Khazad danse
Le blog à le Khazad

Posté le 30 mai 2005 à 16:38

Hier soir, j'étais tranquillement en train de me péter la tête devant ma téloche quand j'ai vu des images de gens brandissant des drapeaux, parfois rouges (hahem), parfois tricolores (surtout chez les fachos), et qui, le plus souvent, scandaient bien fort "On a gagné, on a gagné".
La saison de footchebol étant terminée, j'ai bien compris qu'il s'agissait du résultat du referendum...

La France a dit non à une Europe plus sociale (alors qu'elle avait l'occasion de s'y renforcer par la voix de son peuple souverain), préférant peser moins dans une Europe qui resterait économique.
Soit.
Je trouve ça complètement incomphréhensible (pour le moins !), ce n'était pas ma vision de la France, mais bon, à 55 %, j'arrête d'essayer de comprendre, ça me dépasse...

Mais y'a rien à faire, j'ai beau me triturer les méninges, j'aurai admi que les partisants du non scandent un truc du genre, "Vas-y Chirac, rame !", j'aurai compris un "On a tout pété, on a tout pété !", j'aurai même adhéré à un "Au boulot maintenant !"...
Mais franchement...
"On a gagné"...

Putain, on a gagné quoi ?!!??...
0 bla-bla(s)
Posté le 29 mai 2005 à 12:29

Je reviens sous peu...

Juste quelques petites formalités civiques :
Parti (en retard) voter oui.
Rentre (ce soir) pour déplorer le non.

A tout de suite...
0 bla-bla(s)
Posté le 27 mai 2005 à 11:56

Et c'est (votez oui) peut-être bien le retour de la photo (votez oui) sur ce blog... Qui l'eu cru ?...

Voilà donc deux petits clichets (votez oui) avec de la vraie couleur dedans (votez oui) à cliketer et à pas critiquer (votez oui) parce que bon, moi, j'aime ces photos (votez oui).

Echec et Mat :



Espalier :




EDIT : Et pis tiens, spéciale dédidace à quelqu'un qui votera oui... Comme vous...
Posté le 26 mai 2005 à 16:32

Dans mon actuelle recherche du bien-être absolu, j'eu l'immense et intense joie, hier soir, de rencontrer LE personnage incontournable pour mon futur moral d'acier...

En effet, dans ma nouvelle (chambre de tortures) salle de sport où j'ai bien décidé de (tuer) mettre à profit le temps que j'ai enfin, règne en maître mon nouvel ami : Hervé.

Hervé est costaud.
Option "très".
Hervé n'est pourtant pas bâti comme une armoire à glaces... Plutôt comme... euh... comment dire... comme un réfrigérateur... pas américain, français... plus profond que large quoi... et dans la partie supérieure : le frizzer !
Hervé est donc cool. Très cool.

Hervé remonte sans arrêt la p'tite bretelle étiolée de son marcel moulant 10 fois trop petit.
Mais malgré ce tic étrange, Hervé est un vrai mâle. Il accompli le geste avec autant de virilité qu'un Bundy ferai claquer l'élastique de son slip kangourou jaune pâle.

Hervé est impressionant. Il déborde, au-delà de son jogging moule burnes attrophiées, de muscles énormes, saillants et poilus.
Et c'est très bien.
Parce que ça donne tout de suite envie de ne jamais trop en faire !

Mais Hévé, c'est aussi un look.
Hervé, son petit anneau d'argent en boucle d'oreille, sa casquette "Miami Champions" vissée sur son crâne luisant et ses petites lunettes cerclées d'intello des années 90, dégage un charisme... euh... ébouriffant !

Hervé est aussi un sportif.
Alors il bouge tout le temps.
Même assis à son bureau (en train de m'établir patiemment, durant 1 heure, mon futur programme de remise en forme en 4 séances renouvelables de 8 exercices chacune), même à son bureau donc, Hervé enchaîne les mouvements.
Et un : je remonte mes lunettes ; Et deux : je relève ma casquette, je rabaisse ma casquette, en haut, en bas ; Et trois : je fais claquer l'élastique de mon marcel ; Et quatre : je fourre mes gros doigts musclés dans mes narines ; Et on recommence : Et un...

Vraiment, Hervé à toutes les qualités.
Et oh joie, Hervé m'a bien montré qu'il voulait être mon ami !
Notamment en vérifiant ouvertement (6 fois de suite !) mon hétérosexualité en m'indiquant, de gestes on ne peut plus équivoques, la bave aux lèvres, l'oeil torve et le neurone paralysé, les "p'tits lots" (gasp...) qui passaient devant sa porte.
A chaque fois, je m'attendais à ce qu'Hervé fasse apparaître un lot de petites planchettes numérotées, que je le voyais déjà brandir dans le plus pur style "école des fans pervers" au passage de chaque demoiselle en survet' moche.
Au vu de mes actuelles dispositions, y'a encore du boulot avant qu'Hervé ne craigne plus de penchants honteux de ma part, d'autant que j'étais, je l'avoue, bien plus absorbé par ses (étranges) formes, à lui !

