Nan mais sans déconner.
J'ai quitté mon ex-employeur de mon propre fait, alors que personne ne me demandait rien, juste par simple volonté de sortir de ce boulot qui devenait de plus en plus pourri. (pas difficile, pourri)
Depuis, évidemment, mes ex-collègues se sont disputés mon poste. A tel point qu'à ce jour, celui-ci n'est encore à personne, mais si plusieurs le revendique.
Imaginons...
Imaginons que j'attende encore, disons 3 ans, à m'occuper simplement à écrire de temps en temps depuis une petite maison de campagne tranquille.
Et puis au bout de tout ce temps, allez hop, je remets mon vieux costard, une cravate neuve, et je reviens comme une fleur dans mon ex-entreprise.
J'ai retrouve les clefs, les codes et les cartes, et je rentre, trankilou, salue la standardiste, mes ex-collègues et vais m'asseoir à mon ancien bureau.
Pis j'bosse. Comme avant. Comme si de rien.
Alors évidemment, tout le monde se demande ce que je fous là. Mes ex-collègues qui ont récupérés des morceaux de mon business, ou qui espèrent encore le faire, s'inquiètent :
- Mais... euh... tu reviens en fait là ? Pour bosser comme avant ou juste comme ça pour dire coucou ?...
Moi, je n'écoute personne, je ne dis rien à personne, juste, je bosse, comme 4 ans auparavant.
Mes ex-boss ne comprennent pas, viennent me voir :
- Mais qu'est-ce que tu fais là ?... T'as arrêté ce travail il y'a 4 ans, et là, tu reviens t'installer à ton bureau... mais qu'est-ce tu fous ? Tu veux un nouveau contrat ou quoi ? Hein ?...
Toujours autiste, je continue.
Et je fais durer cela des jours et des semaines, en ne disant toujours rien de précis ou concret à personne.
Et puis au bout d'un mois, je réunis tout le monde :
- Bonjour à tous. Bon, bah, j'étais revenu bosser mais finalement, y'a mes ex-collègues qui ne me parlent pas beaucoup, pis mon travail n'est plus ce qu'il était, pis y'a assez de personnel ici, vous vous débrouillerez. Alors je me re-casse ! - ...
- C'est bien fait pour vous, z'aviez qu'à être encore plus gentils avec moi !
- ...
- Pis j'voulais dire aussi que machin, qui fait les meilleurs résultats loin devant tous les autres et est donc crucial à la réussite de l'entreprise, qu'on l'apprécie ou pas, bah, je dois dire qu'il ne m'a pas spontanément donné son dessert l'autre jour au resto d'entreprise ! Donc une fois que je serai parti, cassez lui tous la gueule.
Voila... C'est totalement farfelu n'est-ce pas ?
Evidemment, ce genre de choses n'arriverait jamais.
J'en ai vu des trucs cons en entreprises... mais soyons positifs, dans les petites entreprises, avec tous leur défauts, on ne voit heureusement pas encore des trucs aussi débiles qu'en politique.
En fait, la politique ne consiste pas à montrer l'exemple : les pires voyous sont de toute évidence ceux-là même qui font les lois.
La politique, maintenant, est une vitrine qui nous montrer qu'il y'a beaucoup plus prétentieux, plus idiot, plus égoïste, plus calculateur, plus menteur, plus magouilleur, plus bas, plus pitoyable, plus arrogant, plus fourbe... que son collègue de l'open-space d'à côté.
C'est toujours ça de pris.
...ou pas.
