Oui, je cogite beaucoup... trop...
Oui, je suis nerveux... trop...
Nan, les deux ne vont pas bien ensemble... du tout...
Alors il est vrai que je peux passer très rapidement de la plus grande zénitude apparente à la conduite très basiquement instinctive.
Si ce n'est pas simple à gérer pour mes proches (je crois bien qu'ils ont finis par capter qu'il ne fallait pas gérer, en fait...), ça me conduit régulièrement à d'explosives surprises... que j'ai souvent du mal à regretter...
Alors bon, voilà, c'comme ça...
Mais je me connais, et même cette limite infime entre le blanc et le noir, j'arrive maintenant à la percevoir, et je sais quelle est sa nature.
C'est l'incompréhension qui m'agace.
L'incompréhension, c'est tout. Enfin, mon incompréhension, la mienne, avec les limites de mon propre réseau neuronal et le contenu de ma propre boîte crânienne...
Parce que franchement, je ne suis pas certain d'être bien fini sur certains sujets !
Je peux entendre discourir sur certains sujets pendant des heures, si je n'ai pas l'étincelle d'intelligence supérieure nécessaire, bah je comprends pas et je comprendrai jamais.
En clair, je suis parfois très con.
Tenez, comme exemple, un exemple par exemple : la ségrégation, bah voila, je comprends pas.
Certains expliquent, discourent, comprennent (oui, y'en a), sont parfaitement au fait des tenants et aboutissants de ces réactions là, et bah je peux les écouter des heures, des jours, des mois, je comprends juste pas.
Et du coup, donc, ça peut m'énerver. Traiter une personne différemment pour des considérations physiques, de croyance, d'état, d'age, de nationalité, de sex, de quoique ce soit, bah je comprends pas. Lorsque je tombe sur une ségrégation, je réagis comme la blonde de la blague sur la peau de banane : "et merde, je vais encore me casser la gueule".
Je n'y peux rien, je suis juste construit comme ça. Je ne comprends pas ; alors au mieux, je demande, on me répond une connerie (ou on ne me répond pas, c'est souvent le cas), et je m'enerve, j'explique à voix trop haute, je gronde, je grogne, je feule, je griffe, je m'en prends une, j'en rends deux, puis chacun repars par où il est venu.
C'est con, ça sert à rien, mais bon voila, c'comme ça.
Un autre exemple tenez : si on est, avec moi ou pas, impoli sans raison, impoli au summum veux-je dire, et de surcroît absolument irrespectueux, je tiens, je tiens, je reste zen, je cherche l'explication 2 minutes, et puis ensuite, à tous coups, C't'idiot, je sais bien qu'il y'aura des baffes à travers des tronches...
Ou pas remarquez... hein... souhaitons-le, ou pas !...
Posté le 28 février 2006 à 15:15
Posté à 14:25
Posté le 27 février 2006 à 17:35
Posté le 23 février 2006 à 14:31
Posté le 22 février 2006 à 09:39
Posté à 09:19
Posté le 20 février 2006 à 14:40
Posté le 14 février 2006 à 11:03
Posté le 02 février 2006 à 11:33
C'est Mohammed qui gagne Le Royaume.
Vala, c'est bon, virez-nous cette émission à la con maintenant.
Vala, c'est bon, virez-nous cette émission à la con maintenant.
La peinture glycéro, c'est une vraie saloperie !
Et je trouve qu'elle est vachement bien, ma pensée du jour.
Nan-nan, pas "ou pas" ! (je parle le marsupilami maintenant, moi...)
Et je trouve qu'elle est vachement bien, ma pensée du jour.
Nan-nan, pas "ou pas" ! (je parle le marsupilami maintenant, moi...)
Je sais, se moquer de l'administration, c'est un peu fastoche...
Mais bon, voilà...
En tant que nouveau chômiste, je me suis rendu mi-janvier aux Assedic pour remplir un dossier dans le but de gagner de l'argent en masse.
Le rendez-vous fut épique, il a duré une heure, pour l'unique raison que mes salaires perçus durant les 12 derniers mois ne sont pas du même montant.
Vous allez me dire que vous ne voyez pas le problème... bah Ass&Dick, ils le voient, eux, le problème.
