Bonjour les gens.
Ca va bien vous ?
Moi ouais.
Si ce n'est un léger problème d'emploi du temps qui ne cesse de ne pas se résoudre... l'a la peau dure le bougre.
Je me lève, et je te bouscule... (ah tiens, suis-je le seul à pouffer honteusement au "cule" de "je te bouscule" de ce monument de la cüülture frââçaise ?)...
Bref, donc : je me lève, démarre le PC pendant que je me fais mon café...
C'est super technique d'ailleurs. Super organisé, on se rend pas compte : pour perdre le moins de temps possible, faut allumer le PC, aller faire chauffer la flotte, revenir taper le mot de passe sur le PC, lancer le café, revenir ouvrir les programmes, aller chercher le café, se coller devant l'écran !
C'est tout un truc... pour gagner 30 secondes...
Merde, j'suis devenu complètement frapadingue...
Bref, donc : je me lève, démarre le PC, relève mes mails, réponds à ce que je peux, mets à jour Paris15.fr, me douche et tout ça, continue de traiter mes mails, mets à jour les blogs du réseau qui va bien finir par voir le jour vraiment, règle l'administratif comme je peux (ou ne peux pas), envoie les mises à jour de Pourquois.com, fais un peu de relationnel avec de gentils publicitaires, fais une fausse pause en mettant à jour LaPoze.com tout en écoutant la radio, organise des événements tous bêtes mais pas simple à goupiller, vais cogiter et accessoirement grailler devant mon assiette même pas 20 minutes, reviens devant le PC pour bosser sur l'un ou l'autre des sites du résal, faire avancer leurs rédactionnels, monter une associations, négocier des subventions, m'engueuler avec l'administration, consolider des bases pour lancer des mailing, préparer justement ces emailing, des communiqués de presse et autres joyeusetés, référencer mes sites avec mes p'tits doigts, revenir à la messagerie qui s'est forcément remplie depuis midi... arg...
Bref, à peine levé, on est vite rendu à pas d'heure du soir...
Et bah nan, il ne me vient pas une seconde l'idée de m'en plaindre ! J'adore ça. C'est parfois super chiant, mais c'est pas grave.
Du tout.
Le seul truc vraiment chiant, c'est de bosser seul... heureusement que je commence à sortir un peu de ma coquille, et qu'on veut bien me soutenir, ça aide sacrément...
Tout ça pour dire que pour une fois j'ai effectivement l'envie de bloguer (et aussi de faire des strips mois poucraves, parce que j'ai même pas honte et je persévère) mais pas le temps de le faire.
J'espère que vous me croyez, au moins un peu, ou voudrez bien me le faire croire (que vous me croyez) (vous suivez ?), histoire que je puisse libérer un peu ma conscience maltraitée par ce blog que je suis censé alimenter et que vous venez encore lire...
Hein... on fait comme ça ?...
Pis si vous pouvez prendre en charge la moitié de mon taf, ou me filer 1000 euros, je prends aussi !
Posté le 27 octobre 2006 à 10:24
Posté le 20 octobre 2006 à 10:32
Posté le 13 octobre 2006 à 10:41
Posté le 06 octobre 2006 à 07:56
Posté le 05 octobre 2006 à 09:37
Posté le 04 octobre 2006 à 11:12
Posté le 01 octobre 2006 à 12:58
Le plus sympa dans ce truc, c'est le pointeur de la souris !...
Ouai je sais, je poste peu...
J'avais un bon rythme y'a encore quelques jours, et pis d'un coup, pfiout, les blancs qui se succèdent.
Remarquez, vu de chez vous, les blancs qui se succèdent, c'est un peu un seul blanc, mais un grand.
Bah pour moi, c'est vraiment plusieurs blancs.
Je vais dans blogger, je m'dis "allez, vais poster une connerie..." pis en fait, je me rends compte que je ne l'ai pas, la connerie à poster.
Le soir, j'y retourne et je m'dis "tiens, vais faire un mélancopost à la Khazad...", pis en fait, je me rends compte que j'ose pas bien quoi mélancoposter.
