon week-end ? Et bien finalement non !
J'ai changé d'avis.
C'est comme ça.
Bon, alors juste une chose : aller au week-end d'anniversaire de son ex (5 ans de vie commune), c'est une très mauvaise idée.
Mais alors, vous ne pouvez même pas savoir à quel point ça peut être une idée de merde !
Toute pourrie l'idée.
Là, pour l'instant, je suis persuadé que l'amitié est un rapport mercantile et que l'amour est une vue de l'esprit.
Tout ça est conforté par le fait que le seul à m'apporter de l'aide en ce moment soit ... mon PC.
Pas d'inquiétude, je ne vais pas vous prendre la teuté (ouais, c'est du langage de d'jeunes) avec ça, je vais attendre d'avoir repris un peu du poil de la bête (à défaut de belle) avant le prochain post ! Bientôt. J'espère.
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(je sais, c'est con, mais c'est comme ça !)
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