drogues…
A ceux qui ne comprennent pas pourquoi je me suis (encore !) embarqué dans mon histoire avec A., je dois préciser que je comprends fort bien vos réactions. Je pense que chacun vit ses sentiments différemment. Chacun ressent ses besoins, ses envies et sa dépendance différemment.
En ce qui me concerne ces sensations sont très profondes, et fortement exacerbées par le manque.
Certains de mes amis sont capables de fumer un paquet de cigarettes en une soirée, puis ne plus fumer pendant deux semaines, puis reprendre une clope de-ci de-là, sans s’en sentir particulièrement mal. Ou bien…. Moi, je n’ai pas cette capacité : soit je fume mon paquet journalier (ok, un peu plus ces derniers temps…) soit je ne fume plus jamais.
Je suis simplement dépendant.
Je ne supporte pas de me sentir en manque de nicotine. Et j’apprécie toujours beaucoup ma pause clope.
Idem pour mes sentiments : je ne supporte pas le manque. Même si je connais les risques et le mal que cela peut me faire, j'ai besoin de ma dose...
Khazâd, ou l’art de faire des comparaisons foireuses !… voir fumeuses !… (je sais, c’est nul, mais je ne pouvais pas m’en empêcher !).
« L’amour c’est comme une cigarette… »
Non, là, désolé, je ne peux pas citer Sylvie Vartan, ma religion me l’interdit…
Pfff… ce post ne ressemble à rien ! Je crois que j’ai trop dormi !….