Posté le 29 septembre 2006 à 08:14
Posté le 28 septembre 2006 à 18:16
Posté le 27 septembre 2006 à 14:00
Posté le 26 septembre 2006 à 08:45
Posté le 22 septembre 2006 à 16:48
Posté le 20 septembre 2006 à 14:59
Posté le 19 septembre 2006 à 08:56
Posté le 17 septembre 2006 à 10:21
Posté le 16 septembre 2006 à 09:13
Posté le 15 septembre 2006 à 09:16
Posté le 14 septembre 2006 à 13:33
Posté le 13 septembre 2006 à 14:19
Posté le 12 septembre 2006 à 16:02
Posté le 11 septembre 2006 à 18:34
Posté le 10 septembre 2006 à 10:48
Posté le 09 septembre 2006 à 09:11
Posté le 08 septembre 2006 à 14:00
Posté le 07 septembre 2006 à 14:39
Posté le 06 septembre 2006 à 10:16
Posté le 05 septembre 2006 à 00:33
Le maire est un homme politique, donc "communiquant", mais quand tu le rencontres, il ne t'écoutes pas, réponds à côté de la question qu'il n'a pas comprise, est désagréable avec ses collaborateurs, impoli avec ses potentiels électeurs, claque des sous pour rien, et se casse s'en avoir rien apporté à personne.
Victoria Abril est une actrice, donc "people", mais quand tu la croises, elle te souris, discute de la qualité des boulangeries avec un passant, met son énorme discman dans la poche de sa veste de jogging, grimpe sur son vieux vélo, et s'en va souriante risquer sa vie au milieu du carrefour.
L'habit ne fait pas le moine, et la profession ne fait le professionnel...
Des fois tant pis, parfois tant mieux !
Victoria Abril est une actrice, donc "people", mais quand tu la croises, elle te souris, discute de la qualité des boulangeries avec un passant, met son énorme discman dans la poche de sa veste de jogging, grimpe sur son vieux vélo, et s'en va souriante risquer sa vie au milieu du carrefour.
L'habit ne fait pas le moine, et la profession ne fait le professionnel...
Des fois tant pis, parfois tant mieux !
Je ne prends plus de photos.
De moi, ça, ça ne varie pas, je n'en ai quasiment jamais prise.
Mais des autres, de tout, de rien : apu non plus.
Quoiqu'il en soit, j'ai toujours été un photographe très moyen. Je ne connais rien aux techniques qui sont l'apanage des passionnés du genre.
Me fout de cette vantardise pathétique comme des autres... Je crois comprendre que les très bons photographes parlent presque exclusivement de techniques (du focus machin de tant de millimètre d'ouverture de truc, et patati, et patata) et presque plus de leurs photos. Et à ce compte là, je préfère rester dans ma petite ignorance.
Mais les errances, l'appareil à la main, me manquent.
En fait, je crois bien que mes ballades paparazzesques étaient un prétexte...
Aller faire des photos, c'était une excuse pour être promeneur. Je me donnais l'impression de faire quelque chose dans un but particulier, me donnant ainsi bonne conscience.
Maintenant, moi et ma conscience, on arrive un peu mieux à communiquer alors bon...
Et puis il y a les photos des autres, parents, famille, amis, bref, mes coexistants humanoïdes. Ceux-là ne sont plus que très rarement sur la péloche (qui elle même n'est plus que très rarement dans l'appareil, vive le numérique, mais j'aime bien dire 'péloche').
Ma mémoire devrait être le meilleur des appareils photos, mais ma mémoire est spongieuse, une machine bordelique qui marche mal. Donc, je prenais des photos des gens, comme une preuve, un constat, comme pour ne pas les oublier, comme si c'était possible.
Mais le constat de la photo ressorti du passé n'est pas celui du sujet, c'est le constat du temps. Celui d'alors et celui qui passe.
Au mieux, ça ne sert à rien.
Et puis il y a moi, qui suis le moins photogénique être qui soit. Enfin je l'espère. Ca me rassure de le penser. Je suis à un tel point hideux en photo que ça me ferait mal de me ressembler dans la vraie vie qui bouge !
M'enfin, tant que je n'en suis pas à ressembler à ma photo d'identité, tout va bien.
De moi, ça, ça ne varie pas, je n'en ai quasiment jamais prise.
Mais des autres, de tout, de rien : apu non plus.
Quoiqu'il en soit, j'ai toujours été un photographe très moyen. Je ne connais rien aux techniques qui sont l'apanage des passionnés du genre.