Je dois être le seul commercial en France, le seul à percevoir des commissions, le seul à avoir eu un salaire dépendant de mes résultats... En tous cas, Ass&Dick ont pas su faire autrement que de détailler ma dernière année de travail en 12 emplois différents dans la même société !!!
Bref, ça a duré des plombes. Et à la fin du calcul, moi, connement, je dis : oui, et dans mon solde de tout compte, j'ai aussi touché des commissions qu'il faut intégrer pour calculer mes indemnités.
Et là, c'est le drame !
Bah oui, intégrer des comms, ok, mais sur une période non travaillée, là, c'est la fin des naricots.
Bref, après avoir consulté le collègue de ma conseillère, leur patron et le patron de leur patron, la décision fut enfin prise officiellement :
- "Prft, bah là, on sait pô."
J'ai donc convenu qu'ils n'allaient pas tenir compte de cette somme pour l'instant, et qu'ils la réintégreraient plus tard, quand je leur adresserai un courrier de mon ex-employeur attestant que cette somme devait bien-être intégrée.
Comme ça, pas de panique, tout le monde peut retourner à sa sieste.
Et donc, quelques jours plus tard, je fais faire cette attestation, et je l'envoie à Ass&Dick avec ce courrier, ostensiblement poli :
"
Madame, Monsieur,
Comme convenu au cours de mon entretien d'inscription, je vous adresse ci-joint une attestation de mon ex-employeur spécifiant que le montant de xxx ? figurant sur ma dernière fiche de paie correspond bien à une rémunération de mon travail.
J'ai donc le plaisir de vous demander de bien vouloir régulariser le montant des indemnités à calculer en intégrant maintenant cette somme de xxx ? au montant de ma dernière rémunération.
Je vous remercie par avance de cette régularisation, et me tiens à votre entière disposition pour toute question ou demande complémentaire.
Bien cordialement...
"
Le truc marrant, c'est que j'ai vraiment fait de la formule de politesse et de la courbette dans tous les sens, sachant fort bien que l'administration y est (stupidement) fort sensible (la culture de l'apparence de pouvoir). J'ai mis du "de bien vouloir", du "je vous remercie", du "je me tiens à votre entière dispo", du "bien cordialement", la totale !
Bah voilà ce que je reçois en retour :
"
MONSIEUR ,
POUR FAIRE SUITE A VOTRE DEMANDE CONCERNANT VOTRE PRIME
SUR COMMISSION D'UN MONTANT DE XXX EUROS, J'AI LE PLAISIR DE VOUS INFORMER QUE J'AI FAIS LA RECTIFICATION EN L'INTE¬GRANT COMME POLIMENT DEMANDE 'MAINTENANT'.
VEUILLEZ AGREER, MADAME, MADEMOISELLE, MONSIEUR, NOS SALUTATIONS DISTINGUEES.
PR LE DIRECTEUR,
LE RESPONSABLE DE SITE
"
Alors je me suis dis que j'allais leur répondre que :
-) mon "maintenant" voulait dire "désormais", et pas "dépêche toi de le faire immédiatement grosse larve paranoïaque".
-) oui, je suis poli, très, trop, et ce n'est toujours pas suffisant pour toi, petit péteux !
-) j'aimerai savoir si ce n'est pas un manque de politesse que de m'appeler Monsieur en début de courrier, et Madame, Mademoiselle en fin de courrier...
-) il ferait mieux de s'attacher à se doter d'un traitement de texte capable d'écrire en minuscule au lieu de me hurler dessus.
-) on doit écrire "j'ai fait" et pas "j'ai fais".
-) un mois plus tard, il n'a rien fait du tout puisque mon calcul n'est toujours pas enregistré et qu'ils vont donc bientôt me devoir des sous !
-) c'est dingue en sachant qu'ils sont au moins 3 pour se travail : ma conseillère (à qui j'ai envoyé le courrier, comme convenu !), le directeur (qui me répond ça !), et le responsable du site (houlala c't'un problème sérieux ça !) ... A se demander si ils n'ont que ça à faire...
