L'avantage d'oublier systématiquement d'acheter les derniers CD d'un artiste qu'on apprécie, c'est qu'on peut découvrir un de ces "nouveaux" titres tous les 3 mois...
J'adore ce texte, et la mélodie m'est terriblement efficace...
Elle a crié, poussé toute la nuit,
Pour qu'il pousse enfin son premier cri.
On le berce pour l'endormir, et puis
On éteint.
On a crevé les yeux de nos poupées,
Tué les cow-boys et les indiens plumés,
Une histoire avant d'aller se coucher, et puis
On éteint.
La lumière, tout au bout du couloir,
Maman veille, papa qui rentre tard,
Paraît que ça se voit pas qu'on pleure dans le noir,
On éteint.
Mais les cris au beau milieu de la nuit,
Et on court se cacher sous le lit.
Et la peur prend le pas sur l'envie, vite,
On éteint.
On éteint, mieux vaut fermer les yeux.
S'agit d'apprendre à ne pas être heureux.
Il nous faudra verser de l'eau sur le feu
Pour l'éteindre.
On grandit, on est un cow-boy, un indien,
On est un bourreau qui pleure pour un rien,
Une victime plein de sang sur les mains, mais
On est un.
Loin de ceux qui se croient tirés d'affaire,
Qui avancent sans regarder en arrière,
Qui sont prêt à tuer père et mère, et que
Rien n'atteint.
On a beau crier toute sa vie,
On s'enflamme, on se quitte, on se marie,
On allume, on fait l'amour, et puis
On éteint.
On a beau crier encore et toujours,
Rien n'étouffera le manque d'amour.
Et ce feu nous brûle jusqu'au jour où
On s'éteint.
Où on s'éteint.
Je ne comprends pas pourquoi Zazie n'a pas la même reconnaissance qu'un Souchon... (par exemple...)
Mmm... Faut que j'arrete les considérations si hautement philosophiques !...
Ou pas...
Posté le 30 juin 2004 à 11:16
Posté à 10:24
Posté le 24 juin 2004 à 10:11
Posté le 22 juin 2004 à 15:35
Posté à 15:20
Posté à 15:13
Posté à 14:36
Posté le 19 juin 2004 à 22:40
Posté à 17:51
Posté à 14:58
Posté le 16 juin 2004 à 10:06
Posté à 09:49
Posté à 09:45
Posté le 13 juin 2004 à 16:22
Posté à 15:01
Posté le 12 juin 2004 à 12:41
Posté à 11:34
Posté à 11:06
Posté le 10 juin 2004 à 08:57
Posté le 09 juin 2004 à 23:10
Posté à 23:09
Posté le 08 juin 2004 à 12:53
Posté à 00:07
Posté le 07 juin 2004 à 19:51
Posté à 19:25
Posté à 19:07
Posté à 11:03
Posté à 10:52
Posté à 10:49
Posté le 05 juin 2004 à 14:54
Posté le 04 juin 2004 à 19:35
Posté le 02 juin 2004 à 21:04
Posté le 01 juin 2004 à 14:13
Je m'excuse d'avoir laissé le précédent post tenir le haut du blog pendant quelques jours...
D'autant que samedi, mes stats ont littéralement explosées...
Il paraîtrait, selon Mediatic, qu'une émission de télé de France2 ait consacré un reportage aux blogs... Ce qui explique les plus de 2000 visites ici via google sur la seule journée de samedi... (!!!)
J'aurai évidemment préféré que ces nouveaux visiteurs soient accueillis par une photo pas ratée, ou un post port'nawak presque rigolo, mais bon, comme dit le proverbe : "Life is life, nana na-nana"
...
re-désolé...
Ou pas...
D'autant que samedi, mes stats ont littéralement explosées...
Il paraîtrait, selon Mediatic, qu'une émission de télé de France2 ait consacré un reportage aux blogs... Ce qui explique les plus de 2000 visites ici via google sur la seule journée de samedi... (!!!)
J'aurai évidemment préféré que ces nouveaux visiteurs soient accueillis par une photo pas ratée, ou un post port'nawak presque rigolo, mais bon, comme dit le proverbe : "Life is life, nana na-nana"
...
re-désolé...
Ou pas...
Revu S. avant-hier soir, je n'arrive pas à en parler.
Puis discussion avec elle hier soir, je n'arrive pas à en parler non plus.
J'ai les larmes aux yeux depuis le réveil.
Je suis au bureau et personne ne m'approche.
C'est mieux.
Je sens bien que les larmes et les sanglots sont là, mais je ne laisse rien sortir.
C'est un peu douloureux et très pénible.
Au sens propre.
C'est comme tout ce que j'aurai à dire. Tout ce que je pense confusément et que je ne déballe pas.
Je crois qu'il faut que je laisse sortir tout ça, sinon je vais exploser...
Je ne sais pas décrire comment je me sens.
...
Pour me sentir plus mal, il faudrait qu'on vienne me dire que ma vie se termine aujourd'hui.
Et même dans ce cas, je crains que ma seule réponse ne soit qu'un soupir.
Un soupir de soulagement.
Puis discussion avec elle hier soir, je n'arrive pas à en parler non plus.
J'ai les larmes aux yeux depuis le réveil.
Je suis au bureau et personne ne m'approche.
C'est mieux.
Je sens bien que les larmes et les sanglots sont là, mais je ne laisse rien sortir.
C'est un peu douloureux et très pénible.
Au sens propre.
C'est comme tout ce que j'aurai à dire. Tout ce que je pense confusément et que je ne déballe pas.
Je crois qu'il faut que je laisse sortir tout ça, sinon je vais exploser...
Je ne sais pas décrire comment je me sens.
...
Pour me sentir plus mal, il faudrait qu'on vienne me dire que ma vie se termine aujourd'hui.
Et même dans ce cas, je crains que ma seule réponse ne soit qu'un soupir.
Un soupir de soulagement.
Je m'étonne...
Au sujet de ma déprime et de ma fatigue, une collègue aussi sincère que naïve ponctue : "Tu caches bien ton jeu !"
Je m'étonne vraiment...
Faire si bonne illusion la journée alors que régulièrement, je m'endore avec la gorge serrée, pour me réveiller à peine quelques heures plus tard, dans un sanglot des plus pathétiques...
Certaines de mes nuits ne sont pas faciles...
Il faut que je dorme...
Mais je sais pas quand...
Au sujet de ma déprime et de ma fatigue, une collègue aussi sincère que naïve ponctue : "Tu caches bien ton jeu !"
Je m'étonne vraiment...
Faire si bonne illusion la journée alors que régulièrement, je m'endore avec la gorge serrée, pour me réveiller à peine quelques heures plus tard, dans un sanglot des plus pathétiques...
Certaines de mes nuits ne sont pas faciles...
Il faut que je dorme...
Mais je sais pas quand...
Je ne regarde que très rarement les gens.