Me fout de cette vantardise pathétique comme des autres... Je crois comprendre que les très bons photographes parlent presque exclusivement de techniques (du focus machin de tant de millimètre d'ouverture de truc, et patati, et patata) et presque plus de leurs photos. Et à ce compte là, je préfère rester dans ma petite ignorance.
Mais les errances, l'appareil à la main, me manquent.
En fait, je crois bien que mes ballades paparazzesques étaient un prétexte...
Aller faire des photos, c'était une excuse pour être promeneur. Je me donnais l'impression de faire quelque chose dans un but particulier, me donnant ainsi bonne conscience.
Maintenant, moi et ma conscience, on arrive un peu mieux à communiquer alors bon...
Et puis il y a les photos des autres, parents, famille, amis, bref, mes coexistants humanoïdes. Ceux-là ne sont plus que très rarement sur la péloche (qui elle même n'est plus que très rarement dans l'appareil, vive le numérique, mais j'aime bien dire 'péloche').
Ma mémoire devrait être le meilleur des appareils photos, mais ma mémoire est spongieuse, une machine bordelique qui marche mal. Donc, je prenais des photos des gens, comme une preuve, un constat, comme pour ne pas les oublier, comme si c'était possible.
Mais le constat de la photo ressorti du passé n'est pas celui du sujet, c'est le constat du temps. Celui d'alors et celui qui passe.
Au mieux, ça ne sert à rien.
Et puis il y a moi, qui suis le moins photogénique être qui soit. Enfin je l'espère. Ca me rassure de le penser. Je suis à un tel point hideux en photo que ça me ferait mal de me ressembler dans la vraie vie qui bouge !
M'enfin, tant que je n'en suis pas à ressembler à ma photo d'identité, tout va bien.
Hin-hin-hin...
Peut-être très bientôt un p'tit pote pour partager les longues journées du Khaz ?...
Au cas ou : Des idées de p'tit nom ?...
Les trucs nuls du style "le chat", "crétin", "biloute" et autres jeux de mots à base de chat ("machine", "podpaille", "rivari", ...), seront refusés (parce que je les ai déjà proposés là)...
...Mais seraient marrants à lire.
Edit : c'pâ moi sur la photo, derrière le ptissa... Mais j'espère que ce sera bientôt moi...
Peut-être très bientôt un p'tit pote pour partager les longues journées du Khaz ?...Au cas ou : Des idées de p'tit nom ?...
Les trucs nuls du style "le chat", "crétin", "biloute" et autres jeux de mots à base de chat ("machine", "podpaille", "rivari", ...), seront refusés (parce que je les ai déjà proposés là)...
...Mais seraient marrants à lire.
Edit : c'pâ moi sur la photo, derrière le ptissa... Mais j'espère que ce sera bientôt moi...
Comme l'indiquent aussi mes flanby dans le frigo, aujourd'hui, c'est le 19 septembre.
Et comme ne l'indique pas le fait que je mange encore des desserts pour enfants (mais le caramel, y déchire) et les laisse connement se périmer, je suis un adulte, a fortiori encore plus aujourd'hui.
Du coup, pour marquer l'événement, je me pose une grave question et me lance à moi-même ce débat essentiel : Un an de plus au compteur, qu'est-ce que ça change ?...
Nan, vous fatiguez pas. La réponse, c'est "rien".
Strictement rien.
Rien de grave à ça. J'ai même failli l'oublier moi-même mon anniv, c'est pour dire à quel point on s'en carre.
C'est juste que c'est un truc qui ne sert à rien.
Comme si c'était vraiment une date qui me change tous les ans...
Comme si j'allais faire un truc spécial aujourd'hui, genre me laisser pousser les oreilles ou acheter un effaceur de taches de rousseur, ou grandir d'une tête d'ici ce soir, ou devenir raisonnable, calme, serein, sage, posé, sérieux.
Ha ! C'est ça, ouai, rêve ! Ca change que dalle !
Vais plutôt (le chien de Mickey) ressortir mes legos tiens !