-) ce serait bien si l'administration ne passait pas systématiquement pour des abrutis improductifs.
Finalement, je fais un post ici et je ne leur réponds pas (va déjà falloir que je leur écrive pour réclamer le travail qu'ils disent avoir fait... ça va pas être simple, ça !).
Comme quoi, le blog, c'est bien pour réduire la fracture sociale...
Ouaip, ou pas...
Mais bon, voilà...
En tant que nouveau chômiste, je me suis rendu mi-janvier aux Assedic pour remplir un dossier dans le but de gagner de l'argent en masse.
Le rendez-vous fut épique, il a duré une heure, pour l'unique raison que mes salaires perçus durant les 12 derniers mois ne sont pas du même montant.
Vous allez me dire que vous ne voyez pas le problème... bah Ass&Dick, ils le voient, eux, le problème.
Je dois être le seul commercial en France, le seul à percevoir des commissions, le seul à avoir eu un salaire dépendant de mes résultats... En tous cas, Ass&Dick ont pas su faire autrement que de détailler ma dernière année de travail en 12 emplois différents dans la même société !!!
Bref, ça a duré des plombes. Et à la fin du calcul, moi, connement, je dis : oui, et dans mon solde de tout compte, j'ai aussi touché des commissions qu'il faut intégrer pour calculer mes indemnités.
Et là, c'est le drame !
Bah oui, intégrer des comms, ok, mais sur une période non travaillée, là, c'est la fin des naricots.
Bref, après avoir consulté le collègue de ma conseillère, leur patron et le patron de leur patron, la décision fut enfin prise officiellement :
- "Prft, bah là, on sait pô."
J'ai donc convenu qu'ils n'allaient pas tenir compte de cette somme pour l'instant, et qu'ils la réintégreraient plus tard, quand je leur adresserai un courrier de mon ex-employeur attestant que cette somme devait bien-être intégrée.
Comme ça, pas de panique, tout le monde peut retourner à sa sieste.
Et donc, quelques jours plus tard, je fais faire cette attestation, et je l'envoie à Ass&Dick avec ce courrier, ostensiblement poli :
"
Madame, Monsieur,
Comme convenu au cours de mon entretien d'inscription, je vous adresse ci-joint une attestation de mon ex-employeur spécifiant que le montant de xxx ? figurant sur ma dernière fiche de paie correspond bien à une rémunération de mon travail.
J'ai donc le plaisir de vous demander de bien vouloir régulariser le montant des indemnités à calculer en intégrant maintenant cette somme de xxx ? au montant de ma dernière rémunération.
Je vous remercie par avance de cette régularisation, et me tiens à votre entière disposition pour toute question ou demande complémentaire.
Bien cordialement...
"
Le truc marrant, c'est que j'ai vraiment fait de la formule de politesse et de la courbette dans tous les sens, sachant fort bien que l'administration y est (stupidement) fort sensible (la culture de l'apparence de pouvoir). J'ai mis du "de bien vouloir", du "je vous remercie", du "je me tiens à votre entière dispo", du "bien cordialement", la totale !
Bah voilà ce que je reçois en retour :
"
MONSIEUR ,
POUR FAIRE SUITE A VOTRE DEMANDE CONCERNANT VOTRE PRIME
SUR COMMISSION D'UN MONTANT DE XXX EUROS, J'AI LE PLAISIR DE VOUS INFORMER QUE J'AI FAIS LA RECTIFICATION EN L'INTE¬GRANT COMME POLIMENT DEMANDE 'MAINTENANT'.
VEUILLEZ AGREER, MADAME, MADEMOISELLE, MONSIEUR, NOS SALUTATIONS DISTINGUEES.
PR LE DIRECTEUR,
LE RESPONSABLE DE SITE
"
Alors je me suis dis que j'allais leur répondre que :
-) mon "maintenant" voulait dire "désormais", et pas "dépêche toi de le faire immédiatement grosse larve paranoïaque".
-) oui, je suis poli, très, trop, et ce n'est toujours pas suffisant pour toi, petit péteux !
-) j'aimerai savoir si ce n'est pas un manque de politesse que de m'appeler Monsieur en début de courrier, et Madame, Mademoiselle en fin de courrier...