Enfin, peu importe, Hervé deviendra sûrement un ami proche et sincère.
...
Enfin... Si Hervé arrête enfin d'essayer de me tuer avec ses barres en acier, ses disques en fonte, ses machines implacables, ses vélos fous, ses tapis roulants fourbes et ses rameurs sournois !!!!


Et si Hervé (du VitalForm de Courbevoie, 159 rue Armand Sylvestre, pouvez pas le louper !) lit ce blog, alors je viens de gâcher bêtement (!!!...) ma carte d'abonnement à 75 Euros mensuels !

Comment ça je suis pas motivé ?
Tout ça parce que j'ai pas été foutu de finir les 20 minutes d'échauffement sur son putain de saloperie de vélo lesté sa race ?
Pfff... C'est mal me connaître !

Ou pas...
Posté à 15:13

Votez...

Votez oui...

Sivouplé...
Posté le 25 mai 2005 à 12:06

Vu chez Bibz, la meilleure facon de déterminer votre nom et votre titre honorifique Star Wars :

* le nouveau prénom : 1. prenez les 3 premières lettres de votre nom. 2. Ajouter les 2 premières lettres de votre prénom.
* le nouveau nom : 3. Prenez les 2 premières lettres du nom de naissance de votre mère. 4. ajouter les 3 premières lettres de votre ville de naissance.
* Votre titre honorifique Star Wars: 5: prenez les 3 dernières lettres de votre nom et inversez les ! 6. Ajouter les 3 premières lettres du modèle de votre voiture (ou la marque si ce sont des numéros, ou votre future voiture !) 7. Insérer le mot "of" 8: prenez le nom du dernier médicament que vous ayez pris.

Je suis donc Varre BUSAI, Xuameg of Omega3 !
J'ai un nom débile, je diffuse des conneries sur le web, et les Omega3 n'ont aucun effet sur moi ! HAHAHAHA !

Et ma santé mentale ne s'arrange visiblement pas...
Posté le 24 mai 2005 à 10:37

Ayé, je l'ai !
Ma basse !
Reçue hier !
C'est la fête...
Enfin, non, c'est pas la fête, mais je vous avoue que je n'ai aucune envie (et encore moins la motivation) de vous fournir l'explication de texte de mon dernier post vu par tous comme aussi déprimant que déprimé.
Et puis j'ai dit que je ne parlais plus de ma vie privée et personnelle que personnellement et en privé !
Alors donc, je change de sujet, comme ça, hop, mine de rien, ni vu ni connu j't'embrouille.

Donc, ma basse !
Elle est superbe, en bois (noir), avec des cordes (4) fixées dessus par d'étranges mécanismes (en vrai métal), elle est branchable (avec un cable) sur un ampli (joli), qui fait que y'a du son qui sort (contre le mur des voisins) !
Bref, c'est magnifique !

En plus, faut bien dire que pour un associable tendance dure qui tourne en rond dans sa cage, recevoir un instrument de musique dont on ne sait pas jouer, c'est un plan de rêve !

Je me suis donc éclaté cette nuit à accorder l'engin ! Ca m'a pris une heure pour un résultat... disons... petitement acceptable.
Et puis j'ai fait les 2 premiers exercices niveau zéro ("débuts d'un débutant qui débute") et franchement... c'était drôlement bien...

Et après, j'ai dormi...

Et ça aussi c'est bien !...
Posté le 23 mai 2005 à 15:49

Ce que j'ai appris, ce que je sais et sais faire, ce que je sais dire et montrer, comprendre et démontrer, tout ça n'est réellement rien de moi.
Ce ne sont au mieux que des outils pour me trouver, au pire les miroirs pour me perdre dans le dédale de ma vie.

Depuis que j'ai finalement compris que ce labyrinthe là évolue sans cesse et n'existe que pour me maintenir vivant et prisonnier, je ressens alors que tout ce que je crois savoir conduit à ma perte et que c'est d'avantage le coeur et l'instinct qui peuvent me mener à une évasion précisément inespérée.

Cette quête là, à mener de coeur et d'instinct, c'est la vie justement.
Et c'est une question de choix.
Des choix à provoquer et qui n'existent qu'entre deux choses: le gain ou la perte.

Pas si simple...
La perte annihile parfois l'envie... Gagner même un peu pour espérer encore ?
Le gain tue souvent le rêve... Perdre pour mieux rêver ?

