Dimanchalakon strikes back !

Nacara, puisque tu en as un bon stock, je prendrai bien quelques baffes moi-aussi ! (voir commentaires du 21)
Ceci-dit, Nacara, sache que je suis peut-être encore plus révolté que toi par les gens qui ne vivent pas leurs vie complètement, qui se complaisent dans la médiocrité, passant leur temps à se plaindre de manquer d’un bonheur qu’ils ne vont pas chercher…
Ca m’énerve d’autant plus viscéralement que je suis moi-même à deux doigts de baisser les bras…

Je suis en train de me battre pour quelque chose qui, c’est vrai, en vaut la peine. Mais je sais que ça me fait prendre beaucoup de risques… Un peu trop peut-être…
Mais bon, je n’ai qu’une vie (comme vous !), alors je tente d’oublier mon non-conformisme honteux et de faire abstraction de toutes ces vies normalisées, lisses, et sans intérêt que je croise à longueur de temps.

Rien de pire que les regrets, alors, oui, je vais me battre.
Mais certainement pas contre moi. Je ne veux le faire que pour moi, pas pour elle.
Si elle refuse de vivre. Tant pis. Point barre. (ça ressemble à de l'auto-conditionnement, hu ?)
Forcer à être heureux quelqu’un qui ne le veut pas… Je n’arrive pas à le concevoir…
Je ne sais pas pourquoi… Y’a un truc qui m’échappe…
Alors je tiens à mes convictions, mais en m’occupant de moi en premier lieu (j’ai bien compris Utena ?!? ).
De toutes façons, je ne pense pas avoir VRAIMENT la possibilité de faire évoluer la situation.

Advienne que pourra.

Je vais aussi m’attacher à vivre en dehors de ce dramelet qui commence sérieusement à me ronger de l’intérieur…
Faut vraiment que je vous parle d’autre chose que de cette histoire !
Ca va commencer à saouler tout le monde… Moi le premier !!!

Enfin bref, asi es ma vida loca. (TM !)




Edit : Un ch’tit passage de Lavoine qui m’a piqué tous mes mots...

Je pense à vous souvent
Je continue quand même
D'aimer les bateaux blancs
Que le désir entraîne
Je manque de vous souvent
Mais je m'en vais quand même
Laisser voler le vent
Qui souffle sur la peine

Chère amie, je vous envoie ces quelques mots
Pour vous dire qu'il ne fait pas beau
Et que j'ai mal, seul, depuis que je vous ai perdu
Je vous écris ces quelques fleurs
Avec mon coeur à l'intérieur
Je vous fais toutes mes excuses

Je rêve à vous souvent
Je me souviens de tout
Je me réveille à temps
Mais je vous vois partout
Je vous attends souvent
J'invente un rendez-vous
Vous n'avez plus le temps
Plus une minute à vous