-) il ferait mieux de s'attacher à se doter d'un traitement de texte capable d'écrire en minuscule au lieu de me hurler dessus.
-) on doit écrire "j'ai fait" et pas "j'ai fais".
-) un mois plus tard, il n'a rien fait du tout puisque mon calcul n'est toujours pas enregistré et qu'ils vont donc bientôt me devoir des sous !
-) c'est dingue en sachant qu'ils sont au moins 3 pour se travail : ma conseillère (à qui j'ai envoyé le courrier, comme convenu !), le directeur (qui me répond ça !), et le responsable du site (houlala c't'un problème sérieux ça !) ... A se demander si ils n'ont que ça à faire...
-) ce serait bien si l'administration ne passait pas systématiquement pour des abrutis improductifs.
Finalement, je fais un post ici et je ne leur réponds pas (va déjà falloir que je leur écrive pour réclamer le travail qu'ils disent avoir fait... ça va pas être simple, ça !).
Comme quoi, le blog, c'est bien pour réduire la fracture sociale...
Ouaip, ou pas...
Pas assez de temps dans une journée (qui a inventé le besoin de sommeil ?).
Plein de projets (plein).
L'idée de retrouver mes crocs (gniak).
Un peu laissé tombé la zique, c'pas bien.
Une To-Do-List de 46 lignes, dont 7 seulement sont faites (ah bah 8 là...).
Le sourire (gnîîî).
Plein de gens à appeler, certains que je n'appelle pas, et d'autre... non plus, mais je devrai !
Le besoin de sortir les griffes (histoire de laisser quelques traces pense-bete ici et là).
Eté accepté au sein de Parisist ! (ça c'est bien !)
Encore une autre idée de site (ah tiens, encore une autre... pfff...).
Eté ravi de ce déjeuner d'amis (à re steuplé...).
Beaucoup de taf (mais je m'applique à ne pas re-stresser).
Le projet de faire du dessin sérieusement (ça avance doucement).
Réussi à convaincre l'ANPE... ce mois-ci (la prochaine fin-mars).
Envie (ouaip).
Plein de projets (plein).
L'idée de retrouver mes crocs (gniak).
Un peu laissé tombé la zique, c'pas bien.
Une To-Do-List de 46 lignes, dont 7 seulement sont faites (ah bah 8 là...).
Le sourire (gnîîî).
Plein de gens à appeler, certains que je n'appelle pas, et d'autre... non plus, mais je devrai !
Le besoin de sortir les griffes (histoire de laisser quelques traces pense-bete ici et là).
Eté accepté au sein de Parisist ! (ça c'est bien !)
Encore une autre idée de site (ah tiens, encore une autre... pfff...).
Eté ravi de ce déjeuner d'amis (à re steuplé...).
Beaucoup de taf (mais je m'applique à ne pas re-stresser).
Le projet de faire du dessin sérieusement (ça avance doucement).
Réussi à convaincre l'ANPE... ce mois-ci (la prochaine fin-mars).
Envie (ouaip).
Wikipédia dit ceci :
KHAZAD est un algorithme de chiffrement par bloc conçu par Paulo Barreto et Vincent Rijmen. Le nom de KHAZAD provient de Khazad-dûm, une des principales cités du peuple des nains dans l'univers du Seigneur des Anneaux.
KHAZAD a été présenté au concours NESSIE en 2000 et après quelques modifications (la version initiale s'appelle KHAZAD-0), il fut sélectionné comme finaliste. L'algorithme possède huit tours d'un réseau de substitution permutation similaire au chiffrement SHARK. Il a une taille de bloc de 64 bits et une clé de 128 bits. KHAZAD utilise de manière intensive les involutions comme sous-composants dans sa structure, cette technique permet de minimiser les différences entre le chiffrement et le déchiffrement.
Les auteurs ont affirmé que KHAZAD ne serait jamais breveté et qu'il pouvait être utilisé libre de droits. En 2003, Frédérik Muller a découvert une attaque qui peut casser cinq des huit tours de KHAZAD.
Et ça m'trou l'cul !