Je veux dire, les regarder vraiment. En tant que personne.
J'ai perfectionné l'art de parler à quelqu'un tout en regardant au travers...
On m'a dit, il y a longtemps, que c'est le signe d'une fissure...
Maintenant, je crois vraiment savoir à quel moment précis je me suis mis à ne plus regarder dans les yeux que les gens contre lesquels je pouvais me battre...
Et je crois qu'au fil du temps la fissure s'est colmatée...
Juste par acceptation...
J'ai du mal à comprendre ça...
...
ou pas...
Je veux dire, les regarder vraiment. En tant que personne.
J'ai perfectionné l'art de parler à quelqu'un tout en regardant au travers...
On m'a dit, il y a longtemps, que c'est le signe d'une fissure...
Maintenant, je crois vraiment savoir à quel moment précis je me suis mis à ne plus regarder dans les yeux que les gens contre lesquels je pouvais me battre...
Et je crois qu'au fil du temps la fissure s'est colmatée...
Juste par acceptation...
J'ai du mal à comprendre ça...
...
ou pas...
Ma mère : Crois-moi mon fils, c'est foupoudav !
Moi : hein ?
Ma mère : C'est foupoudav !
Moi : Quoi ? C'est quoi ? Qu'est-ce que c'est que ça encore ?...
Ma mère : T'as pas vu "Le soldat Ryan" ?
Moi : ?!...
Ma mère : Foutu-Pourri-d'avance : foupoudav !
Moi : !!! Maman, je ne te parle pas de guerre, je te parle de sentiments !
Ma mère : C'est pareil !
Moi : ......
Moi : hein ?
Ma mère : C'est foupoudav !
Moi : Quoi ? C'est quoi ? Qu'est-ce que c'est que ça encore ?...
Ma mère : T'as pas vu "Le soldat Ryan" ?
Moi : ?!...
Ma mère : Foutu-Pourri-d'avance : foupoudav !
Moi : !!! Maman, je ne te parle pas de guerre, je te parle de sentiments !
Ma mère : C'est pareil !
Moi : ......
Bien avant d'en arriver à commettre des reprises infâmes en franglophone de ses propres titres, Bonnie Tyler faisait des trucs du genre "I need a Hero".
Typiquement ce genre de daube intergalactique qui, choppée au détour d'un lecteur mp3 capricieux, donne soudainement envie de courrir, de sauter comme un déglingué, et de flip-flapper de poutre en poutre dans un entrepot désafecté...
Nan, je ne suis pas complètement frapadingue ! Les moins jeunes d'entre vous comprennent surement la référence...
Putain, ça fait quand même quelque chose de se rendre compte que sa DVD-thèque idéale contiendrai une sacrée floppée de vieux trucs des années 80 : Footloose (oui, c'était ça la référence !), Les goonies, Shining, Dune, Le nom de la rose, Willow, La mouche, les Gremlins...
(sans parler des dessins animés : Les Cosmocats, Cat's eyes, Capitain Flam, Ulysse 31, Cobra, Albator, et toute la bande... encore que des années 80 !)
Ah tiens, j'y pense, faut pas qu'je louppe le nouveau Pif gadget...
Typiquement ce genre de daube intergalactique qui, choppée au détour d'un lecteur mp3 capricieux, donne soudainement envie de courrir, de sauter comme un déglingué, et de flip-flapper de poutre en poutre dans un entrepot désafecté...
Nan, je ne suis pas complètement frapadingue ! Les moins jeunes d'entre vous comprennent surement la référence...
Putain, ça fait quand même quelque chose de se rendre compte que sa DVD-thèque idéale contiendrai une sacrée floppée de vieux trucs des années 80 : Footloose (oui, c'était ça la référence !), Les goonies, Shining, Dune, Le nom de la rose, Willow, La mouche, les Gremlins...
(sans parler des dessins animés : Les Cosmocats, Cat's eyes, Capitain Flam, Ulysse 31, Cobra, Albator, et toute la bande... encore que des années 80 !)
Ah tiens, j'y pense, faut pas qu'je louppe le nouveau Pif gadget...
Quand personne ne les surveillent, les lumières parisiennes bavent et dégueulent sur les sombres trottoirs, m'offrant, pour un soir, la petite vengeance de sauter à pieds joints dans des flaques d'espoir.
Si la révolte appartient à la jeunesse, il me semble que la Résignation est censée venir avec l'âge.
Pourtant, à l'aube de cette fatidique -putain- de trentaine, j'ai l'impression d'évoluer à contre-courant.
En effet, si j'ai bien souvent pensé que je ne comprenais rien à la vie, il m'arrive de plus en plus fréquemment d'entrevoir la tenace idée que c'est plutôt la vie qui n'a rien compris à moi.
Alors si jusqu'alors, c'est moi qui était forcément censé "m'adapter" à "la vie", je me permets désormais de lui retourner le lieu commun : "hey, la vie, j'suis comme ça, et puis c'est tout ; Va p'têtre falloir que tu t'y fasses maintenant !..."
Pourtant, à l'aube de cette fatidique -putain- de trentaine, j'ai l'impression d'évoluer à contre-courant.
En effet, si j'ai bien souvent pensé que je ne comprenais rien à la vie, il m'arrive de plus en plus fréquemment d'entrevoir la tenace idée que c'est plutôt la vie qui n'a rien compris à moi.
Alors si jusqu'alors, c'est moi qui était forcément censé "m'adapter" à "la vie", je me permets désormais de lui retourner le lieu commun : "hey, la vie, j'suis comme ça, et puis c'est tout ; Va p'têtre falloir que tu t'y fasses maintenant !..."
Double zéro, Kill Bill 2, Le Jour d'après, Ladykillers, Le Rôle de sa vie...
Je peux le faire...
Je peux le faire...
Ou pas...
Je peux le faire...
Je peux le faire...
Ou pas...
Je veux à peu près tous les meubles de chez "Itinéraires".
...
Surtout la commode à petits tiroirs...
Et le bureau...
Et l'armoire...
Itinéraires, Centre commercial Beaugrenelle, Paris 15, Métro Charles Michels.
D'avance, merci !
...mm ?...
Quoi ?...
EDIT : Au moment où j'écrivais ces lignes, la boutique en question apposait sur sa vitrine : "fermeture définitive, -15 % sur tout le mobilier"... Ce qui me permet, allez hop, de refaire une bonne part de mon intérieur !
Ce blog n'est pas une page web que je noirci, c'est une lampe à huile que je frotte !...
...
Surtout la commode à petits tiroirs...
Et le bureau...
Et l'armoire...
Itinéraires, Centre commercial Beaugrenelle, Paris 15, Métro Charles Michels.
D'avance, merci !
...mm ?...
Quoi ?...
EDIT : Au moment où j'écrivais ces lignes, la boutique en question apposait sur sa vitrine : "fermeture définitive, -15 % sur tout le mobilier"... Ce qui me permet, allez hop, de refaire une bonne part de mon intérieur !
