Depuis un bon moment, ça allait sans dire...
Mais ça va mieux en le disant : ce blog est fermé.
C'est de ma faute, ne vous en faites pour rien.
Et rassurez-vous, l'immobilisation de ces insignifiants morceaux de code html n'est en rien révélateur de mon état.
Si je ne vais pas parfaitement bien (je gère toujours aussi mal les drames et les échecs qui me font la vie parfois douloureuse), je ne vais pas mal du tout (je gère toujours aussi peu les petits et grands bonheurs, pris, offerts ou partagés, qui me font la vie souvent... vivante).
Il s'avère simplement que je ne suis plus capable, ici, d'écrire sur moi.
Et je ne sais rien faire d'autre de ce blog.
Je ne veux pas écrire ma haine de ceux qui me lisent peut-être, ma hargne envers ceux qui me lisent surement, mon amour de celle qui me lit toujours, ma tendresse envers ceux qui me lisent souvent... car même un oeil discret rend impudique le contenu de cet exutoire, aussi world-wide-webisé que, pourtant, personnel.
N'ayant donc plus la possibilité de mettre mes tripes sur ce blog, et n'ayant pas le talent pour vous parler de tout ou de rien (ce qui revient au même) de façon plaisante, vous vous emmerdez surement ici depuis plusieurs mois à lire des lignes aussi inconsistantes que bancales.
Et pour vous parler vrai, je m'emmerde peut-être autant à les écrire.
Allez, ici c'est devenu chiant, allons sourire, rire, s'attendrir, lire ou écrire ailleurs !
Je vous souhaite bonne route à tous et peut-être à un de ces jours, dans la vie (peut-être trop) réelle ou dans la vie (peut-être trop) virtuelle.
Les bises à tous.
Khazâd.