KHAZAD est un algorithme de chiffrement par bloc conçu par Paulo Barreto et Vincent Rijmen. Le nom de KHAZAD provient de Khazad-dûm, une des principales cités du peuple des nains dans l'univers du Seigneur des Anneaux.
KHAZAD a été présenté au concours NESSIE en 2000 et après quelques modifications (la version initiale s'appelle KHAZAD-0), il fut sélectionné comme finaliste. L'algorithme possède huit tours d'un réseau de substitution permutation similaire au chiffrement SHARK. Il a une taille de bloc de 64 bits et une clé de 128 bits. KHAZAD utilise de manière intensive les involutions comme sous-composants dans sa structure, cette technique permet de minimiser les différences entre le chiffrement et le déchiffrement.
Les auteurs ont affirmé que KHAZAD ne serait jamais breveté et qu'il pouvait être utilisé libre de droits. En 2003, Frédérik Muller a découvert une attaque qui peut casser cinq des huit tours de KHAZAD.
Et ça m'trou l'cul !
Ah tiens, dans la série des posts super-interessants : précision grammaticale importante : va falloir arrêter ce petit ton professoral avec les barbares qui ne peuvent s'empêcher de dire des choses du style "je vais au boulanger" ou "je vais chez Monoprix".
Parce que bon, dans ce monde qui manque cruellement d'humanité et d'ouverture (on dirait le début d'un discours de Miss France ça...), on en vient à corriger son prochain bien trop promptement, ne laissant pas la moindre chance à ses neurones pour méditer : Avant de râle, et si le barbare avait raison ?...
Alors, il est vrai, "je vais au dentiste", ça fait moche, et si on a rendez-vous pour une vilaine carie à faire zigziguer à la roulette, c'est incorrect !
Mais faisons un petit effort d'ouverture... Si je me rends, en tant que grand amateur de chirurgie dentaire, au grand congrès annuel de la profession : "Dentiste 2006, l'avenir de l'homme est dans ses molaires", alors là, merde, je m'insurge mais faut pas déconner, je revendique le droit de dire, sans me faire reprendre : "Je vais AU dentiste" !!
Et toc !
Alors oui, je conçois qu'entendu dans le métro de la bouche d'un djeuns en bagui ridicule, qui parle fort à son camarade assis à 3cm de lui parce que tous deux ont du bruit dans les écouteurs enfoncés (loin) dans leurs oreilles boutonneuses, on peut se poser la question de savoir si on a effectivement affaire à d'éminents congressistes... ok...
Alors bon, tenez, autre exemple pour mettre tout le monde d'accord (ici, c'est moi qui décide, Alors après cet exemple, je vous le dis, tout le monde sera d'accord, c'est comme ça !).
"Aller aux putes" ET "Aller chez les putes" sont tous deux corrects !
C'est juste le sens qui diffère.
"Aller aux putes" signifie que l'on va errer, au volant d'une 205 au ralenti, dans les passages sombres du bois de Vincennes à la recherche de quelque "miches à mater" (à répéter 10 fois très vite pour bien rigoler avec ses potes bourrés) histoire de satisfaire une libido passive, et passer 14 contrôles de police pour finir par rentrer se coucher discrètement sans réveiller bobonne qui s'en fout.
"Aller chez les putes" signifie se rendre à l'adresse la plus hipe de la capital : la maison close de la rue du chat qui pète, celle-là même dans laquelle officient les plus habiles geisha de la capital, pour y passer un moment de volupté et de plaisir intense, sans même avoir besoin de toucher à la coke proposée à discrétion par l'établissement.
Rien à voir dans le sens donc. Mais les deux sont "correctes".
Idem pour les "à" et les "de".
Le stylo de Jérôme : Le sytlo dont Jérôme est le propriétaire.
Le stylo à Jérôme : Le stylo qu'on reserve exlusivement à l'usage particulier de dessiner la zouli frimousse de Jérôme kétromignônralala dans les marges de son cahier de maths.
Une soirée de cons : une soirée ou des cons se rassemblent pour déconner entre eux et démultiplier leur bêtise commune pour leur plus grand plaisir.
Une soirée à cons : une soirée ou on pensait se rassembler pour déconner entre nous, mais on ne peut pas parceque les autres sont trop cons (ou pas assez).
