Les dimanches à la con, (première version presque drôle…ou pas…).
Je me suis levé trop tôt pour un dimanche. (c’est vous dire à quel point je tente de le zapper le dimanche.)
Je me suis préparé le café et les tartines, c’est le seul jour ou je petit-déjeune. (c’est vous dire comment il est long le dimanche !)
Je me suis dirigé au radar vers le PC. (c’est vous dire comment je me fais chier le dimanche !)
Et je me suis aperçu, avec le réglage automatique de l’horloge, que je m’étais levé BEAUCOUP trop tôt ! (c’est vous dire à quel point il m’énerve le dimanche !)
Ensuite, passage en revue de la blogosphère dans son intégralité (enfin quasi, c’est qu’on commence à être nombreux quand même !), glandage devant la téloche (grrrr), puis expédition vers le vidéo-club, en faisant 36 détours pour rallonger le parcours, histoire de me donner l’impression d’être occupé à aller partout.
Retour, matage de film. Encore trop tôt.
Rangement, vaisselle. Encore trop tôt.
Coup de fil de ma mère à qui je dois coûte que coûte faire croire que tout va pour le mieux.
Coup de fil d’une amie qui rentre sur Paris et me propose une soirée avec une de ses amies. Pas envie.
Ecoute passive de mp3, arrêt sur la dernière reprise de « Paris » de Marc Lavoine qui me donne envie d’avoir envie de sortir...
Encore un dimanche à la con, dans une version encore plus blessante que celle chantée par l’idole de Kobal2.