Ouaip, je pète les plombs.
(Paskeu jeu leu vaut bien...)
J'explique : (ou pas ?... mais si, j'explique !)
Par arrêté khazadien daté de ce jour, je déclare l'avènement du printemps !
C'est comme ça, et pis c'est tout !
Le soleil sur Paris est uniformément bleu ('fin, gris-bleu, mais c'est normal !), il fait donc beau. Et chaud.
Moi, je vais bien. Très bien.
Ai décidé d'arrêter de me prendre la tête.
Quoi ?...
Oh-hé, c'est bon, on ne se moque pas !
Je sais bien que vous n'y croyez pas une seule seconde, mais je décide unilatéralement (c'est à la mode "l'unilatéralité" !) que ce jour est le premier d'une autre vie. (Ambitieux le p'tit gars !)
Hors donc, je suis vivant.
Et je m'en vais croquer les petits moments de vie qui pourront me passer sous la dent. Et ce, sans même penser aux conséquences ou aux "après". (Ce qui, de toutes façons, ne servirai strictement à rien ; le revers de bâton venant toujours vous surprendre un jour ou l'autre, quoi qu'on fasse !)
J'ai dit !
I think that I could...
I think that I could...
Take on the world !!!
Et pour fêter ça : blague carambar pour tout le monde ! C'est ma tournée ! (ouai ! youpi !)
Un savant étudie la puce.
Il dit "saute" et la puce saute.
Il coupe les pattes de la puce et dit " saute ! ".
La puce ne saute plus.
Déduction : "Quand on coupe les pattes d'une puce elle devient sourde. "
Il dit "saute" et la puce saute.
Il coupe les pattes de la puce et dit " saute ! ".
La puce ne saute plus.
Déduction : "Quand on coupe les pattes d'une puce elle devient sourde. "
(Ouch ! Ca fait toujours quelque chose de prendre en pleine tronche le pathétisme d'une blague carambar !)