Ce blog n'est pas une page web que je noirci, c'est une lampe à huile que je frotte !...
J'suis fatigué. Epuisé.
Ce qu'il me faudrait, c'est une bonne hibernation de 4-5 jours.
Ouaip !
j'avais donc vraiment pas envie d'aller bosser ce matin...
Donc, je ne suis pas au bureau...
...
Et je culpabilise pas...
...
Haaaan, c'pâ bien !
...
M'en fout.
Ce qu'il me faudrait, c'est une bonne hibernation de 4-5 jours.
Ouaip !
j'avais donc vraiment pas envie d'aller bosser ce matin...
Donc, je ne suis pas au bureau...
...
Et je culpabilise pas...
...
Haaaan, c'pâ bien !
...
M'en fout.
Passer une soirée au téléphone...
Se dire d'abord qu'il y a des discussions douloureuses dont on se passerai bien.
Se rendre compte finalement de ce qu'on y a gagné... Se dire qu'on aurait donné beaucoup pour ça...
Bien des interrogations qui, paradoxalement, rendent les choses plus claires et plus vivantes.
Bref...
Et puis, après 3 heures passées assis par terre, le téléphone en charge greffé à l'oreille...
Je me suis enfin décidé, j'ai mon nouveau jouet...
Et bein j'y comprends rien...
Je crois que c'était quand même plus simple avec ma brique de chez Nokia...
Ou est cette foutue notice ?...
Se dire d'abord qu'il y a des discussions douloureuses dont on se passerai bien.
Se rendre compte finalement de ce qu'on y a gagné... Se dire qu'on aurait donné beaucoup pour ça...
Bien des interrogations qui, paradoxalement, rendent les choses plus claires et plus vivantes.
Bref...
Et puis, après 3 heures passées assis par terre, le téléphone en charge greffé à l'oreille...
Je me suis enfin décidé, j'ai mon nouveau jouet...
Et bein j'y comprends rien...
Je crois que c'était quand même plus simple avec ma brique de chez Nokia...
Ou est cette foutue notice ?...
C'est cool la télé parfois : Après "+clair" sur Canal, "les bricol'girls" sur Comédie, et "Ils s'aiment" sur Paris première, il y aura donc soirée foot ce soir...
Deux remarques à ce propos :
1) Pour le match, c'est n'importe quoi ce que vous m'avez dit ! Il parait qu'en fait, le jeu consistera à choisir le nom d'un joueur avant le match, et à picoler à chaque fois qu'il sera cité par les commentateurs. C'est donc bien plus simple que ce que je redoutais !
2) Suis-je le seul à savoir qu'il y a aussi des résultats d'élections ce soir ?...
Deux remarques à ce propos :
1) Pour le match, c'est n'importe quoi ce que vous m'avez dit ! Il parait qu'en fait, le jeu consistera à choisir le nom d'un joueur avant le match, et à picoler à chaque fois qu'il sera cité par les commentateurs. C'est donc bien plus simple que ce que je redoutais !
2) Suis-je le seul à savoir qu'il y a aussi des résultats d'élections ce soir ?...
Un harassant après-midi passé à faire les boutiques (heureusement accompagné par la patiente et précieuse amie Noréliz !)... Mais ce fut extrêmement constructif (enfin, pas pour ma CB, mais ça fait du bien !). Au palmarès : un costard Kenzo qui tue sa mère (houla, heureusement que j'ai pas sorti ce genre de truc dans la boutique hier !), deux chemises et une cravate qui arrachent grâve (idem !).
Hors donc, ça y est, comme métier, juste après "jeune cadre dynamique", je peux faire "presque-jeune patron" maintenant !
Ensuite, hier, soirée complètement décalée : soirée d'anniversaire chez A. (mais si, A., mon ex-ex, vous vous souvenez !?... Pfff, ça sert à quoi les archives ?!!...).
Bref, j'ai bien failli m'emmerder ferme (bah forcément, quand un asocial débarque dans un endroit où il ne connaît personne, c'est pô gagné...) mais les gens étaient vraiment gentils et j'ai fait la connaissance d'un autre ex-ex de A. (y'avait aussi l'actuel de A. : c'est du portnawak ses histoires !) qui se trouve être un développeur web indépendant bien sympa et à qui je donnerai bien un coup de main...
Hors donc, Yvan, si, comme je le pense, tu es un aussi un blogueur, t'as qu'à m'écrire ici ! (le monde est petit quand même !!!)
Note pour plus tard : poursuivre les efforts de socialisation !
Bref, le meilleur moment fut quand même celui d'errer seul dans des quartiers déserts en construction, à 1 heure du matin, la musique dans les oreilles et l'appareil photo à la main !...
J'aime vraiment ces moments là... A croire que l'aspect grisant du sentiment de liberté ne puisse se ressentir que lorsque je suis parfaitement seul.
Et en plus, pour ce qui est des photos, j'aime bien ce que ça donne :
Hors donc, ça y est, comme métier, juste après "jeune cadre dynamique", je peux faire "presque-jeune patron" maintenant !
Ensuite, hier, soirée complètement décalée : soirée d'anniversaire chez A. (mais si, A., mon ex-ex, vous vous souvenez !?... Pfff, ça sert à quoi les archives ?!!...).
Bref, j'ai bien failli m'emmerder ferme (bah forcément, quand un asocial débarque dans un endroit où il ne connaît personne, c'est pô gagné...) mais les gens étaient vraiment gentils et j'ai fait la connaissance d'un autre ex-ex de A. (y'avait aussi l'actuel de A. : c'est du portnawak ses histoires !) qui se trouve être un développeur web indépendant bien sympa et à qui je donnerai bien un coup de main...
Hors donc, Yvan, si, comme je le pense, tu es un aussi un blogueur, t'as qu'à m'écrire ici ! (le monde est petit quand même !!!)
Note pour plus tard : poursuivre les efforts de socialisation !
Bref, le meilleur moment fut quand même celui d'errer seul dans des quartiers déserts en construction, à 1 heure du matin, la musique dans les oreilles et l'appareil photo à la main !...
J'aime vraiment ces moments là... A croire que l'aspect grisant du sentiment de liberté ne puisse se ressentir que lorsque je suis parfaitement seul.
Et en plus, pour ce qui est des photos, j'aime bien ce que ça donne :
Mage...
(C'est tout...)
(C'est tout...)
C'est donc ce qui s'appelle un week-end bien rempli...
Après la petite sortie d'hier, aujourd'hui, ce sera après-midi "je me trouve un costard qui tue" (ou plutôt "fais chauffer la CB" !) et soirée encore, et demain, repos la journée et soirée foot...
Et c'est justement pour ce dernier point que je me permets de vous saouler avec mon planning : le foot...
Le soucis, c'est que je n'y connais rien...