Alors quoi ?... Laisser entrer la lumière à fenêtres grandes ouvertes ou garder l'ombrage des persiennes doucement closes ?
C'est précisément ce choix là qui, bien mieux que mes (in)aptitudes, défini ce que je suis.

Avec parfois une profonde tristesse,
Je choisi coute que coute, pour essayer de devenir qui je suis,
Souvent sans promesses.

Et puis, même au lendemain d'une terrible perte, je crois que les hommes n'agonisent que de tristesse.
Mais s'ils sont profondément malheureux, c'est de ne pas tenter de réaliser les rêves qu'ils ont.
Avant la fin, simplement, je tiens à avoir essayé...
Posté le 19 mai 2005 à 09:38

Le programme télé est mon ami...

Au vu de l'état dans lequel je me trouve actuellement, j'ai acquis la certitude que l'équipe qui défini nos programme télé (Monsieur Sétjour, Monsieur Pauche, Monsieur Zaide...etc...), inclu forcément un membre de mon entourage proche.
Sinon, comment expliquer avoir (encore) passé une soirée à picoler en tête à tête avec la téloche, devant :
1) "Lost in translation" (comment mieux définir l'état dans le lequel je me trouve en ce moment ?...)
2) "La crise" (Ah bah voilà)

En tous cas, qui que je connaisse à l'ISPTF (instances supérieures de la programmation télévisuelle française), je le remercie grandement pour son sens de l'à propos !
...
Et aussi pour m'avoir permis de m'endormir... enfin... devant... Halloween 2 !

Rien à dire, un mec qui trouve finalement le sommeil devant Halloween 2 (avec quelques grammes de sang dans l'alcool), est un mec qui va bien. Très bien !

...
Ou pas hein !
Posté le 13 mai 2005 à 00:21

Et bah voilà : Changement de mentalité ; changement de layout !
L'encre n'est pas encore tout à fait sèche, mais presque...

Pour faire bref, j'ai essayé de conserver l'essentiel et d'apporter tout le bric et le broc de mes envies enfin sorties de leurs cartons.

Le résultat en est forcément un patchwork que j'espère être tout de même à peu près lisible...

Je pense qu'il me ressemble à peu près...

J'espère qu'il vous plaira à peu près...
Posté le 12 mai 2005 à 12:06

On m'informe dans l'oreillette qu'après relecture, mon dernier post s'avèrerait ne pas être aussi badin que je l'eusse cru, et qu'il virerait p'têt'même carrément à la ch'tite déprime existentielle...

Bon... Vous voulez la jouer comme ça... OK...

Alors soyons francs, voui, j'ai un p'tit coup de blues depuis quelques temps... Troma déménagemental diront les spécialistes... mouai... j'suis pas certain... du tout...

La vérité, c'est qu'inexplicablement, je me sens singulièrement à l'étroit dans ma peau ces derniers temps. Je pensais que tout cela s'arrangerai, après le déménagement, avec un peu de repos et quelques moments rien qu'à moi, avec le temps va tout s'en va qu'il disait, mais non...

Ma première stratégie, consistant à laisser passivement passer la pleine lune, termine donc sa courte existence (si j'avais un ami allemand, j'aimerai assez qu'il s'appelle comme ça...) (Kurt Existanz) (laissez tomber, je divague) (vague), bref, à la poubelle le plan A, voici donc le plan C ! (j'aime pas particulièrement la lettre B, C est nettement plus drôle dans la vie de tous les jours.)
Et vous me direz : mon plan C, késseussé ?
Et bah c'est très simple et je m'en vais vous l'expliquez, et en 3 points, comme à l'école :

1) La théorie : je vie et me nourri de rêves et de liberté. Autrement dit : je ne supporte aucune contrainte, quelle qu'elle soit. La faute à je ne sais pas trop quelle connerie freudienne (ou pas), peu importe, c'est comme ça.
Je ne suis heureux que libre et rêveur.
Déplacer des montagnes par massifs entiers (sans faire tomber la neige des sommets) est pour moi un jeu d'enfant pour peu que j'ai librement choisi (rêvé) de le faire.
Par contre, faire 100m jusqu'à la poste pour enregistrer un foutu changement d'adresse qui entraînera de toutes façons la perte de la moitié de mon courrier, là, c'est les 16 travaux d'Hercules ! (oui, 15, je sais !)

2) Les faits : Ces derniers temps, je vie dans la contrainte. Le temps qui manque, les plaies d'argent, les contraintes professionnelles qui s'empilent, les attentes et envies mises en sommeil forcé, les affres des démarches administratives, et toutes ces petites saloperies me pourrissent littéralement la vie.
Je m'interdis presque inconsciemment tout repos, sans profiter du temps que cela me libère, et je tourne en rond dans cette cage, ajoutant à ma contraignante todo-list la chape angoissante du temps ainsi perdu.
Bref, pour le moral, c'est la merdasse. Et ce malgré les renforts de mes amis, de mes amours et de mes emmerdes elles-mêmes ! Parque qu'il faut bien le dire, je n'ai pas de problème insurmontable et en théorie, pas la moindre raison de me plaindre.