Le lendemain matin, rebelote et je m'dis "raaah, j'suis pas sympa, faut vraiment que je post un truc là... allez tant pis on va faire un politicopost...", pis en fait, je me rends compte que ça me saoul profondément (en plus de m'énerver) tous ces gars qui se battent pour proposer le moins de trucs possible.
Alors bon, je mets ça sur le compte d'une sorte de fatigue...
En fait, nan, pas "une sorte de", c'est une fatigue tout court.
Pis avec les feuilles qui rougeoient, le ciel qui grisoie, le thermomètre qui dégringoloie et le soleil qui se carapatoie, bah le Khazad hibernoie un chouïa !
Doukessont mes vitamines ?...
J'avais un bon rythme y'a encore quelques jours, et pis d'un coup, pfiout, les blancs qui se succèdent.
Remarquez, vu de chez vous, les blancs qui se succèdent, c'est un peu un seul blanc, mais un grand.
Bah pour moi, c'est vraiment plusieurs blancs.
Je vais dans blogger, je m'dis "allez, vais poster une connerie..." pis en fait, je me rends compte que je ne l'ai pas, la connerie à poster.
Le soir, j'y retourne et je m'dis "tiens, vais faire un mélancopost à la Khazad...", pis en fait, je me rends compte que j'ose pas bien quoi mélancoposter.
Le lendemain matin, rebelote et je m'dis "raaah, j'suis pas sympa, faut vraiment que je post un truc là... allez tant pis on va faire un politicopost...", pis en fait, je me rends compte que ça me saoul profondément (en plus de m'énerver) tous ces gars qui se battent pour proposer le moins de trucs possible.
Alors bon, je mets ça sur le compte d'une sorte de fatigue...
En fait, nan, pas "une sorte de", c'est une fatigue tout court.
Pis avec les feuilles qui rougeoient, le ciel qui grisoie, le thermomètre qui dégringoloie et le soleil qui se carapatoie, bah le Khazad hibernoie un chouïa !
Doukessont mes vitamines ?...
Ah oui, je suis revenu de mon (superbe) week-end... va y'avoir de l'album photo à compléter d'ailleurs... quand j'aurai le temps.
Et le temps, c'est bien mon problème principal en ce moment.
J'en n'ai pas assez, c'est un fait. Mais je me suis rendu compte qu'en plus, le temps se meuuuh.... pardon : se meut.
Quand t'as le moral et de l'énergie à revendre, le temps gambade autour de toi, t'en fais ce que tu veux, tu le cueilles à ton gré, t'en fait des bouquets, tu peux même en offrir aux autres.
Mais quand t'es un peu morose et flagada (comme les fraises), bah le temps se planque sous les meubles, là où même la papatte à le chat peut pas aller le... gnnn... le déloger gnnn...
Et là, bah tu t'épuise dans le vide jusqu'au moment ou tu comprends (enfin) que pour récupérer ton temps qu'a filé comme une saloperie de cafard sous l'armoire, soit tu te laisse pousser les griffes et tu le déchiquette (mais la violence, c'est mal), soit tu renverses le meuble et pis c'est mare (la violence, quand même, ça défoule).
Bref, j'ai un peu cafardé bêtement depuis mardi. Pis vous étiez pas là pour me faire un câlin, bande d'enfoirés !
Bon d'accord j'ai rien dit à personne, comme d'hab.
Mais si je cause quand je vais pas top, je larmoie des zoeils, et j'ai l'air d'un con en plus d'être pathétique comme un projet de loi contre le négationnisme !
Ca se fait pas. Surtout pour un mec comme moi, un nerveux, un qui tappe et qu'est plein de cynisme dans ta face, un gars qu'en a ! Alors même quand j'ai les nerfs dans les ongles, bah je dis rien, parce que franchement, mouiller ces yeux pour rien, c'est un truc de gonzesse, pfff ! C'est pas pour moi ça ! Non mais !
Bon, sinon, là maintenant, ça roule.
J'ai recompté mes amis, ils sont peu, mais ils sont là.
J'ai recompté ma thune, ça a été vite, mais ça passe encore.
J'ai recompté les miroirs, y'en a trop, mais j'reste devant le PC.
J'ai recompté ce qu'on me doit, c'est trop alors j'ai menacé de casser des genoux.