Mais comme c'est une soirée entre potes et que je n'ai pas énormément envie d'être ridicule, j'apprécierai que l'un de vous, chers lecteurs, m'explique 2-3 trucs :
C'est un match pour quel titre/tournoi/championnat/coupe ?
Pourquoi le match à lieu au Portugal, et pas en France ou en Angleterre ?
De ce que j'ai compris, l'enjeu est important car il y a pas mal de joueurs français qui jouent en Angleterre... Mais ce soir, ceux-là joueront dans quelle équipe ?
Et donc, est-il de meilleur ton de supporter l'équipe anglaise ou l'équipe française ?
Est-il normal de crier "allez les bleus" même si les français jouent en blanc ?
Pfff....
Merci d'avance...
Après la petite sortie d'hier, aujourd'hui, ce sera après-midi "je me trouve un costard qui tue" (ou plutôt "fais chauffer la CB" !) et soirée encore, et demain, repos la journée et soirée foot...
Et c'est justement pour ce dernier point que je me permets de vous saouler avec mon planning : le foot...
Le soucis, c'est que je n'y connais rien...
Mais comme c'est une soirée entre potes et que je n'ai pas énormément envie d'être ridicule, j'apprécierai que l'un de vous, chers lecteurs, m'explique 2-3 trucs :
C'est un match pour quel titre/tournoi/championnat/coupe ?
Pourquoi le match à lieu au Portugal, et pas en France ou en Angleterre ?
De ce que j'ai compris, l'enjeu est important car il y a pas mal de joueurs français qui jouent en Angleterre... Mais ce soir, ceux-là joueront dans quelle équipe ?
Et donc, est-il de meilleur ton de supporter l'équipe anglaise ou l'équipe française ?
Est-il normal de crier "allez les bleus" même si les français jouent en blanc ?
Pfff....
Merci d'avance...
Ca a quelque chose de kiffant d'aller à une soirée et de faire tour à tour l'associable et l'hyper-sociable...
Franchement, limite, je me serai fait rire...
Limite...
Parce qu'il y a évidemment des arrondissements de Paris qu'il faut encore que j'évite pour l'instant. Surtout avec un baladeur dans les oreilles qui, au détour d'une lecture aléatoire, me dégotte un vieux Bruel (ouai, je sais... )(et j'assume !...) du style :
Trois tours de périph', fenêtre ouverte.
J'vois passer c'qu'on aurait pu être.
Oui je t'en veux, mais moins qu'à moi. [...]
Et puis pourquoi m'avoir rappelé ?
Pourquoi revenir me chercher ?
Pour te voir rire te voir pleurer sans moi.
Tu veux pas de moi tu veux pas m'perdre.
Alors ce choix, je le fais pour toi :
C'est moi qui pars. [...]
Laisse moi partir même si je mens.
Laisse moi me dire qu'avec le temps...
J'l'ai zappé trop tard... Et la suivante, c'était du Mano Solo...
Bou...
Faut qu'je me trouve un auto-radio !
Vite !
Franchement, limite, je me serai fait rire...
Limite...
Parce qu'il y a évidemment des arrondissements de Paris qu'il faut encore que j'évite pour l'instant. Surtout avec un baladeur dans les oreilles qui, au détour d'une lecture aléatoire, me dégotte un vieux Bruel (ouai, je sais... )(et j'assume !...) du style :
Trois tours de périph', fenêtre ouverte.
J'vois passer c'qu'on aurait pu être.
Oui je t'en veux, mais moins qu'à moi. [...]
Et puis pourquoi m'avoir rappelé ?
Pourquoi revenir me chercher ?
Pour te voir rire te voir pleurer sans moi.
Tu veux pas de moi tu veux pas m'perdre.
Alors ce choix, je le fais pour toi :
C'est moi qui pars. [...]
Laisse moi partir même si je mens.
Laisse moi me dire qu'avec le temps...
J'l'ai zappé trop tard... Et la suivante, c'était du Mano Solo...
Bou...
Faut qu'je me trouve un auto-radio !
Vite !
Fatigue, levé trop tot, réunion surprise en anglais, salon chiant, problèmes divers à régler pour les autres, post précédent qui trotte une peu, moitteur désagréable, chaleur pesante, rien de marrant...
C'est tout, y'a des jours comme ça.
A demain.
C'est tout, y'a des jours comme ça.
A demain.
Douloureuse discussion...
Nécessaire...
Fallait bien s'y coller à un moment ou à un autre... (Et Pauvre de moi, j'ai des amis... euh... dévoués, qui font montre de l'abnégation necessaire pour se taper mes aigreurs plutôt que Kill Bill 2...)
Je me sens... fracturé...
Fêlé, fissuré, ébréché, abîmé, craquelé, lézardé...
Usé...
Brisé, cassé...
Je me sens mal, je m'en veux, je lui en veux, j'en veux à la vie...
Je ne vois presque plus que ce qu'il en était de mauvais, de restes déchirés, de lambeaux épars...
J'imagine le plus douloureux, le plus ignoble, le plus abject....
Je reste prisonnier, dans l'attente... de rien finalement... mais dans l'attente quand même...
Comme cet autre, avant moi, libéré bien trop tard, je le savais...
Je suis malheureux, frustré, de moi, des autres, d'amour, de tendresse, de vie...
Je me sens si mal, si vil, si méprisable et honteux de tout ce que je n'étais pas, de tout ce que je ne suis pas, de tout ce que je ne serai jamais, et qu'on me demande encore...
Tout cela est certainement pour vous un incompréhensible ramassis de mots dénués de sens rationnel, et déformés par un prisme un peu trop violent... Mais cela résonne si fort pour moi ce soir que je n'en peux pas plus...
Je me sens si fragile de ce besoin de bras autour de mes sanglots, de peau contre mes paupières clauses. Un ami sur qui pleurer. J'ai pleuré trop seul jusqu'alors, j'ai besoin d'une épaule.
Et j'ai trop peu d'amis, et même si c'est stupide, je tiens bien trop à eux pour leur tremper la chemise.
Plus que des larmes, j'ai trop de fiel en moi. Trop de bile, de colère... d'amertume ! Que je n'ai pas le courage de faire sortir, mais que je ne veux pas oublier et avec laquelle je ne veux pas vivre...
De l'amertume... c'est de cela qu'il s'agit vraiment.
Je veux juste qu'elle ne soit pas !... Mais elle est, bel et bien... Alors je tourne en rond. Emprisonné dans une cage de miroirs déformants qui me jettent à la gueule les reflets de mes pires fantômes désormais triomphants.
J'ai été blessé, j'en ai des cicatrices. Je ne les veux pas et elles sont là tout de même.
Et ce temps qui n'efface que si peu de choses et que je maudis !
Je veux qu'on me dise que tout ça, cette amertume, cette douleur, cette souffrance, c'est fini.
Je veux qu'on me dise que ces guerres là sont terminées, qu'il n'y aura plus de batailles, plus de sang versé pour rien.
Même si ce n'est pas vrai, bien sur...
