Ca m'interpelle... quelque part...
Lu chez Kiripost :
Quand rien ne peut sortir, on peut toujours écrire sur ce fait. Et ce n'est pas qu'il n'y a rien à sortir, c'est peut-être même qu'il y a trop. Pas les mots. Parce que c'est bien dedans là. Et faire sortir, c'est risquer de salir.
Voilà, c'est tout !...
EDIT : Alors les petits voyeurs, ça vous manque les histoires d’A. ? Si oui, je m’en excuse… c’est le syndrome Atmoz !...