Dans un éclair de lucidité, j'ai enfin pu admettre, en début de semaine, que j'étais complètement dépassé par les événements.
Difficile pour moi de reconnaître mon incapacité à gérer tout ce qui peut arriver autour de moi en ce moment. Et la prise de conscience à mis le temps...
Mais bon, j'y suis, c'est comme ça, c'est devenu un peu trop lourd pour moi.
Ingérable. C'est le mot.
Ca ressemble à un aveu d'échec... Mais j'ai enfin compris que ce n'en est pas un, ce qui rend ma situation bien plus acceptable pour moi, dans le sens ou je peux abandonner cet inutile combat contre moi-même et me concentrer sur les vrais champs de batailles qui me menacent.
...
J'ai donc réalisé que je suis souvent mon meilleur ennemi.
Prise de conscience.
Alors, hier, j'ai pu faire la démarche que je m'étais promis d'entreprendre depuis un an.
Un petit tout chez ma psy. Et ça n'a rien de dramatique, bien au contraire...
Profitable. Très profitable. Comme, j'imagine, toute "première séance".
La suite sera plus ardue. Mais suite il y aura.
...
Car si je puis être mon pire ennemi, je peux sûrement, en y travaillant un peu, redevenir mon meilleur allié...
... ou pas...
...
Si !