JE VEUX QU'ON ME LE MENTE !!!
Qu'on me le mente sur l'honneur, sur les hommes et pourquoi pas sur Dieu, qu'il serve au moins à ça.
Je veux être en paix... Enfin.
Je veux y croire pour le moins, car croire en la quiétude, c'est déjà la vivre.
Et je sais bien qu'il y a encore d'autres guerres...
Mais pour l'instant, je suis infiniement las...
Je veux, juste un instant, m'asseoir, hagard... baisser la tête, fermer les yeux, les bras ballants.
Et qu'on vienne doucement, lentement, défaire l'armure cabossée qui ne me protège plus de rien.
Et qu'avec patience et douceur, on lave les plaies à l'eau claire...
Qu'on panse enfin les blessures...
Puisque c'est là ma limite. Une fois la bataile livrée, jamais vraiment gagnée, toujours un peu perdue, je ne peux qu'attendre... pour guérir comme pour se battre, il faut être au moins deux.
Attendre... Encore... Abasourdi et hors du temps... et un jour, il le faudra, se laisser soigner, tant que faire se peut...
Alors oui, bien sur, je me relèverai...
Puisque je ne m'en laisse pas le choix...
Nécessaire...
Fallait bien s'y coller à un moment ou à un autre... (Et Pauvre de moi, j'ai des amis... euh... dévoués, qui font montre de l'abnégation necessaire pour se taper mes aigreurs plutôt que Kill Bill 2...)
Je me sens... fracturé...
Fêlé, fissuré, ébréché, abîmé, craquelé, lézardé...
Usé...
Brisé, cassé...
Je me sens mal, je m'en veux, je lui en veux, j'en veux à la vie...
Je ne vois presque plus que ce qu'il en était de mauvais, de restes déchirés, de lambeaux épars...
J'imagine le plus douloureux, le plus ignoble, le plus abject....
Je reste prisonnier, dans l'attente... de rien finalement... mais dans l'attente quand même...
Comme cet autre, avant moi, libéré bien trop tard, je le savais...
Je suis malheureux, frustré, de moi, des autres, d'amour, de tendresse, de vie...
Je me sens si mal, si vil, si méprisable et honteux de tout ce que je n'étais pas, de tout ce que je ne suis pas, de tout ce que je ne serai jamais, et qu'on me demande encore...
Tout cela est certainement pour vous un incompréhensible ramassis de mots dénués de sens rationnel, et déformés par un prisme un peu trop violent... Mais cela résonne si fort pour moi ce soir que je n'en peux pas plus...
Je me sens si fragile de ce besoin de bras autour de mes sanglots, de peau contre mes paupières clauses. Un ami sur qui pleurer. J'ai pleuré trop seul jusqu'alors, j'ai besoin d'une épaule.
Et j'ai trop peu d'amis, et même si c'est stupide, je tiens bien trop à eux pour leur tremper la chemise.
Plus que des larmes, j'ai trop de fiel en moi. Trop de bile, de colère... d'amertume ! Que je n'ai pas le courage de faire sortir, mais que je ne veux pas oublier et avec laquelle je ne veux pas vivre...
De l'amertume... c'est de cela qu'il s'agit vraiment.
Je veux juste qu'elle ne soit pas !... Mais elle est, bel et bien... Alors je tourne en rond. Emprisonné dans une cage de miroirs déformants qui me jettent à la gueule les reflets de mes pires fantômes désormais triomphants.
J'ai été blessé, j'en ai des cicatrices. Je ne les veux pas et elles sont là tout de même.
Et ce temps qui n'efface que si peu de choses et que je maudis !
Je veux qu'on me dise que tout ça, cette amertume, cette douleur, cette souffrance, c'est fini.
Je veux qu'on me dise que ces guerres là sont terminées, qu'il n'y aura plus de batailles, plus de sang versé pour rien.
Même si ce n'est pas vrai, bien sur...
JE VEUX QU'ON ME LE MENTE !!!
Qu'on me le mente sur l'honneur, sur les hommes et pourquoi pas sur Dieu, qu'il serve au moins à ça.
Je veux être en paix... Enfin.
Je veux y croire pour le moins, car croire en la quiétude, c'est déjà la vivre.
Et je sais bien qu'il y a encore d'autres guerres...
Mais pour l'instant, je suis infiniement las...
Je veux, juste un instant, m'asseoir, hagard... baisser la tête, fermer les yeux, les bras ballants.
Et qu'on vienne doucement, lentement, défaire l'armure cabossée qui ne me protège plus de rien.
Et qu'avec patience et douceur, on lave les plaies à l'eau claire...
Qu'on panse enfin les blessures...
Puisque c'est là ma limite. Une fois la bataile livrée, jamais vraiment gagnée, toujours un peu perdue, je ne peux qu'attendre... pour guérir comme pour se battre, il faut être au moins deux.
Attendre... Encore... Abasourdi et hors du temps... et un jour, il le faudra, se laisser soigner, tant que faire se peut...
Alors oui, bien sur, je me relèverai...
Puisque je ne m'en laisse pas le choix...
Ceci est mon 600ième post !...
bah ça alors !...
bah ça alors !...
Je l'ai trouvé vraiment marrante cette éplix (je sais pas le dire comme il faut !) ce matin...
Marrant de voir ce petit confetti (un confetti ? une confetti ?) (des confetto ?!...) se découper nettement sur cet énorme soleil...
Marrant de constater les proportions...
...
Marrant aussi parce que j'ai observé cette éplix en utilisant comme filtre des radios de mon crâne...
Marrant de voir ce petit confetti (un confetti ? une confetti ?) (des confetto ?!...) se découper nettement sur cet énorme soleil...
Marrant de constater les proportions...
...
Marrant aussi parce que j'ai observé cette éplix en utilisant comme filtre des radios de mon crâne...
Avec le temps...
Avec le temps, va, tout s'en va.
On oublie le visage et l'on oublie la voix.
Le coeur, quand ça bat plus, c'est pas la peine d'aller
Chercher plus loin, faut laisser faire et c'est très bien.
Avec le temps...
Avec le temps, va, tout s'en va.
L'autre qu'on adorait, qu'on cherchait sous la pluie ;
L'autre qu'on devinait au détour d'un regard,
Entre les mots, entre les lignes et sous le fard
D'un serment maquillé qui s'en va faire sa nuit.
Avec le temps tout s'évanouit.
Avec le temps...
Avec le temps, va, tout s'en va.
Même les plus chouettes souvenirs ça t'as une de ces gueules.
A la galerie j'farfouille dans les rayons d'la mort,
Le samedi soir quand la tendresse s'en va toute seule.
Avec le temps...
Avec le temps, va, tout s'en va.
L'autre à qui l'on croyait pour un rhume, pour un rien ;
L'autre à qui l'on donnait du vent et des bijoux,
Pour qui l'on eût vendu son âme pour quelques sous,
Devant quoi l'on s'traînait comme traînent les chiens...
