La séparation du corps et de l'esprit. (ou : "hors-sujet, 0/20 !")

Bon sang, bon, San n'est pas au rdv et il est quasi-23h00... tant pis, je joue quand même ! Chose promise, chose due !
Voilà ma dissert' :

Procrastiner pendant des heures ne nous serai d'aucun secours, tant le sujet est inépuisable... La séparation du corps et de l'esprit ! Bravo ! Vaste champs de bataille ! Et seulement 10 minutes pour la gagner !...
On m'impose pourtant de vous apporter mon opinion sur cet épineux questionnement. Mais par ou commencer ? Comment se saisir de ce bâton merdeux ? Même si j'adore cette expression, mon interrogation reste entière !
Repartir une énième fois sur l'analyse de "Fight-club", film culte pour bon nombre de schizophrènes (et bon nombre de blogueurs aussi, tiens !), n'apportera rien au moulin, je le pressens...
Toujours est-il qu'il me faut bien débuter mon analyse, et tenter une réponse, quelle qu'elle soit ! Allez pitits neurones, activez-vous un peu !!
'3''00 ! P'tain, j'ai encore rien pondu, et il ne me reste déjà plus que 7 minutes... Arg !... Bon, ok, faut y'aller ! Prenons donc un ton de circonstance, sérieux et professoral, et attaquons le sujet à bras le corps :
N'offrant à la perception qu'une image unique et indissociable, le corps et l'esprit semblent former un tout unitaire. Qu'en est-il vraiment ?
Admettons que tout est affaire de référentiel : les choses sont sans aucun doute différentes quand analysées par un élément extérieur ou par le sujet d'étude lui-même... Et... euh...
Walou ! Ca ne mène nul part mon baratin ! Chier ! Mais j'y arriverai pas ! C'est pourtant pas compliqué ! Y'a qu'à prendre un exemple et ce sera vite torché !
Allez, un exemple vite fait... euh... bah... moi ! Ca me semble bien comme exemple. Voyez-vous, moi, je peux être amené à parler de moi à la troisième personne. Surtout quand je suis sous pression. Un peu comme là, maintenant, quand je constate que je n'ai plus qu'une minute pour finir ce putain d'essai sur un sujet que je ne fais que subir !! Arg, ça y est, il s'énerve ! (ouaip, je parle de moi !)... (enfin, il parle de moi)...
Khazâd s'interroge... Il baisse les bras. Il pense que le sujet est intraitable, et il sait que tout le monde sera déçu... Mais... C'est étrange, on a l'impression qu'il avait d'avance décidé de ne pas répondre franchement à la question... Aurait-il manigancé quelque chose ?... Sous l'effet de quelque drogue, son esprit tortueux complètement séparé de son corps, Khazâd ne se serait-il pas amusé avec les premières lettres de ses paragraphes ?...

Hum ?... Bon, bref, on s'en fout ! De toutes façons, la séparation du corps et de l'esprit, c'est Port'nawak !