Et comme ne l'indique pas le fait que je mange encore des desserts pour enfants (mais le caramel, y déchire) et les laisse connement se périmer, je suis un adulte, a fortiori encore plus aujourd'hui.
Du coup, pour marquer l'événement, je me pose une grave question et me lance à moi-même ce débat essentiel : Un an de plus au compteur, qu'est-ce que ça change ?...
Nan, vous fatiguez pas. La réponse, c'est "rien".
Strictement rien.
Rien de grave à ça. J'ai même failli l'oublier moi-même mon anniv, c'est pour dire à quel point on s'en carre.
C'est juste que c'est un truc qui ne sert à rien.
Comme si c'était vraiment une date qui me change tous les ans...
Comme si j'allais faire un truc spécial aujourd'hui, genre me laisser pousser les oreilles ou acheter un effaceur de taches de rousseur, ou grandir d'une tête d'ici ce soir, ou devenir raisonnable, calme, serein, sage, posé, sérieux.
Ha ! C'est ça, ouai, rêve ! Ca change que dalle !
Vais plutôt (le chien de Mickey) ressortir mes legos tiens !
Enpluslatoucheespacerestebloquée...c'estmégachiant.
Mon PC portabke cokke...
H'ai renversé mon café dessus, h'en trembke encore...
Il fonctionne, mais il cokke.
Pis y'a deux-trois touches que h'ai du faire sauter pour passer le sopakin, et que h'ai pas du bien remettre...
H'ai renversé mon café dessus, h'en trembke encore...
Il fonctionne, mais il cokke.
Pis y'a deux-trois touches que h'ai du faire sauter pour passer le sopakin, et que h'ai pas du bien remettre...
Le gros mou dans sa Merco : QUOA !!?
Moi : Bah griller le passage piéton, c'est 3 points ; que ce soit toi qui râle, c'est la preuve que tu ne sais vraiment pas conduire ; faire cette connerie pour gagner à peine 2 mètres et devoir t'arrêter sur le passage piéton, c'est la démonstration que t'es un abruti.
Le gros mou dans sa Merco : g....
Moi : Bonne journée et bon courage.
P'tain, j'ai eu du bol, en fait c'est 4 points cette idiotie ; Il n'en savait rien de toute évidence.
Je n'arrive jamais à avoir le bon discours dans ces cas là, mais lui, j'l'ai mouché.
Bah étrangement, même si j'ai failli me faire rouler dessus, ça fait du bien !
Moi : Bah griller le passage piéton, c'est 3 points ; que ce soit toi qui râle, c'est la preuve que tu ne sais vraiment pas conduire ; faire cette connerie pour gagner à peine 2 mètres et devoir t'arrêter sur le passage piéton, c'est la démonstration que t'es un abruti.
Le gros mou dans sa Merco : g....
Moi : Bonne journée et bon courage.
P'tain, j'ai eu du bol, en fait c'est 4 points cette idiotie ; Il n'en savait rien de toute évidence.
Je n'arrive jamais à avoir le bon discours dans ces cas là, mais lui, j'l'ai mouché.
Bah étrangement, même si j'ai failli me faire rouler dessus, ça fait du bien !
Le Tartare eclats de noix, ça déchire.
(Alors que le blog de Lionel Jospin, il est poucrave.)
D'autres nouvelles des plus cruciales comme celle-ci d'ici peu...
(Alors que le blog de Lionel Jospin, il est poucrave.)
D'autres nouvelles des plus cruciales comme celle-ci d'ici peu...
Les gens qui se laissent bouffer sans mot dire sont pour moi parmi les plus agaçants.
Non point que je leur en veuille, mais l'éventuel (et probable) caractère contagieux de leur médiocrité me fait peur...
J'évite donc leur compagnie.
Concernant les prédateurs de ceux-là, s'ils sont davantage mes "semblables" par le fait que je les cotoie dans notre savane, je leur trouve avec moi une dissemblance flagrante à mes yeux.
D'eux et de moi, je ne sais pas lequel est pire ou meilleur que l'autre... Mais la différence est aussi certaine que fondamentale.