Avec le temps, va, tout va bien.
Avec le temps...
Avec le temps, va, tout s'en va.
On oublie les passions et l'on oublie les voix
Qui vous disaient tout bas les mots des pauvres gens :
Ne rentre pas trop tard, surtout ne prends pas froid.
Avec le temps...
Avec le temps, va, tout s'en va.
Et l'on se sent blanchi comme un cheval fourbu,
Et l'on se sent glacé dans un lit de hasard,
Et l'on se sent tout seul peut-être mais peinard,
Et l'on se sent floué par les années perdues...
Alors vraiment,
Avec le temps,
On n'aime plus.
Avec le temps, va, tout s'en va.
On oublie le visage et l'on oublie la voix.
Le coeur, quand ça bat plus, c'est pas la peine d'aller
Chercher plus loin, faut laisser faire et c'est très bien.
Avec le temps...
Avec le temps, va, tout s'en va.
L'autre qu'on adorait, qu'on cherchait sous la pluie ;
L'autre qu'on devinait au détour d'un regard,
Entre les mots, entre les lignes et sous le fard
D'un serment maquillé qui s'en va faire sa nuit.
Avec le temps tout s'évanouit.
Avec le temps...
Avec le temps, va, tout s'en va.
Même les plus chouettes souvenirs ça t'as une de ces gueules.
A la galerie j'farfouille dans les rayons d'la mort,
Le samedi soir quand la tendresse s'en va toute seule.
Avec le temps...
Avec le temps, va, tout s'en va.
L'autre à qui l'on croyait pour un rhume, pour un rien ;
L'autre à qui l'on donnait du vent et des bijoux,
Pour qui l'on eût vendu son âme pour quelques sous,
Devant quoi l'on s'traînait comme traînent les chiens...
Avec le temps, va, tout va bien.
Avec le temps...
Avec le temps, va, tout s'en va.
On oublie les passions et l'on oublie les voix
Qui vous disaient tout bas les mots des pauvres gens :
Ne rentre pas trop tard, surtout ne prends pas froid.
Avec le temps...
Avec le temps, va, tout s'en va.
Et l'on se sent blanchi comme un cheval fourbu,
Et l'on se sent glacé dans un lit de hasard,
Et l'on se sent tout seul peut-être mais peinard,
Et l'on se sent floué par les années perdues...
Alors vraiment,
Avec le temps,
On n'aime plus.
Je voulais voir "the day after tomorrow", mais la caissière comprenait rien : Elle m'a répondu "pour quel film" quand je lui ai demandé une place pour après-demain...
Alors malgrè les bataillons de mômes, je suis allé voir Harry Potter.
Et c'est trop de la balle atomique !! (ouai, je sais que c'est une expression desuète, mais je vous merde ! (et ça, c'en est une autre !)).
La salle remplie d'enfants m'a même pas trop dérangée. Ca m'a même fait marrer quand la petite fille à ma gauche, qui avait déjà posé 3 fois la même question à sa maman (qui lui avait répondu "Pfft ?..." 3 fois) a soupiré "gnnnn, j'comprends rieeennn !".
Ah, il y a eu ce truc très mignon aussi : quelques minutes avant le début des bandes annonces, la maman de la petite fille éternue, et aussitôt, se précipite sur son pull... qu'elle tend immédiatement à sa fille : "Tiens, couvre toi"...
Cette confusion de personnalité me fait penser qu'il faut aussi que j'aille voir "A ton image"...
Mmm, j'aurai du m'acheter la carte UGC...
Edit : "Extrême gold" a un cône en chocolat...
Franchement, est-ce que quelqu'un en a déjà mangé un sans s'en foutre partout ? (et sans rester dans le congélo !)
Edit 2 : Ah bah oui, d'accord, comme ça, c'est facile de pas faire de pub mensongère !
Alors malgrè les bataillons de mômes, je suis allé voir Harry Potter.
Et c'est trop de la balle atomique !! (ouai, je sais que c'est une expression desuète, mais je vous merde ! (et ça, c'en est une autre !)).
La salle remplie d'enfants m'a même pas trop dérangée. Ca m'a même fait marrer quand la petite fille à ma gauche, qui avait déjà posé 3 fois la même question à sa maman (qui lui avait répondu "Pfft ?..." 3 fois) a soupiré "gnnnn, j'comprends rieeennn !".
Ah, il y a eu ce truc très mignon aussi : quelques minutes avant le début des bandes annonces, la maman de la petite fille éternue, et aussitôt, se précipite sur son pull... qu'elle tend immédiatement à sa fille : "Tiens, couvre toi"...
Cette confusion de personnalité me fait penser qu'il faut aussi que j'aille voir "A ton image"...
Mmm, j'aurai du m'acheter la carte UGC...
Edit : "Extrême gold" a un cône en chocolat...
Franchement, est-ce que quelqu'un en a déjà mangé un sans s'en foutre partout ? (et sans rester dans le congélo !)
Edit 2 : Ah bah oui, d'accord, comme ça, c'est facile de pas faire de pub mensongère !
Merde...
J'appréciais bien mon collègue quand, en Allemagne, il se demandait, si il n'aurait pas du prendre la sortie vers "Ausfahrt" qu'on venait de passer !... (Ausfahrt, ça veut dire "Sortie")...
Je l'appréciais infiniement moins quand , à Liège, il a dit "C'est comme chez nous ici, c'est envahi d'arabes"...
Je le deteste définitivement depuis que, pour se rattraper quand je l'ai allumé, il a bafouillé un truc du genre "Désolé, je ne pensais pas mal en utilisant le mot 'Arabe'..."
Alors bon, soyons philosophe chacun à le droit de penser ce qu'il veut... tout est dans le fait de l'assumer...
Il a le droit de penser comme ça... Et j'ai le droit de l'envoyer se faire foutre...
Et bah moi, je trouve qu'ici, c'est pire qu'ailleurs, on est envahi de connards !
Sus à l'ennemi !
Et j'assume !
J'appréciais bien mon collègue quand, en Allemagne, il se demandait, si il n'aurait pas du prendre la sortie vers "Ausfahrt" qu'on venait de passer !... (Ausfahrt, ça veut dire "Sortie")...
Je l'appréciais infiniement moins quand , à Liège, il a dit "C'est comme chez nous ici, c'est envahi d'arabes"...
Je le deteste définitivement depuis que, pour se rattraper quand je l'ai allumé, il a bafouillé un truc du genre "Désolé, je ne pensais pas mal en utilisant le mot 'Arabe'..."
Alors bon, soyons philosophe chacun à le droit de penser ce qu'il veut... tout est dans le fait de l'assumer...
Il a le droit de penser comme ça... Et j'ai le droit de l'envoyer se faire foutre...
Et bah moi, je trouve qu'ici, c'est pire qu'ailleurs, on est envahi de connards !
Sus à l'ennemi !
Et j'assume !