Je milite ainsi férocement pour l'ouverture grammaticale.
Sinon, bah moi ça va, merci, j'ai passé un bon week-end avec une soirée à blogueurs, un doux comma dominical et un all-stars-game à 3h00 du matin dedans, et maintenant, faut que je me remette sérieusement au travail !!!
La suite tout de suite.
Parce que bon, dans ce monde qui manque cruellement d'humanité et d'ouverture (on dirait le début d'un discours de Miss France ça...), on en vient à corriger son prochain bien trop promptement, ne laissant pas la moindre chance à ses neurones pour méditer : Avant de râle, et si le barbare avait raison ?...
Alors, il est vrai, "je vais au dentiste", ça fait moche, et si on a rendez-vous pour une vilaine carie à faire zigziguer à la roulette, c'est incorrect !
Mais faisons un petit effort d'ouverture... Si je me rends, en tant que grand amateur de chirurgie dentaire, au grand congrès annuel de la profession : "Dentiste 2006, l'avenir de l'homme est dans ses molaires", alors là, merde, je m'insurge mais faut pas déconner, je revendique le droit de dire, sans me faire reprendre : "Je vais AU dentiste" !!
Et toc !
Alors oui, je conçois qu'entendu dans le métro de la bouche d'un djeuns en bagui ridicule, qui parle fort à son camarade assis à 3cm de lui parce que tous deux ont du bruit dans les écouteurs enfoncés (loin) dans leurs oreilles boutonneuses, on peut se poser la question de savoir si on a effectivement affaire à d'éminents congressistes... ok...
Alors bon, tenez, autre exemple pour mettre tout le monde d'accord (ici, c'est moi qui décide, Alors après cet exemple, je vous le dis, tout le monde sera d'accord, c'est comme ça !).
"Aller aux putes" ET "Aller chez les putes" sont tous deux corrects !
C'est juste le sens qui diffère.
"Aller aux putes" signifie que l'on va errer, au volant d'une 205 au ralenti, dans les passages sombres du bois de Vincennes à la recherche de quelque "miches à mater" (à répéter 10 fois très vite pour bien rigoler avec ses potes bourrés) histoire de satisfaire une libido passive, et passer 14 contrôles de police pour finir par rentrer se coucher discrètement sans réveiller bobonne qui s'en fout.
"Aller chez les putes" signifie se rendre à l'adresse la plus hipe de la capital : la maison close de la rue du chat qui pète, celle-là même dans laquelle officient les plus habiles geisha de la capital, pour y passer un moment de volupté et de plaisir intense, sans même avoir besoin de toucher à la coke proposée à discrétion par l'établissement.
Rien à voir dans le sens donc. Mais les deux sont "correctes".
Idem pour les "à" et les "de".
Le stylo de Jérôme : Le sytlo dont Jérôme est le propriétaire.
Le stylo à Jérôme : Le stylo qu'on reserve exlusivement à l'usage particulier de dessiner la zouli frimousse de Jérôme kétromignônralala dans les marges de son cahier de maths.
Une soirée de cons : une soirée ou des cons se rassemblent pour déconner entre eux et démultiplier leur bêtise commune pour leur plus grand plaisir.
Une soirée à cons : une soirée ou on pensait se rassembler pour déconner entre nous, mais on ne peut pas parceque les autres sont trop cons (ou pas assez).
Je milite ainsi férocement pour l'ouverture grammaticale.
Sinon, bah moi ça va, merci, j'ai passé un bon week-end avec une soirée à blogueurs, un doux comma dominical et un all-stars-game à 3h00 du matin dedans, et maintenant, faut que je me remette sérieusement au travail !!!
La suite tout de suite.
...mes chers compatriotes.
Tous les ans, nous avons pris l'habitude de fêter l'événement au début du mois de janvier.
On mange de la galette qui s'effrite à la frangipane lourde, on pose une couronne ridicule sur la tête de celui qui laisse une dent sur le caillou planqué dans l'amalgame gras et on passe à autre chose.
Mais cette année, d'après la télé, l'événement aura lieu en février, et selon les spécialistes, elle va être beaucoup moins drôle l'épizootie 2006.
