A l'instar (Le cousin de Joé) (Oh la vache, elle est forte celle là ! Si-si, cherchez bien !), donc disais-je : à l'instar de Gérard Lambert, ce jour marque le retour du dimanche à la con.
Faut dire qu'après des pannes de ternet, des journées de travail bien remplites, des soirées à pas être là, et des virus de merde, y'avait pas grand place pour pas grand choses ces derniers temps. Du coup, le premier week-end un peu plus calme rameute ce fameux gimmick du dimanche à la con, d'autant qu'il est celui d'une convalescence nécessaire et méritée.
Très sympa d'ailleurs, après une atroce nuit (C'est long) passée à me retourner l'oesophage (Je sais, je sais, je suis un pouët) et à me demander si j'allais pas crever connement avec le réservoir de la chasse d'eau comme pierre tombale et Jacob-Delafon comme épitaphe (La honte !) ; Sympa donc, le lendemain, de recevoir un coup de fil de son patron énervé qui vous assène que chopper une gastro-grippe à quelques jours d'un rendez-vous super-important, c'est franchement pas professionnel !
D'ailleurs, faut que je me bouge le cul à tenter de gagner ma vie plus intelligemment... autre sujet dont il faudra que je m'entretienne ici...
Me dis donc qu'il est temps de revenir à ma vraie-fausse vie de blog.
D'autant que sans mentir, si votre ramage... nan, sans mentir : j'ai une bonne quinzaine de posts en mode "brouillons" qui mijotent depuis un peu longtemps.
Plein de trucs à dire, à raconter, des prises de positions idiotes, des phrases mielleuses, des émotions planquées et des back-to-the-passé purulents qui doivent se décider à un coming-out que l'absence de commentaires rendra sûrement plus simple...
Donc, bref, je vous muselle en vous privant de commentaires, mais je retrouve mon clavier de l'ancien temps... celui qui racontait ma vie sans soucis du commentaire assassin, troublant, ou trop judicieux... celui d'il y a (Spéciale dédicace à Djodassin) une éternité, un siècle... un an en fait...