Et si mes façons de réagir à certaines situations, de voir la vie comme je la vois, d'avoir interminablement soif de plus, de n'être que rarement pleinement satisfait, d'avoir si peu de patiente pour le temps à perdre, de vouloir inconsciemment être parfait, d'avoir si peu peur des disparitions, d'être si mal face à l'echec, d'avoir un raport au temps si conflictuel,... si tout cela n'était du en fait qu'à une conscience exacerbée de la mort ?...
Comment sont les autres ? Sentent-ils cette même présence ? En ont-ils aussi peu peur ?... Si non, comme je le crois, d'où est-ce que ça me vient ?... Je ressens pourtant ça...
Et faut-il chercher ?...
Ou pas ?...
Comment sont les autres ? Sentent-ils cette même présence ? En ont-ils aussi peu peur ?... Si non, comme je le crois, d'où est-ce que ça me vient ?... Je ressens pourtant ça...
Et faut-il chercher ?...
Ou pas ?...
J'ai vraiment des goûts étranges...
J'arrive à être à la fois ravi d'avoir trouvé cette reprise d'indochine par Miss Kittin, et chercher desespéremment un titre qui m'est revenu de 15 ans en arrière pendant la nuit :
J'ai laissé,
Dans mon rétroviseur,
Loin,
Au milieu d'un décor,
Des images,
Impressions et couleurs,
Et des flashes et des cris qui s'emmêlent
Et me collent au corps.
Blanc,
Le silence avant vous.
Noire,
La scène avant les coups.
Longue,
L'attente de vous voir.
Et nos bras, nos regards au moment de se dire bonsoir.
J'ai laissé des bouts de moi au creux de chaque endroit,
Un peu de chair à chaque empreinte de mes pas.
Des visages et des voix qui ne me quittent pas.
Autant de coups au c?ur et qui tuent chaque fois.
Une ville que la nuit rend imaginaire,
Une route qu'on prend comme on reprend de l'air.
Et les papillons retournent brûler leurs ailes
Pour toucher la lumière,
Pour énerver l'hiver,
Pour un peu d'éphémère.
...
J'arrive à être à la fois ravi d'avoir trouvé cette reprise d'indochine par Miss Kittin, et chercher desespéremment un titre qui m'est revenu de 15 ans en arrière pendant la nuit :
J'ai laissé,
Dans mon rétroviseur,
Loin,
Au milieu d'un décor,
Des images,
Impressions et couleurs,
Et des flashes et des cris qui s'emmêlent
Et me collent au corps.
Blanc,
Le silence avant vous.
Noire,
La scène avant les coups.
Longue,
L'attente de vous voir.
Et nos bras, nos regards au moment de se dire bonsoir.
J'ai laissé des bouts de moi au creux de chaque endroit,
Un peu de chair à chaque empreinte de mes pas.
Des visages et des voix qui ne me quittent pas.
Autant de coups au c?ur et qui tuent chaque fois.
Une ville que la nuit rend imaginaire,
Une route qu'on prend comme on reprend de l'air.
Et les papillons retournent brûler leurs ailes
Pour toucher la lumière,
Pour énerver l'hiver,
Pour un peu d'éphémère.
...
J'aime particulièrement les blogs pour ça :
Le post Violence gratuite chez Entre Zero Et Un (favori toi !)
Le post Violence gratuite chez Entre Zero Et Un (favori toi !)
Rien de mieux qu'un rendez-vous en province annulé à la dernière minute !
Miam...
set mode to "trânkiiiil"...
Miam...
set mode to "trânkiiiil"...
Terrible... Les journalistes en reste sans voix... Ils essaient d'annoncer la terrifiante nouvelle en cachant l'émotion qui les étreint...
Le teint pâle, la lèvre tremblante, les yeux rougis, l'un des envoyés spéciaux rassemble son courage et annonce :
- la ville de Chantilly est le théâtre d'un drame sans précédent qui nous laisse sans voix... Ici, tous les visages sont fermés, gris, atterrés depuis que les hauts parleurs ont diffusés la terrible nouvelles dont je me dois bien tristement de vous faire part maintenant : "Voix du nord", le grand favori du jokey-club se serait fait une élongation à l'entraînement...
-Zap-
Les bimbos chanteuses de hip-hop que l'on voit dans les clips sur MCM ne seraient en fait pas vraiment obnubilées par le désir impérieux de se prendre perpétuellement des grands coups de bite dans le cul...
Ce serait en fait juste pour se "donner un genre".
L'information reste évidemment à prendre au conditionnel puisqu'on ne sait pas de quel "genre" il s'agirait et que l'on ignore toujours quelle serai alors leur motivation à se montrer au monde, quasiment nues, penchées en avant devant des dizaines de grand mâles aux pantalons de cuir distendu, frottant leurs fesses en tous sens le long de leur entrejambe en mimant l'orgasme.
-Zap-
Rendez-vous compte de l'hallucinant évènement que nous nous apprêtons à vivre !
Le Monde entier en retient son souffle tellement tout cela relève du concours de circonstance le plus surprenant, du hasard le plus terrifiant, quasiment d'un destin des plus effarants :
Les finalistes dames de Roland Garros sont deux Russes, et les finalistes hommes sont deux Argentins !!!
Alors bon, franchement, les gens qui crèvent à travers le monde peuvent bien attendre la semaine prochaine.
Ah, non, pas la semaine prochaine, y'a les finales NBA sur Canal...
-Off-
Le teint pâle, la lèvre tremblante, les yeux rougis, l'un des envoyés spéciaux rassemble son courage et annonce :
- la ville de Chantilly est le théâtre d'un drame sans précédent qui nous laisse sans voix... Ici, tous les visages sont fermés, gris, atterrés depuis que les hauts parleurs ont diffusés la terrible nouvelles dont je me dois bien tristement de vous faire part maintenant : "Voix du nord", le grand favori du jokey-club se serait fait une élongation à l'entraînement...
-Zap-
Les bimbos chanteuses de hip-hop que l'on voit dans les clips sur MCM ne seraient en fait pas vraiment obnubilées par le désir impérieux de se prendre perpétuellement des grands coups de bite dans le cul...
Ce serait en fait juste pour se "donner un genre".
L'information reste évidemment à prendre au conditionnel puisqu'on ne sait pas de quel "genre" il s'agirait et que l'on ignore toujours quelle serai alors leur motivation à se montrer au monde, quasiment nues, penchées en avant devant des dizaines de grand mâles aux pantalons de cuir distendu, frottant leurs fesses en tous sens le long de leur entrejambe en mimant l'orgasme.
-Zap-
Rendez-vous compte de l'hallucinant évènement que nous nous apprêtons à vivre !
Le Monde entier en retient son souffle tellement tout cela relève du concours de circonstance le plus surprenant, du hasard le plus terrifiant, quasiment d'un destin des plus effarants :
Les finalistes dames de Roland Garros sont deux Russes, et les finalistes hommes sont deux Argentins !!!