J'ai recompté ce que je dois, bah là c'est bon, j'suis toujours à queudalle.
Queudalle !
Et le temps, c'est bien mon problème principal en ce moment.
J'en n'ai pas assez, c'est un fait. Mais je me suis rendu compte qu'en plus, le temps se meuuuh.... pardon : se meut.
Quand t'as le moral et de l'énergie à revendre, le temps gambade autour de toi, t'en fais ce que tu veux, tu le cueilles à ton gré, t'en fait des bouquets, tu peux même en offrir aux autres.
Mais quand t'es un peu morose et flagada (comme les fraises), bah le temps se planque sous les meubles, là où même la papatte à le chat peut pas aller le... gnnn... le déloger gnnn...
Et là, bah tu t'épuise dans le vide jusqu'au moment ou tu comprends (enfin) que pour récupérer ton temps qu'a filé comme une saloperie de cafard sous l'armoire, soit tu te laisse pousser les griffes et tu le déchiquette (mais la violence, c'est mal), soit tu renverses le meuble et pis c'est mare (la violence, quand même, ça défoule).
Bref, j'ai un peu cafardé bêtement depuis mardi. Pis vous étiez pas là pour me faire un câlin, bande d'enfoirés !
Bon d'accord j'ai rien dit à personne, comme d'hab.
Mais si je cause quand je vais pas top, je larmoie des zoeils, et j'ai l'air d'un con en plus d'être pathétique comme un projet de loi contre le négationnisme !
Ca se fait pas. Surtout pour un mec comme moi, un nerveux, un qui tappe et qu'est plein de cynisme dans ta face, un gars qu'en a ! Alors même quand j'ai les nerfs dans les ongles, bah je dis rien, parce que franchement, mouiller ces yeux pour rien, c'est un truc de gonzesse, pfff ! C'est pas pour moi ça ! Non mais !
Bon, sinon, là maintenant, ça roule.
J'ai recompté mes amis, ils sont peu, mais ils sont là.
J'ai recompté ma thune, ça a été vite, mais ça passe encore.
J'ai recompté les miroirs, y'en a trop, mais j'reste devant le PC.
J'ai recompté ce qu'on me doit, c'est trop alors j'ai menacé de casser des genoux.
J'ai recompté ce que je dois, bah là c'est bon, j'suis toujours à queudalle.
Queudalle !
Le véto a dit qu'il fallait le laisser se définir ses endroits de sieste...
Mais bon, là... c'est un peu du foutage, nan ?
En attendant, il s'appelle Snap, il met des baffes monstrueuses à pouic-la-souris, et il monte la garde pendant que je me casse en super week-end d'anniversaire.
Soyez sages.
Mais bon, là... c'est un peu du foutage, nan ?
En attendant, il s'appelle Snap, il met des baffes monstrueuses à pouic-la-souris, et il monte la garde pendant que je me casse en super week-end d'anniversaire.
Soyez sages.
Je n'en ai aucune idée.
D'autant que, pour quelques-uns au moins, ce n'est pas parce qu'ils en ont les qualités.
Ni les aptitudes.
Ni le savoir faire.
Ni la formation.
Pour preuve, voyez le commentaire de cette femme politique là sur cet article d'un autre de mes blogs.
Nan mais franchement, dans n'importe quelle boite privée, quand tu es infoutu d'éviter de faire d'aussi grosses conneries en lien direct avec ce que tu es censé savoir faire basiquement pour exercer ta profession... bah... t'es viré. T'es même jamais embauché en fait.
Nan ?
Et c'est pas parce qu'elle est de droite, hein ! Je vous vois venir.
Je suis comme plein de français moi : je suis pour ceux qui mettront en application ce que je jugerai être des actions positives pour le pays. Donc, bah... pour pas grand monde en ce moment.
En fait, j'adhère majoritairement aux idées dites "de gauche" en trouvant qu'elles sont parfois mieux défendues par des gens qui se disent de droite, et j'adhère aussi à certaines idées dites "de droite", souvent parce que je suis entrepreneur, en trouvant qu'elles sont parfois mieux défendues par des gens qui se disent de gauche.