Eux abattent les autres presque mécaniquement, pour montrer qu'ils ont des crocs ; moi, plus rarement, mais pour les savoir mangés.
Non point que je leur en veuille, mais l'éventuel (et probable) caractère contagieux de leur médiocrité me fait peur...
J'évite donc leur compagnie.
Concernant les prédateurs de ceux-là, s'ils sont davantage mes "semblables" par le fait que je les cotoie dans notre savane, je leur trouve avec moi une dissemblance flagrante à mes yeux.
D'eux et de moi, je ne sais pas lequel est pire ou meilleur que l'autre... Mais la différence est aussi certaine que fondamentale.
Eux abattent les autres presque mécaniquement, pour montrer qu'ils ont des crocs ; moi, plus rarement, mais pour les savoir mangés.
...
J'ai poureant jamais appros mais je viebs de me rencre compte que j'arrive parfqitement à tapper sans rehrarder le ckavier !!
C'est vraime,t suêr !
J'ai poureant jamais appros mais je viebs de me rencre compte que j'arrive parfqitement à tapper sans rehrarder le ckavier !!
C'est vraime,t suêr !
Comme disait Léo Ferré, "La mélancolie, c'est un désespoir qui n'a pas les moyens."
Et comme disait Perceval dans Kaamelott, "C'est pas faux."
Et maintenant que je vous ai étalé l'impressionnante étendue de mon spectre (bouhouuu) culturel dans les mirettes, j'explique qu'est-ce-que je veux dire.
Y'a bien un an, y'a un siècle, y'a une éternité (j'vous bluffe encore là à citer des grands auteurs, hein ?), j'écrivais sur ce blog disons... différemment.
Je ne me relis pas. Quasi-jamais. Mais bon quand même, j'ai la nette impression que mes archives (lointaines) présentent une forte concentration en tristesse, torturages, pas-très-bien-être, et autres passages mélancoliques.
Bah je vous avoue, presque rien de tout cela ne me manque (et c'est sûrement en ça que consiste ma révolution, qui elle ne porte pas ton nom).
Et je vous avoue autre chose, le presque, c'est la mélancolie.
J'y peux rien, j'aime ça.
J'aime l'immobilisme automnal sur le banc d'un parc désert, à regarder le monde tourner sans moi et les feuilles tomber paterre.
J'adore faire vivre les snacks dégueus en parlant avec des inconnus que je ne reverrai jamais des secrets de leur(s) vie(s).
J'ai un goût pour l'épenchage solitaire au zinc d'un vieux pub éclairé au néon publicitaire clignotant.
J'aime, et je me rends compte que je n'ai même pas à m'en priver...
Glop-glop.
Et comme disait Perceval dans Kaamelott, "C'est pas faux."
Et maintenant que je vous ai étalé l'impressionnante étendue de mon spectre (bouhouuu) culturel dans les mirettes, j'explique qu'est-ce-que je veux dire.
Y'a bien un an, y'a un siècle, y'a une éternité (j'vous bluffe encore là à citer des grands auteurs, hein ?), j'écrivais sur ce blog disons... différemment.
Je ne me relis pas. Quasi-jamais. Mais bon quand même, j'ai la nette impression que mes archives (lointaines) présentent une forte concentration en tristesse, torturages, pas-très-bien-être, et autres passages mélancoliques.
Bah je vous avoue, presque rien de tout cela ne me manque (et c'est sûrement en ça que consiste ma révolution, qui elle ne porte pas ton nom).
Et je vous avoue autre chose, le presque, c'est la mélancolie.
J'y peux rien, j'aime ça.
J'aime l'immobilisme automnal sur le banc d'un parc désert, à regarder le monde tourner sans moi et les feuilles tomber paterre.
J'adore faire vivre les snacks dégueus en parlant avec des inconnus que je ne reverrai jamais des secrets de leur(s) vie(s).
J'ai un goût pour l'épenchage solitaire au zinc d'un vieux pub éclairé au néon publicitaire clignotant.