3) Solution : Quand on a usé jusqu'à la corde notre quota d'insouciance, il faut bien admettre qu'une dose de courage et d'énergie devient nécessaire pour vivre libre, sans inquiétudes, appréhensions, peurs, craintes ou angoisses....
En clair : va falloir se bouger le cul !
Me voila donc bien décidé à procéder à une petite piquouze d'adrénaline et à reconquérir au plus tôt ma liberté même pas perdue.
Pour ce faire, y'a pas 36 solutions... ou en tous cas, je n'en ai qu'une en stock dans mon tiroir à solutions : privilégier l'instinct.
Ne pouffez pas, pour moi ça veut dire beaucoup même si c'est peut-être un détail pour vous.
Idioties mises à part, c'est vrai que ce n'est qu'un changement de vue, mais qui a toute son importance pour moi.

Pour vous, attentionnés lecteurs, vous risquez juste d'avoir (encore !) à subir un nouveau template !...

Pour faire mon intéressant 3 secondes, je laisse le mot de la fin à un auteur dont je n'ai jamais entendu parler et qui porte un nom de chèvre dans Heidi : Olivier Blanchette :
« C'est l'instinct qui nous permet de trouver les réponses. La raison nous permet de les justifier. »
Posté le 09 mai 2005 à 16:47

Bouillant lecteur, je le sais, tu m'en veux...
Amèrement même...
Je sais za quel point mes sémillants écrits ont pu te manquer depuis ces loooo-ongues semaines sans posts...
Je sais, je sais... voilà, c'est tout, c'est fini, je suis là...

C'est-à-dire que quand même, j'étais en déménageage là...
Paris-Courbevoie, ça fait une sacrée route quand même ! Surtout avec 50 m3 de bordel qui tenaient dans 20 m3 d'appart parisien et 15 m3 de cave magique ! (Si-si ami balaise en calcul mental, c'est possible.) (Ne me demande pas comment steuplé, sois mignon.)
Et aujourd'hui enfin, installé (et éreinté) je suis !
Voilà une bonne chose de faite. Et une résolution 2005 menée à bien.

Alors oui, pour ce qui est de mon p'tit blog délaissé, j'ai bien quelques posts pas finis, sauvegardés en draft pour le jour où à la seconde j'aurai une minute pour moi dans l'heure... Mais les faits sont là : mis à part cette idiote histoire de crapauds explosifs d'il y a 10 jours, je n'ai encore rien posté.
Et toi du coup, affable lecteur, t'as plus rien à lire, quenique à te mettre sous la quenotte, queudale à becter ! Pauvre de toi...

Je t'ai manqué, c'est un fait...
Indéniable...
Et donc... forcément (je m'en voudrai de me départir de mes bonnes vieilles habitudes) : je m'interroge.
...
Je m'interroge tout plein...
...
Comment se fait-il que je ne reçoive pas de coups de fils soucieux par lot de dix ? De commentaires inquiets par paquets de cent ? De mails anxieux par liasses de mille ?
Hum ?...
Poukoua ?...
Tumaime pu ?...
Pis : tu m'aimes... moins ?...
Gasp... Angoisse, enfer et damnation... un manque d'amuuur... rien de moins !
Rien de pire !

Mais que vais-je deviendre ? A quoi sers-je sans vous ? Et sans moi ? Une fois encore, je profite du débat et m'interroge...

Laisser ce blog suivre sa petite vie, un post par ci par là, au grès de mes envies et de mon temps de vraie vie disponible ?
Trop fade...

Le lâcher dans la nature, reparler de tout et de rien comme ça, de moi et de nous, dans tous les sens, comme si mon blog et moi ne faisions à nouveau qu'un, de l'infime psychopathie bien naturelle à la démentielle schizophrénie d'aliéné ?
Trop débile...

Lui fermer sa tronche, comme au bon vieux temps où j'avais 500 lecteurs et autant de névroses et où je décidais (par trop plein d'amertume sûrement) de me couper des 500 premiers et de tenter de me libérer des 500 autres d'un coup de serpe (manqué) derrière les oreilles ?
Trop lâche...

Le remanier et en faire un surblog, remplie jusqu'à la tronche de mes pensées en devenir, de ma vie en friche, de mes relations en vrac, de mon boulot en sursit, de conneries en tous genres et de mes oeuvres à venir ?
Trop de boulot...
...

Ou pas...



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