Comment vous dire…

Bah, merci, tout simplement !
Vos commentaires m’ont, une fois de plus, beaucoup touché… (j’en veux encoooore !!)

Et vous avez raison sur toute la ligne : le fait que A. m’ait lu est, en fait, une très bonne chose.
Même si je n’ai pas toujours été tendre, notamment dans les derniers posts, j’ai été sincère, comme je le suis toujours ici, sur mon petit espace de liberté achtéhaimelle…

Nous avons discuté des heures et des heures (et des heures !) au téléphone. C’était… comment vous dire… c’était précieux… très précieux.
Ce qui implique que je ne divulguerai pas grand chose ici. Jaloux de ces mots que je veux égoïstement garder pour moi seul…
Vous me comprendrez certainement.

En tous cas, j’ai l’impression de vivre une expérience très particulière avec mon blog. Je n’ai jamais été aussi heureux d’avoir, un jour, décidé de créer ce site…
Parce que vous êtes là, chers lecteurs, à exprimer vos opinions et vos encouragements…
Parce que cet exutoire bloguien m’a aidé à ne pas sombrer…
Parce que ça valait le coup de ne pas sombrer…
Et puis, parce que A. m’a lu… parce qu’elle a compris certaines choses et parce que ça me fait un bien fou aujourd’hui !

Et puis, même si l’expérience m’a touché (d’autant plus que je me suis aperçu que A. a même été jusqu’à écrire des commentaires ici !), je ne changerai strictement rien à ce blog, ni dans le ton, ni dans le fond, ni dans la forme (dommage pour le layout moche !).
Ce blog me ressemble, il est ce que je suis. Il évolue comme j’évolue, ni plus, ni moins.

Par contre, j’ai une petite frayeur amusée pour ce qui peut paraître ici dans quelques temps… Cassandra et Java savent de quoi je veux parler…

Mais bon, nous verrons bien, j’ai dit que je ne changerai rien !

Alors, si vous ne l’avez pas encore fait (je pense avec insistance à M. Julien par exemple !), ouvrez votre blog ! Faîtes comme cet useful idiot ! (merci pour tes mails !)

Et pour finir sur un petit clin d’œil à Scouty, qui m’a fait découvrir Bénabar, je continue le pillage de texte :

Elle est pas belle, la vie ?
Advienne que pourra, inch’allah, youpi.
Elle est pas belle, la vie ?
Advienne que pourra !

Et même, si la vie, c’est moche,
Comme une rentrée des classes,
Une saison de la chasse.

Et même, si la vie, c’est moche,
Comme une génuflexion,
Une extrême onction.

La vie, c’est jolie aussi,
Comme un 14 juillet,
Et des vacances au ski.

La vie, c’est jolie aussi,
Comme un p’tit animal,
Et un bateau à voile.

La vie, c’est jolie aussi,
Comme une fille toute nue dans un lit…

Elle est pas belle, la vie ?
Advienne que pourra, inch’allah, youpi.
Elle est pas belle, la vie ?
Advienne que pourra !

Finalement, ce texte est peut-être un peu trop positif pour moi…
J’assume ! (youpi !)