J'aime, et je me rends compte que je n'ai même pas à m'en priver...
Glop-glop.
Il m'arrive de me cultiver.
...
Hier donc, planté devant "Le maillon faible" après une séance de sport qui m'a transformé ce matin en L'homme de fer du Magicien d'Oz, je me cultivais tranquilou.
J'ai eu de la chance, je suis tombé sur un "maillon faible" spécial Koh Lanta. le principe est simple, les concurrents sont tous issus de l'émission Koh Lanta, et font comme dans Koh Lanta. C'est à dire qu'à chaque tour, le moins con est éliminé par le groupe des plus stupides.
Un truc à vous foutre par terre le Darwinisme en 2 temps 3 mouvements.
J'imaginais d'ailleurs le président de l'association pour laquelle ces nazes jouaient (bah oui, quand même), s'arracher les cheveux devant le comportement des joueurs qui par vengeance, jalousie ou méchanceté (ou les trois) se retrouvaient à la fin entre idiots, ne ramenant du coup plus un euro à l'association.
M'enfin, le clou du spectacle fut la sortie de la demeurée du groupe : Emilie.
Après s'être fait virer, entre autres par son mec, Bocolini balance à ce dernier : vous avez trouvé l'amour mais pas le cerveau qui va avec. Pan.
Emilie s'explique ensuite (je vous jure que c'est vrai) :
"Nianiania... mais c'est pas gentil de dire que j'ai pas de cerveau... parce que... j'en ai un !"
Ouah ! Puis reprend, avec un aplomb pathétique :
"Et je m'en suis servi pendant 40 jours !"
C'est beau la culture. C'est beau.
...
Hier donc, planté devant "Le maillon faible" après une séance de sport qui m'a transformé ce matin en L'homme de fer du Magicien d'Oz, je me cultivais tranquilou.
J'ai eu de la chance, je suis tombé sur un "maillon faible" spécial Koh Lanta. le principe est simple, les concurrents sont tous issus de l'émission Koh Lanta, et font comme dans Koh Lanta. C'est à dire qu'à chaque tour, le moins con est éliminé par le groupe des plus stupides.
Un truc à vous foutre par terre le Darwinisme en 2 temps 3 mouvements.
J'imaginais d'ailleurs le président de l'association pour laquelle ces nazes jouaient (bah oui, quand même), s'arracher les cheveux devant le comportement des joueurs qui par vengeance, jalousie ou méchanceté (ou les trois) se retrouvaient à la fin entre idiots, ne ramenant du coup plus un euro à l'association.
M'enfin, le clou du spectacle fut la sortie de la demeurée du groupe : Emilie.
Après s'être fait virer, entre autres par son mec, Bocolini balance à ce dernier : vous avez trouvé l'amour mais pas le cerveau qui va avec. Pan.
Emilie s'explique ensuite (je vous jure que c'est vrai) :
"Nianiania... mais c'est pas gentil de dire que j'ai pas de cerveau... parce que... j'en ai un !"
Ouah ! Puis reprend, avec un aplomb pathétique :
"Et je m'en suis servi pendant 40 jours !"
C'est beau la culture. C'est beau.
J'offre un pélican à celui qui saura me donner une définition de ce foutu "web 2.0".
C't'a dire que tout le monde en parle... mais pour n'en dire qu'une seule chose : c'est la révolution du web.
Ouaip... C'est un peu comme le Kamoulox (c), tout ce que tu peux en dire, c'est que c'est un jeu super-délire-toussa-toussa, mais personne n'y comprend rien.
A tel point qu'on en vient à se demander si les spécialistes qui donnent les explications, savent vraiment eux-mêmes de quoi il en retourne.
Bah le web 2.0, pareil.
Alors, y'a ceusse qui disent que ce sont les sites web qui présentent du contenu, parce que le contenu, c'est ça qu'est bien.
Si c'est ça, déception : ça n'a rien de révolutionnaire !