Boarf, je comprends décidemment rien à la politique.
Mais comme beaucoup je pense.
Et je crois deviner pourquoi personnellement, et malgré plein de choses, je trouve que Sarko est un bon candidat : il sait communiquer, il est super actif, c'est un bosseur, il semble apprendre et maitriser ses dossiers et fait son boulot en suivant les opinions qu'il se construit.
Je repars sur mon parallèle avec l'entreprise :
Ta boite ne vend rien depuis 6 mois, l'ambiance est morose, voir tendue.
Tu dois choisir, parmi tes collègues commerciaux, ton nouveau directeur commercial pour relancer un peu le truc.
Y'en a 5 qui se tirent dessus, chacun venant t'expliquer que les 4 autres sont pas de bons commerciaux.
Et puis il y en a un sixième qui étudie pendant 3 jours non stop, et viens ensuite te dire comment il ferai les choses, pourquoi, ce dont il est sur, et ce qu'il ne maîtrise pas encore.
T'es pas forcément d'accord avec ce qu'il peut proposer, et t'as la vague impression qu'il te filoute sans savoir vraiment où... mais bon, c'est put être parce que tu es méfiant envers les commerciaux en général.
Mais les 5 premiers continuent à prouver qu'ils savent se battre et se déchirer, une qualité qui leur va pas trop mal en tant que vendeur de base, mais en réfléchissant un peu, ils prouvent ainsi leur inaptitude totale au poste que tu cherches à pourvoir, celui de rassembleur communiquant porteur et défendeur d'idée.
Tu n'as que ces 6 là pour faire ton choix.
Hin.
Tu choisis qui ?
...
Pays de cons.
D'autant que, pour quelques-uns au moins, ce n'est pas parce qu'ils en ont les qualités.
Ni les aptitudes.
Ni le savoir faire.
Ni la formation.
Pour preuve, voyez le commentaire de cette femme politique là sur cet article d'un autre de mes blogs.
Nan mais franchement, dans n'importe quelle boite privée, quand tu es infoutu d'éviter de faire d'aussi grosses conneries en lien direct avec ce que tu es censé savoir faire basiquement pour exercer ta profession... bah... t'es viré. T'es même jamais embauché en fait.
Nan ?
Et c'est pas parce qu'elle est de droite, hein ! Je vous vois venir.
Je suis comme plein de français moi : je suis pour ceux qui mettront en application ce que je jugerai être des actions positives pour le pays. Donc, bah... pour pas grand monde en ce moment.
En fait, j'adhère majoritairement aux idées dites "de gauche" en trouvant qu'elles sont parfois mieux défendues par des gens qui se disent de droite, et j'adhère aussi à certaines idées dites "de droite", souvent parce que je suis entrepreneur, en trouvant qu'elles sont parfois mieux défendues par des gens qui se disent de gauche.
Boarf, je comprends décidemment rien à la politique.
Mais comme beaucoup je pense.
Et je crois deviner pourquoi personnellement, et malgré plein de choses, je trouve que Sarko est un bon candidat : il sait communiquer, il est super actif, c'est un bosseur, il semble apprendre et maitriser ses dossiers et fait son boulot en suivant les opinions qu'il se construit.
Je repars sur mon parallèle avec l'entreprise :
Ta boite ne vend rien depuis 6 mois, l'ambiance est morose, voir tendue.
Tu dois choisir, parmi tes collègues commerciaux, ton nouveau directeur commercial pour relancer un peu le truc.
Y'en a 5 qui se tirent dessus, chacun venant t'expliquer que les 4 autres sont pas de bons commerciaux.
Et puis il y en a un sixième qui étudie pendant 3 jours non stop, et viens ensuite te dire comment il ferai les choses, pourquoi, ce dont il est sur, et ce qu'il ne maîtrise pas encore.
T'es pas forcément d'accord avec ce qu'il peut proposer, et t'as la vague impression qu'il te filoute sans savoir vraiment où... mais bon, c'est put être parce que tu es méfiant envers les commerciaux en général.