Alors bon, franchement, les gens qui crèvent à travers le monde peuvent bien attendre la semaine prochaine.
Ah, non, pas la semaine prochaine, y'a les finales NBA sur Canal...
-Off-
La télé... non content de vous rendre débile, vous rendrai au final presque inexistant...
Je me sauve... dehors...
Hey, vous connaissez le "EasyCafé" à Liège ?...
Et bien je suis dedans !...
...
Bon, ok, c'était juste un post pour me la peter genre "je voyage"...
La vérité, c'est que j'avais une méga envie de pisser, que j'ai encore 5 heures de route avant Paris, que Liège, c'est super-méga glauque (y'a eu une guerre nucléaire ici récemment ?...) et que les cybercafés belges sont crades et se foutent bien des internautes à leur fournir des claviers avec des touches qui ne sont pas à leur place normale !!!
Oh, ça va... si on ne peut plus faire de généralités stupides maintenant... Pfff...
Bon, c'est pas tout ça, mais j'ai hate de retrouver le périph parisien et ses bouchons (qui ont autrement plus de gueule que les bouchons de Liège... ) (désolé...)
Et bien je suis dedans !...
...
Bon, ok, c'était juste un post pour me la peter genre "je voyage"...
La vérité, c'est que j'avais une méga envie de pisser, que j'ai encore 5 heures de route avant Paris, que Liège, c'est super-méga glauque (y'a eu une guerre nucléaire ici récemment ?...) et que les cybercafés belges sont crades et se foutent bien des internautes à leur fournir des claviers avec des touches qui ne sont pas à leur place normale !!!
Oh, ça va... si on ne peut plus faire de généralités stupides maintenant... Pfff...
Bon, c'est pas tout ça, mais j'ai hate de retrouver le périph parisien et ses bouchons (qui ont autrement plus de gueule que les bouchons de Liège... ) (désolé...)
Ca dit quelque chose à quelqu'un "Osnabrück" ?...
mmh ?...
Pfff... heureusement que je suis là !
Osnabrück est une charmante bourgade située dans l'ouest de la Basse-Saxe, entre le massif des Wiehengebirge et la forêt de Teutobourg.
Cette ville se qualifie officiellement (si, si, officiellement !) de ville "ni grande ni petite , dans sa répartition météorologique, le ciel n'a prévu pour elle ni ensoleillement exagéré ni pluie continue ; elle n'est ni prétentieuse ni trop provinciale. Bref, Osnabrück incarne cet équilibre et cette mesure qui font d'elle une ville agréable à vivre. Autre atout Osnabrück : on en est vite sorti et tout de suite, on se retrouve à la campagne ! En ville même, pas besoin de voiture : il est facile d'arriver à destination à vélo ou même à pied."
Bref, c'est une ville sans intéret aucun, qui mériterai certainement le titre de "Deutschland Arschloch" (comprenez :"trou du cul de l'Allemagne" !).
Et c'est pour m'y rendre, à près de 700 bornes de Paris, que je me lèverai tout à l'heure à 3 heures et demie du matin !
GRMMMBLBLBLBLBLLL...
M'en vais donc bouquiner dans un bain très chaud pour le laisser une chance de dormir quelques heures...
EDIT (3 heures 50) : Oh la vache... je me lève à l'heure ou je me couche d'habitude...
Bonne journée à vous...
mmh ?...
Pfff... heureusement que je suis là !
Osnabrück est une charmante bourgade située dans l'ouest de la Basse-Saxe, entre le massif des Wiehengebirge et la forêt de Teutobourg.
Cette ville se qualifie officiellement (si, si, officiellement !) de ville "ni grande ni petite , dans sa répartition météorologique, le ciel n'a prévu pour elle ni ensoleillement exagéré ni pluie continue ; elle n'est ni prétentieuse ni trop provinciale. Bref, Osnabrück incarne cet équilibre et cette mesure qui font d'elle une ville agréable à vivre. Autre atout Osnabrück : on en est vite sorti et tout de suite, on se retrouve à la campagne ! En ville même, pas besoin de voiture : il est facile d'arriver à destination à vélo ou même à pied."
Bref, c'est une ville sans intéret aucun, qui mériterai certainement le titre de "Deutschland Arschloch" (comprenez :"trou du cul de l'Allemagne" !).
Et c'est pour m'y rendre, à près de 700 bornes de Paris, que je me lèverai tout à l'heure à 3 heures et demie du matin !
GRMMMBLBLBLBLBLLL...
M'en vais donc bouquiner dans un bain très chaud pour le laisser une chance de dormir quelques heures...
EDIT (3 heures 50) : Oh la vache... je me lève à l'heure ou je me couche d'habitude...
Bonne journée à vous...
Je suis fatigué au point de me sentir complètement à côté de la réalité...
En fait, pas certain que ce soit de la simple fatigue... même si les heures de sommeil me font défaut...
C'est peut-être que je ne veux pas me résoudre à quitter cette nuit... Je ne veux pas être réveillé...
Si je croise un bon génie, mon souhait serai certainement (outre celui d'avoir une infinité de souhaits à faire ! Faites pas les malins avec moi !) de vivre à jamais la sensation du moment où je me suis endormi cette nuit.
Ce moment toujours trop court où le monde bascule doucement mais inexorablement du bien être absolu et encore conscient au sommeil béat, rassurant et profond.
Ce moment précis où on a l'impression d'être un chat (hem...je crois que je fais une fixation sur les chats...)
Ce moment où on a l'impression grisante de saisir la vie, vraiment, d'autant plus que l'on reste conscient de son caractère ephémère...
...
Et dire que j'ai encore tout ce taf à faire et que je me lèverai à 3 heures du matin jeudi pour 2 jours de séminaire tout naze au fin fond de l'Allemagne...
Ca en devient drôle tellement c'est improbable...
En fait, pas certain que ce soit de la simple fatigue... même si les heures de sommeil me font défaut...
C'est peut-être que je ne veux pas me résoudre à quitter cette nuit... Je ne veux pas être réveillé...
Si je croise un bon génie, mon souhait serai certainement (outre celui d'avoir une infinité de souhaits à faire ! Faites pas les malins avec moi !) de vivre à jamais la sensation du moment où je me suis endormi cette nuit.
Ce moment toujours trop court où le monde bascule doucement mais inexorablement du bien être absolu et encore conscient au sommeil béat, rassurant et profond.
Ce moment précis où on a l'impression d'être un chat (hem...je crois que je fais une fixation sur les chats...)
Ce moment où on a l'impression grisante de saisir la vie, vraiment, d'autant plus que l'on reste conscient de son caractère ephémère...
...
Et dire que j'ai encore tout ce taf à faire et que je me lèverai à 3 heures du matin jeudi pour 2 jours de séminaire tout naze au fin fond de l'Allemagne...
Ca en devient drôle tellement c'est improbable...
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