Y'a aussi les qui-disent que ce sont les sites collaboratifs, dans lesquels des gens viennent apporter leur bout de contenu pour la "communauté".
Si c'est ça, le web 2.0 a un train de retard (même moi j'l'ai pas attendu, c'est pour dire), p't'être parce qu'il est resté fumer des herbes de Provence dans le wagon flower power.
Y'a enfin les "à lunettes en écaille" qui disent que c'est un model économique reposant sur la création de valeur par le plus grand nombre, tu vois, et qui vise à alimenter une synergie bénéficiaire pour le support en lui-même, et donc à son propriétaire, en offrant le droit d'utilisation du dit support que la masse supporte financièrement.
Si c'est ça, j'arrête de poser des questions.
C't'a dire que tout le monde en parle... mais pour n'en dire qu'une seule chose : c'est la révolution du web.
Ouaip... C'est un peu comme le Kamoulox (c), tout ce que tu peux en dire, c'est que c'est un jeu super-délire-toussa-toussa, mais personne n'y comprend rien.
A tel point qu'on en vient à se demander si les spécialistes qui donnent les explications, savent vraiment eux-mêmes de quoi il en retourne.
Bah le web 2.0, pareil.
Alors, y'a ceusse qui disent que ce sont les sites web qui présentent du contenu, parce que le contenu, c'est ça qu'est bien.
Si c'est ça, déception : ça n'a rien de révolutionnaire !
Y'a aussi les qui-disent que ce sont les sites collaboratifs, dans lesquels des gens viennent apporter leur bout de contenu pour la "communauté".
Si c'est ça, le web 2.0 a un train de retard (même moi j'l'ai pas attendu, c'est pour dire), p't'être parce qu'il est resté fumer des herbes de Provence dans le wagon flower power.
Y'a enfin les "à lunettes en écaille" qui disent que c'est un model économique reposant sur la création de valeur par le plus grand nombre, tu vois, et qui vise à alimenter une synergie bénéficiaire pour le support en lui-même, et donc à son propriétaire, en offrant le droit d'utilisation du dit support que la masse supporte financièrement.
Si c'est ça, j'arrête de poser des questions.
Je crois que mon herbergeateur n'aime pas mon nouveau layout (on me souffle dans l'oreillette que ce n'est pas le seul)...
Mon hébergeur, lui, a brûlé mon serveur. De rage. Ou par dépit.
Du coup, a pu Khazâd depuis cette nuit.
Maintenant, c'est revenu... et je ne sais même pas pourquoi je vous le dis puisque vous être en train de me lire, donc c'est que forcément, c'est revenu, parce que si ce n'était pas revenu... bref.
Donc vala, si vous ressentez comme une haine farouche envers mon nouveau layout blanc et blanc, ne cramez rien ! Disez-le moi par mail ou dans les commentaires.
(Maman, Papa, je sais qu'on ne dit pas "disez", ne vous en faisez pas pour moi.)
Mon hébergeur, lui, a brûlé mon serveur. De rage. Ou par dépit.
Du coup, a pu Khazâd depuis cette nuit.
Maintenant, c'est revenu... et je ne sais même pas pourquoi je vous le dis puisque vous être en train de me lire, donc c'est que forcément, c'est revenu, parce que si ce n'était pas revenu... bref.
Donc vala, si vous ressentez comme une haine farouche envers mon nouveau layout blanc et blanc, ne cramez rien ! Disez-le moi par mail ou dans les commentaires.
(Maman, Papa, je sais qu'on ne dit pas "disez", ne vous en faisez pas pour moi.)
Bougez pas.
Ca à pas l'air comme ça, mais si, c'est bien ici mon beulogue à moi que j'ai...
Ca fait drôle hein ?
Et à moi donc !
Ca à pas l'air comme ça, mais si, c'est bien ici mon beulogue à moi que j'ai...
Ca fait drôle hein ?
Et à moi donc !
Comme certains d'entre vous ont pu le remarquer (peut-être) (ou pas) (peutimporte), Khazad'blog a 3 nouvelles amies.