Mais les 5 premiers continuent à prouver qu'ils savent se battre et se déchirer, une qualité qui leur va pas trop mal en tant que vendeur de base, mais en réfléchissant un peu, ils prouvent ainsi leur inaptitude totale au poste que tu cherches à pourvoir, celui de rassembleur communiquant porteur et défendeur d'idée.
Tu n'as que ces 6 là pour faire ton choix.
Hin.
Tu choisis qui ?
...
Pays de cons.
Un des chouettes avantages de ne pas avoir de mémoire, c'est qu'on ne se rend pas bien compte du temps qui passe.
Un des avantages à double tranchant de sites comme Kopindavan (limite arnaque, pas envie de leur faire de pub), c'est qu'au détour d'un inattendu contact d'une ancienne amie de collège, bah... on retrouve la mémoire !
Vraiment sympa de se rappeler de mes frasques de collèges... De celles qui nous faisaient marrer comme des bossus une fois l'adrénaline de la frippouillerie retombée... De celles, moins marrantes, qui m'ont plus ou moins directement valu l'internat Aladur (tm Cathos intégristes sur le retour)...
Etrange de voir comment les vies de chacun ont évolué.
Il y a ceux qui sont restés scotchés à la cambrousse profonde et ont tout de même su se bâtir leur vie de bonheurs, donnant une belle leçon à tous les autres qui, c'est dommage, s'en foutent sûrement.
Il y a ceux qui n'ont jamais rien foutu, et qui n'ont jamais changé de vie ; parce que ça leur va, et puis ça ne se juge pas.
Il y a ceux qui, au terme d'une vie de bons élèves, se retrouvent avec un boulot pas sympa pour seule épine dans le pied.
Et il y a ceux qui ont connus un parcours professionnel inattendu pour finalement tout plaquer et trouver leur bonheur, tout aussi inattendu, ailleurs, après des vies ratées et recommencées, comme on efface un brouillon pour repartir avec les bonnes proportions.
Les "repères" que j'ai gardés de mon enfance sont bien minces.
Et en complément de ma mère, qui croit toujours que je ne mange pas de légumes, il est bon de replonger quelques précieuses minutes dans ses souvenirs...
Pour se remettre un peu les pieds sur terre ; parce que courir dans les champs de blé n'est en fait pas devenu plus compliqué...
Pour se remettre un peu la tête dans les nuages ; parce que le ciel n'est en fait pas devenu plus gris ou plus bas...
Au contraire...
Au contraire.
Un des avantages à double tranchant de sites comme Kopindavan (limite arnaque, pas envie de leur faire de pub), c'est qu'au détour d'un inattendu contact d'une ancienne amie de collège, bah... on retrouve la mémoire !
Vraiment sympa de se rappeler de mes frasques de collèges... De celles qui nous faisaient marrer comme des bossus une fois l'adrénaline de la frippouillerie retombée... De celles, moins marrantes, qui m'ont plus ou moins directement valu l'internat Aladur (tm Cathos intégristes sur le retour)...
Etrange de voir comment les vies de chacun ont évolué.
Il y a ceux qui sont restés scotchés à la cambrousse profonde et ont tout de même su se bâtir leur vie de bonheurs, donnant une belle leçon à tous les autres qui, c'est dommage, s'en foutent sûrement.
Il y a ceux qui n'ont jamais rien foutu, et qui n'ont jamais changé de vie ; parce que ça leur va, et puis ça ne se juge pas.
Il y a ceux qui, au terme d'une vie de bons élèves, se retrouvent avec un boulot pas sympa pour seule épine dans le pied.
Et il y a ceux qui ont connus un parcours professionnel inattendu pour finalement tout plaquer et trouver leur bonheur, tout aussi inattendu, ailleurs, après des vies ratées et recommencées, comme on efface un brouillon pour repartir avec les bonnes proportions.
Les "repères" que j'ai gardés de mon enfance sont bien minces.
Et en complément de ma mère, qui croit toujours que je ne mange pas de légumes, il est bon de replonger quelques précieuses minutes dans ses souvenirs...
Pour se remettre un peu les pieds sur terre ; parce que courir dans les champs de blé n'est en fait pas devenu plus compliqué...
Pour se remettre un peu la tête dans les nuages ; parce que le ciel n'est en fait pas devenu plus gris ou plus bas...
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