Parait qu'elle tue les oiseaux... c'est France 2 qui le dit.
Parait qu'elle ne se transmet pas à l'homme et que des hommes en sont morts... c'est TF1 qui le dit.
Parait qu'on va gagner les JO... c'est M6 qui le dit, mais ça n'a rien à voir.
Bref, comme les médias nous expliquent si bien le phénomène, je demande à chacun d'entre vous, mes chers compatriotes, de faire preuve de civisme et d'apporter votre aide et votre soutien actif à la campagne que je lance aujourd'hui.
En effet, pour le bien-être de tous, pour la sauvegarde des espèces, et pour les générations futures, commence ce jour l'opération "sauve ton fion, tue un pigeon".
Chacun est concerné.
L'objectif est clair : éradiquer totalement et au plus vite les populations de pigeons qui sont une grave menace pour la santé de tous.
L'opération commençant en région parisienne aujourd'hui, jour de la Saint-Valentin-sa-mère-la-pute, j'invite tous les célibataires énervés à exprimer leur haine des opérations marketing et des maisons phénix en allant exploser à grands coups de lattes quelques pigeons.
J'invite également tous les couples amoureux (les couples non-amoureux n'ont qu'à faire comme les célibataires, changez rien !) à aller fêter leur allégresse en allant distribuer, bras dessus bras dessous, moult pitis morceaux de pains à leurs roucoulants amis, en n'omettant pas d'imbiber préalablement de la substance toxique de leur choix les miemiettes pour les noiseaux.
Vala. C'tout.
Je ferai le compte ce week-end... si je vois encore un de ces volatils répugnants dans Panam, je continue la politique !
J'suis sérieux, j'déconne pas !
Tous les ans, nous avons pris l'habitude de fêter l'événement au début du mois de janvier.
On mange de la galette qui s'effrite à la frangipane lourde, on pose une couronne ridicule sur la tête de celui qui laisse une dent sur le caillou planqué dans l'amalgame gras et on passe à autre chose.
Mais cette année, d'après la télé, l'événement aura lieu en février, et selon les spécialistes, elle va être beaucoup moins drôle l'épizootie 2006.
Parait qu'elle tue les oiseaux... c'est France 2 qui le dit.
Parait qu'elle ne se transmet pas à l'homme et que des hommes en sont morts... c'est TF1 qui le dit.
Parait qu'on va gagner les JO... c'est M6 qui le dit, mais ça n'a rien à voir.
Bref, comme les médias nous expliquent si bien le phénomène, je demande à chacun d'entre vous, mes chers compatriotes, de faire preuve de civisme et d'apporter votre aide et votre soutien actif à la campagne que je lance aujourd'hui.
En effet, pour le bien-être de tous, pour la sauvegarde des espèces, et pour les générations futures, commence ce jour l'opération "sauve ton fion, tue un pigeon".
Chacun est concerné.
L'objectif est clair : éradiquer totalement et au plus vite les populations de pigeons qui sont une grave menace pour la santé de tous.
L'opération commençant en région parisienne aujourd'hui, jour de la Saint-Valentin-sa-mère-la-pute, j'invite tous les célibataires énervés à exprimer leur haine des opérations marketing et des maisons phénix en allant exploser à grands coups de lattes quelques pigeons.
J'invite également tous les couples amoureux (les couples non-amoureux n'ont qu'à faire comme les célibataires, changez rien !) à aller fêter leur allégresse en allant distribuer, bras dessus bras dessous, moult pitis morceaux de pains à leurs roucoulants amis, en n'omettant pas d'imbiber préalablement de la substance toxique de leur choix les miemiettes pour les noiseaux.
Vala. C'tout.
Je ferai le compte ce week-end... si je vois encore un de ces volatils répugnants dans Panam, je continue la politique !
J'suis sérieux, j'déconne pas !
Dans la série "Amusons-nous, attisons la haine", l'actualité me navre.
Alors les amis, du haut de mon p'tit blog, je vais vous expliquer ce qui doit se passer dans un monde sérieux :
Quand on est journaliste, on sait forcément que représenter le prophète est une agression, donc, on ne le fait pas.
