C'est marrant, en fait, "On a toujours Un bateau dans le coeur, Un avion qui s'envole
Pour ailleurs, Mais on n'est pas à l'heure."
Hem...
Ok, ne cherchez plus, c'était du Julien Clerc, et moi non plus, je ne comprends pas tout de ces foutues paroles que je viens de retrouver grace à MON ternet, qui marche enfin.
C'est juste que voilà, l'air me trottait dans la tête... mais juste un tout p'tit morceau de l'air. Genre juste "Paaaartir, paaaartir..." et c'est tout. Pas plus.
L'inconvénient quand on a un tout p'tit morceau de chanson qui trotte, c'est qu'il boucle vachement souvent.
Donc, il est chiant vachement vite.
Le pouvoir de nuisance d'une souvenance d'un morceau de chanson est proportionnel au degré de non-souvenance qu'on en a. C'est terrible.
Et pourquoi je vous dis tout ça ? Hein ? Pourquoi qu'il blablate connement alors qu'il devrait être couché le Khazâd ?
Et bein parce que demain, je me lève tôt. Très.
"Demain, il faut croire, je vole." (Cherche, je ne te souffle pas ce coup-ci)
Je m'en vais donc gerber dans un avion pour pouvoir me goinfrer pendant 2 semaines d'imméritées heures de siestes et subir d'expiatoires coups de soleil sur les orteils.
Yipikaï.
Après ça, boulot non-stop. Jusque 2012. Minimum.
Pfffiou...
Mais ça, c'est après que je va revenir. C'est pas tudsuite.
Pour l'heure...
Paaaartir, pâââârtir...