Elles s'appellent Flossie, Nelly et Annie.
Elles squattent grave mes commentaires. Me harcèlent de leurs messages insistant...
En fait, toujours le même message, plein de fois...
C'est bizarre...
Pis elles sont anglaises les meufs cyclothymiques.
C'est dommage... pourrai pas leur dire une gentillesse... par exemple... euh... j'sais pas... "Va spammer ailleurs spisdikonass !"
Grmbl...
Elles s'appellent Flossie, Nelly et Annie.
Elles squattent grave mes commentaires. Me harcèlent de leurs messages insistant...
En fait, toujours le même message, plein de fois...
C'est bizarre...
Pis elles sont anglaises les meufs cyclothymiques.
C'est dommage... pourrai pas leur dire une gentillesse... par exemple... euh... j'sais pas... "Va spammer ailleurs spisdikonass !"
Grmbl...
Je crois bien que la prétention est pire que la bêtise.
Entendons-nous bien (allo ?), il n'est pas question de comparer la valeur de chacun sur l'échelle des défauts, laquelle comporte décidément des barreaux bien large, pour faire tenir pleins de gens dessus.
Non point.
Simplement, au rang des défauts handicapants, ceux qui induisent l'absence de conscience du défaut lui-même sont quand même les plus vicelards.
Et ces deux là en sont.
Un crétin ne se rend pas compte qu'il l'est. Sinon, il ne l'est plus vraiment. Et un faux crétin, souvent, c'est pas la moitié d'un con. Enfin bref.
Un prétentieux n'a pas non plus conscience de l'être. Sinon, il abandonnerait ce port de tête ridicule en comprenant pourquoi toute le monde jette des trucs contondants en travers.
Et donc du coup, Bêtise 1 - Prétention 1. Match nul, la balle au centre.
Va falloir chercher ailleurs que dans la conscience les moyens de les départager.
J'ai.
Tout est dans la conséquence sur mes p'tits nerfs à moi que j'ai parfois à fleur de peau... Gniii...
Voila pourquoi c'est le prétentieux qui gagne au jeu du plus pire le moins bien :
Le crétin n'a pas mérité son état.
Le prétentieux t'énerve aussi, mais lui, c't'enfoiré, il le fait exprès ! C'est voulu ! Il travaille sa puissance d'emmerdage tous les jours. Il s'autoalimente de son défaut tout pourri pour le faire grandir et évoluer.
Comme le champignon, pareil.
Le fongicide en épandage, c'est possible ?...
Entendons-nous bien (allo ?), il n'est pas question de comparer la valeur de chacun sur l'échelle des défauts, laquelle comporte décidément des barreaux bien large, pour faire tenir pleins de gens dessus.
Non point.
Simplement, au rang des défauts handicapants, ceux qui induisent l'absence de conscience du défaut lui-même sont quand même les plus vicelards.
Et ces deux là en sont.
Un crétin ne se rend pas compte qu'il l'est. Sinon, il ne l'est plus vraiment. Et un faux crétin, souvent, c'est pas la moitié d'un con. Enfin bref.
Un prétentieux n'a pas non plus conscience de l'être. Sinon, il abandonnerait ce port de tête ridicule en comprenant pourquoi toute le monde jette des trucs contondants en travers.
Et donc du coup, Bêtise 1 - Prétention 1. Match nul, la balle au centre.
Va falloir chercher ailleurs que dans la conscience les moyens de les départager.
J'ai.
Tout est dans la conséquence sur mes p'tits nerfs à moi que j'ai parfois à fleur de peau... Gniii...
Voila pourquoi c'est le prétentieux qui gagne au jeu du plus pire le moins bien :
Le crétin n'a pas mérité son état.
Le prétentieux t'énerve aussi, mais lui, c't'enfoiré, il le fait exprès ! C'est voulu ! Il travaille sa puissance d'emmerdage tous les jours. Il s'autoalimente de son défaut tout pourri pour le faire grandir et évoluer.
Comme le champignon, pareil.
Le fongicide en épandage, c'est possible ?...
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