Quand on est rédacteur en chef d'un service qui a fait une bêtise aussi idiote, on présente ses excuses.
Quand on est représentant d'un gouvernement qui n'est pas attaqué, et dont le peuple n'est pas attaqué, on n'a pas à présenter ses excuses pour une bêtise que l'on n'a pas faite.
Quand on est blessé dans sa religion par un journaliste, on ne s'en prend pas à un peuple et/ou à un gouvernement qui n'en est absolument pas responsable.
Quand on demande à être compris, on essaye de comprendre.
Quand quelqu'un vous présente ses excuses, on les accepte.
Quand un journaliste a fait une connerie, on ne refait pas la même en pire le lendemain !
Quand on fait une connerie, sachant que c'en est une, dans le seul but d'envenimer les choses, on reprend ses esprits et on démissionne de son poste de journaliste...
Quand on fait sciemment ce genre de connerie, on ne se planque pas derrière la liberté d'expression après avoir abusé d'un pouvoir de nuisance en bafouant le devoir de respect d'autrui.
Quand sa religion est attaquée, on l'explique et on se défend dans le respect de cette religion !
Alors voilà, y'a eu des grosses conneries de faites. Les abrutis ont présenté leurs excuses ou se sont fait lourdés.
Fin de l'affaire. Point barre.
Va falloir arrêter la course à la haine et/ou au fanatisme !
Voilà, Khazad a encore sauvé le monde. Ne me remerciez pas, c'tout naturel.
Et je sais pas pourquoi, c'est vraiment étonnant, mais franchement, c'est super facile pour moi d'arbitrer ce genre de gros problèmes internationaux...
J'ai sûrement une forme d'intelligence dont aucun dirigeant, représentant, ou voix entendue de part ce vaste monde n'est doté...
Une sorte de super-pouvoir sans doute... Dingue !....
Alors si je peux vous rendre service, n'hésitez pas.
A plus !
Alors les amis, du haut de mon p'tit blog, je vais vous expliquer ce qui doit se passer dans un monde sérieux :
Quand on est journaliste, on sait forcément que représenter le prophète est une agression, donc, on ne le fait pas.
Quand on est rédacteur en chef d'un service qui a fait une bêtise aussi idiote, on présente ses excuses.
Quand on est représentant d'un gouvernement qui n'est pas attaqué, et dont le peuple n'est pas attaqué, on n'a pas à présenter ses excuses pour une bêtise que l'on n'a pas faite.
Quand on est blessé dans sa religion par un journaliste, on ne s'en prend pas à un peuple et/ou à un gouvernement qui n'en est absolument pas responsable.
Quand on demande à être compris, on essaye de comprendre.
Quand quelqu'un vous présente ses excuses, on les accepte.
Quand un journaliste a fait une connerie, on ne refait pas la même en pire le lendemain !
Quand on fait une connerie, sachant que c'en est une, dans le seul but d'envenimer les choses, on reprend ses esprits et on démissionne de son poste de journaliste...
Quand on fait sciemment ce genre de connerie, on ne se planque pas derrière la liberté d'expression après avoir abusé d'un pouvoir de nuisance en bafouant le devoir de respect d'autrui.
Quand sa religion est attaquée, on l'explique et on se défend dans le respect de cette religion !
Alors voilà, y'a eu des grosses conneries de faites. Les abrutis ont présenté leurs excuses ou se sont fait lourdés.
Fin de l'affaire. Point barre.
Va falloir arrêter la course à la haine et/ou au fanatisme !
Voilà, Khazad a encore sauvé le monde. Ne me remerciez pas, c'tout naturel.
Et je sais pas pourquoi, c'est vraiment étonnant, mais franchement, c'est super facile pour moi d'arbitrer ce genre de gros problèmes internationaux...
J'ai sûrement une forme d'intelligence dont aucun dirigeant, représentant, ou voix entendue de part ce vaste monde n'est doté...
Une sorte de super-pouvoir sans doute... Dingue !....
Alors si je peux vous rendre service, n'hésitez pas.
A plus !
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(je sais, c'est con, mais c'est comme ça !)
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